Romuald (12/18)

« Je te laisse choisir l’homme de ton choix. Mais cela pourrait aussi être un jeune homme. Pourquoi pas ton fils, Romuald ? »

Elle a rouvert les yeux devant cette révélation avant de les fermer à nouveau. Je me suis levée pour passer derrière elle, derrière le canapé, tout près de son fils. Et ce sont ses mains à lui qui se sont posées sur la poitrine maternelle. Il pelotait sa mère et moi, je le branlais gentiment. Je continuais à exciter Armelle avec mes suppositions qui semblaient faire mouche.

« Imagine Romuald qui caresse tes seins pendant que Lily se trouve entre tes cuisses ».

J’étais retournée devant elle et elle n’avait pas encore compris que ce ne pouvait plus être moi qui la pelotais. Je retrouvais sa chatte dégoulinante et m’abreuvais de son nectar. Elle avait toujours les yeux fermés et elle ne les rouvrit qu’au moment de son deuxième orgasme. Elle allait encore crier le surnom de sa fille quand Romuald posa ses lèvres sur les siennes. Il l’embrassa tendrement, comme il l’avait fait avec moi, il n’y a pas deux heures. Je la sentais couler encore plus, maintenant que c’était son fils qui l’embrassait goulûment tout en la pelotant. Je m’abreuvais à sa source de plaisir, titillant son clito lorsque je sentais le débit baisser d’intensité.

Je m’essuyais la bouche avec sa jupe, roulée en boule à sa taille et dégageant entièrement ses cuisses et son entrejambe. Puis, je me levais, regardais ce couple nouvellement formé, et je les quittais sans un mot de plus. Que vouliez-vous que je dise ? Bonne soirée à vous ? J’étais certaine que leur soirée serait bien plus intéressante que la mienne. Je rentrais chez moi, heureuse d’avoir pu rapprocher deux personnes. Qu’ils soient mère et fils n’était d’aucune importance à mes yeux. Ce n’était que deux adultes, consentants, et qui se prouvaient leur amour mutuel. Romuald m’a rappelé plus de dix jours après que je l’ai ramené chez lui. Il voulait me revoir.

J’avais pu poser deux semaines de vacances en Août mais ça faisait encore beaucoup à attendre. C’est lui-même qui proposa de venir en bus et passer tout un week-end avec moi. Il est donc parti le jeudi matin de Laval. Arrivé à Angers, il est allé directement à sa nouvelle école pour y déposer les documents nécessaires à son inscription. Je lui avais précisé que je ne travaillais pas le jeudi après-midi. Il était habituellement réservé à Clothilde mais elle était partie en vacances avec son frère, en amoureux, sur une île paradisiaque, Les Seychelles je crois. Romuald m’attendait sagement au pied de mon immeuble lorsque je suis rentrée.

Nous sommes montés à mon étage par les escaliers car l’ascenseur était occupé avec un déménagement. Il n’a bien sûr pas pu résisté à glisser sa main sous ma jupe pendant la montée des marches. Sur le palier, vu qu’il était à côté de moi, ma jupe était entièrement relevée et un voisin, que je ne connaissais pas encore, a pu apercevoir ma culotte et une partie de mes fesses. Même chose arrivés à mon palier mais cette fois-ci, c’est ma voisine, qui rentrait chez elle, qui a bien vu la main de mon amant dans ma culotte. Elle m’a souri gentiment avant de rentrer chez elle. Tout ce que je savais d’elle, c’était qu’elle était mariée et vivait dans l’appartement voisin du mien depuis presqu’un an avec son mari. Ils n’avaient pas encore d’enfant.

J’ai à peine eu le temps de refermer ma porte que déjà Romuald avait commencé à me déshabiller. Il me dirigea vers la chambre et avait déjà ôté ses chaussures et son tee-shirt quand il est entré derrière moi. Je n’avais plus que ma culotte qu’il a très vite descendue pour m’offrir un merveilleux cunni. Quand il s’est relevé, il était prêt à m’embrocher et je refermais mes jambes dans son dos, l’emprisonnant entre mes cuisses. Nous avons baisé jusqu’au soir et c’est la faim qui nous a fait sortir de la chambre. J’ai bien dit « baisée » car cela n’avait plus rien de tendre. Il était en manque de mon corps et moi, j’appréciais sa fougue, sa vigueur.

Nous sommes restés nus, évidemment. J’avais juste passé un tablier pour ne pas me brûler en cuisinant. Il était tout près de moi et, quand il ne me caressait pas, il me racontait ce qu’il s’était passé après mon départ de chez lui. Je vous rappelle que sa mère était torse nu, sa jupe largement relevée sur ses cuisses grandes ouvertes. Il était alors repassé devant le canapé où sa mère était restée inerte. Il s’était changé et n’avait plus qu’un short de sport qui cachait difficilement son érection. Et c’est justement cette bosse que sa maman fixait du regard. Vous savez que j’ai connu et Romuald et son père. Je peux vous affirmer qu’il tient bien de son père de ce côté-là.

Lui, ce qu’il voyait, c’était sa mère toute disposée à lui offrir son intimité. Il s’accroupit entre ses cuisses et tira sur les bords de la culotte pour la baisser et l’enlever entièrement. Aucune réaction contraire, il se jeta alors sur la fente dégoulinante. Il faut dire que je l’avais déjà bien excitée avant de les laisser ensemble. Ses mains à lui retrouvèrent naturellement la poitrine voluptueuse d’Armelle tandis qu’il mettait en pratique tout ce qu’il avait appris avec moi pendant les quelques jours passés chez moi. Quand il la sentit prête à le recevoir, il se redressa et sa queue se positionna toute seule face à la grotte inondée de sa mère.

Il l’a fixée droit dans ses yeux en la pénétrant tout doucement. Armelle était comblée comme elle ne l’avait plus été depuis son divorce. Elle avait bien eu une aventure, une fois ou deux, mais cela n’avait rien à voir avec ce qu’elle vivait à cet instant précis. Elle savait bien sûr que cela s’appelait l’inceste mais, après les merveilleux moments passés avec sa propre fille, elle n’en avait plus rien à faire. Inceste, ce n’est qu’un mot dans le dictionnaire. Cela n’avait rien de répréhensible de la façon dont elle le vivait.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *