Je la pris par les cheveux pour la forcer, gentiment, à sucer le gode qui allait la remplir. Sa bouche était trop petite pour l’avaler tout entier mais elle s’efforça de bien l’humecter partout. Je la relevais et la poussais, du bout de ma « queue » vers le lit. Elle s’allongea, tout en laissant ses jambes pendre du lit, puis je posais ses talons sur le bois du lit afin de l’ouvrir toute grande. Je la regardais droit dans les yeux en m’approchant d’elle. Elle me fixa tout au long de la pénétration qui fut lente, pour bien profiter de l’instant. Elle ne les ferma que quand je touchais au fond. J’appréciais ce moment, je pouvais caresser ses tétons tous durs déjà, dans ma paume, tournant tout autour, puis malaxant ses merveilleux globes de chair. Je descendis mes mains pour m’agripper à ses hanches et je commençais à sortir, pour rentrer aussitôt, et encore, et encore, et plus loin, de plus en plus vite, de plus en plus loin. Corinne râlait littéralement sous mes coups de butoir, de plus en plus fort.
Dans un miroir, face à moi, j’aperçus la porte qui s’entrouvrit sur Dany et Francis. Lui, était subjugué de voir sa femme se faire prendre par une autre femme. Mais il appréciait le spectacle, sauf quand il aperçut la taille du gode, il mit ses mains devant sa queue toute flasque pour la cacher. Quand je la sentis prête à exploser, j’attrapais les mains de Corinne pour qu’elle me regarde dans les yeux, au moment de jouir. Son cri de jouissance partit du plus profond de son être, et s’amplifia même quand elle aperçut son mari qui l’observait. Elle criait sans pouvoir s’arrêter et fixait son homme qui ne l’avait jamais faite jouir ainsi.
Elle finit par s’effondrer sur le lit, sans voix, tandis que le gode glissait doucement hors de sa chatte luisante. Je fis signe à Francis de venir finir le nettoyage, chose qu’il faisait si bien, et nous les laissions seuls pour profiter un peu l’un de l’autre. J’entrainais Dany dans sa chambre, toute proche et la poussais sur le lit. Puis j’approchais le gode encore luisant de la mouille de Corinne vers sa chatte qui attendait impatiemment d’être remplie. Je rentrais d’un coup, lui arrachant un cri de plaisir, puis j’entrepris d’aller et venir en elle de plus en plus vite. Elle était déchainée, tellement elle attendait ce moment que je lui avais promis pour s’être occupée du mari. Je l’attrapais par les seins pour mieux la défoncer. Puis je sortis entièrement.
Pour m’approcher de sa rondelle. Sa tête faisait : « non, non, non » mais ses mains écartaient tant qu’elles pouvaient les deux globes de ses fesses pour ouvrir le passage. Juste un centimètre dedans. Je rentre encore un peu, je force son cul. Je lui demande de « pousser » comme si elle voulait faire … 5 centimètres de gagnés. Elle pousse encore et je me retrouve bientôt au fond de son cul. Splendide sensation que de posséder ce cul magnifique. Je m’arrête pour profiter de l’instant. Corinne, à côté, hurlait son plaisir une seconde fois, et ce n’en pouvait être que Francis la cause.
Comme quoi, mon raisonnement était bien justifié et prouvé ce soir.
Agrippée aux hanches de Dany, je commençais mes va et vient, doucement d’abord, puis de plus en plus vite. La pénétration se faisait de plus en plus facile, son cul était si bien huilé. Puis j’accélérais encore et encore, jusqu’à la faire jouir enfin, par son cul. La tête dans les draps pour ne pas hurler, je l’entendais râler de plaisir, un grondement qui lui sortait du ventre même. Je me retirais de son cul et ôtais cet engin qui avait si bien fait jouir deux femmes ce soir. Allongée près d’elle, je lui caressais le dos, sa peau était vraiment douce, une femme qui savait entretenir son corps. Elle émergea peu à peu et me sourit. Je la voyais heureuse, enfin comblée. Elle approcha ses lèvres des miennes, m’embrassa tendrement, puis descendit sur ma poitrine, titillant mes tétons qui réagirent très vite. Sa bouche continua son chemin sur mon ventre, puis plus bas encore. Sa bouche était si tendre que ma chatte devint toute humide, mon clito sortit de sa capuche, et elle le happa entre ses lèvres. Elle le tritura, le pinça, le suçant ou l’aspirant.
Le plaisir me prit par surprise, et je m’abandonnais à ses caresses expertes. Elle aimait vraiment ça et savait donner du plaisir, la coquine. L’une comme l’autre, nous avons dû somnoler un peu après tout ça. Quand je me réveillais, il faisait nuit noire, plus un bruit dans la chambre voisine. Je réveillais Dany d’une caresse sur sa joue, et j’allais voir ce qui se passait dans la chambre de nos complices. Ils semblaient dormir, tous les deux enlacés. J’allais les laisser un peu plus longtemps quand j’entendis un murmure. Corinne se relevait doucement pour ne pas réveiller son mari et vint me rejoindre à la porte. Belle. Toute nue. Et un sourire de femme heureuse.
Elle posa ses deux mains sur mes joues, puis approcha ses lèvres et m’offrit le plus tendre des baisers d’amour. Je sentais les pointes de ses tétons contre ma poitrine, et je m’agrippais à ses hanches pour lui rendre son baiser. Dany arriva à son tour et nous avons rejoint le salon, aussi nues les unes que les autres. Dany nous resservit à boire, mais pas d’alcool. Puis j’expliquais à Corinne, sentant ses craintes arriver doucement, que JAMAIS Dany ne fera entrer Francis si au moins toi, tu n’es pas là. Ce soir, c’était une soirée à 4, au pire ce sera trois si toi seule le désires, mais jamais deux seulement. Dany confirma mes dires et je sentis Corinne totalement rassurée. Trente minutes plus tard, Francis vint nous rejoindre dans le salon et se désaltéra aussi. Corinne et moi-même en avons profité pour aller chercher nos vêtements restés dans la chambre. Je l’aidais à remettre son soutien-gorge et j’en profitais pour encore, caresser sa poitrine délicieuse. Elle se tourna, faisant sa « timide », mais m’offra la vue de ses fesses splendides. La prochaine fois, je jouerais avec son cul. Elle enfila sa robe, remit ses talons et je me rhabillais aussi. Dany s’était rhabillée aussi et avait entrepris d’aider Francis. Mais, à genoux devant lui pour enfiler son pantalon, elle n’avait pas résisté à l’envie de le prendre en bouche une dernière fois. Lui, il nous regardait en écartant les bras semblant dire :
— Je ne pouvais pas lui refuser ce dernier plaisir.
Je pris alors la bouche de Corinne et je l’embrassais fougueusement. Surprise, mais contente de plus voir cette scène, elle s’abandonna, me laissant même lui caresser les seins, encore une fois, mais à travers le tissu de sa robe cette fois. Je jetais un œil vers Francis qui lui, avait baissé les yeux, résigné déjà de voir sa femme dans mes bras. Nous avons quitté Dany en lui promettant de remettre ça, un de ces jours. Le lendemain midi, nous avons déjeuné tous ensemble chez la mère de Francis, à Dol de Bretagne, retrouvant Amélie et Charlène. Amélie et moi avons pris le train directement à Dol pour rentrer à Rennes, tandis que Charlène rejoignait St Malo avec ses parents.