Odile ahanait sous leurs coups de « bite » mais ne pliait pas, en demandant encore plus. Marie avait fini par l’avoir, son orgasme. Dévastateur. C’est moi qui l’embrassais pour la remercier d’être si belle, si disponible. Et obéissante. Peu habituée à ces marques de tendresse, elle fondit en larmes. Je la serrais contre moi pour la cajoler mais très vite, sa bouche partit à la découverte de mon corps. Qu’elle connaissait bien, pourtant. Mon cou, ma poitrine, mon ventre, mon bas-ventre. Elle avait retrouvé sa place de soumise, à genoux entre mes cuisses, et cela la rassurait. Bernadette avait épuisé ses forces sur Odile et laissa le gode ceinture et sa place à Henriette, trop heureuse de pouvoir aussi en profiter. Marie se plaça au-dessus de la bouche gourmande d’Odile pour se faire jouir de nouveau. Bernadette me proposa un thé et c’est en regardant le spectacle offert par les trois femmes que nous l’avons bu.
Elle me demanda si j’avais d’autres soumises et je lui donnais l’adresse de mon blog, et bien évidemment des détails précis. Elle voulait toutes les rencontrer, mais surtout Fatima, une jeune beurette, ce serait sa première. Et Fanny, et Mélanie, etc… En rentrant chez elle, Odile me remercia de cet après-midi de rêve qu’elle venait de vivre. Elle m’installa dans un fauteuil, m’offrit un rafraîchissement et elle prit place sur le sol, à mes pieds. Sa tête s’immisça doucement entre mes cuisses et je la laissais m’emmener au paradis. Ce qu’elle faisait très bien. Plus tard, un peu gênée, elle me dit que sa nièce, Sabrina, la fille de son frère qui ne lui parlait plus, lui avait téléphoné. Elle voulait continuer ses études à Nice et désirait venir habiter chez elle, si cela était possible. Elle devait venir le week-end suivant pour prendre ses marques et en discuter de vive voix avec sa tante. Cela pourrait poser un problème. Ou pas du tout.
On a refait l’amour toutes les deux et ensuite, pendant ce doux moment de tendresse après l’amour, Odile m’avoua qu’il lui manquait un enfant dans sa vie. Jamais elle n’avait rencontré un homme qui pourrait partager sa vie. Bon, tant pis. Mais un enfant, ça lui manquait vraiment. Son horloge biologique tournait et elle craignait la ménopause précoce. Je lui dis que c’était bien d’en parler. Et que je trouverais un moyen. Elle me remercia, les yeux remplis de larmes. J’avais mon idée mais je devais la creuser. Elle prit rendez-vous avec sa gynéco qui fut heureuse d’apprendre sa décision et confirma, tests à l’appui, qu’elle était prête.
Je reçus le lendemain un message de Liliane qui souhaitait me parler de vive voix. Je la rappelais pour lui dire que j’étais libre de passer maintenant. Une héritière comme elle, ça n’a que du temps libre qu’elle cherche à combler. J’y allais donc de suite. Jacinta était en cours. Dommage. Cette femme si belle, si fière d’ordinaire, semblait timide en me voyant. Sans doute peu habituée à demander un service. D’habitude, elle ordonne et on lui obéit. Mais là, c’est elle qui était demandeuse. Une de ses amies, Lorianne F., très riche aussi, mais plus âgée, cherchait une personne pour la seconder, la soigner. Une infirmière, en somme, mais avec des compétences particulières. De celles qu’on ne peut pas demander ouvertement sans se retrouver avec un procès. Et une somme astronomique à débourser ensuite. Liliane savait que ce qu’elle demandait était difficile mais précisa que tous les frais engagés seraient remboursés, et qu’il y aurait une belle prime à la clé. L’argent ne m’intéressait pas plus que ça. J’en avais assez pour vivre convenablement. Mais le challenge me passionna. Mais je n’en laissais rien paraître.
Liliane était près de moi, sur le canapé. Elle me regarda me lever. J’avais besoin de marcher pour réfléchir. Un plan se mettait en place dans ma tête. Je savais comment résoudre ce challenge, même si rien ne serait simple. Je voyais Liliane, inquiète, n’osant bouger. Ou parler. De crainte de gêner ma réflexion. Je passais derrière elle et posais mes mains sur ses épaules dénudées. Je fis glisser les fines bretelles de la robe et mes mains descendirent sur sa poitrine. Une poitrine de star. Elle portait un soutif bandeau, facile à retourner pour accéder à ses deux merveilles. Je la pelotais et elle se laissait faire. Afin qu’elle s’abandonne totalement, je lui murmurais.
« Liliane. J’ai la solution pour ton amie ».
Elle leva les yeux vers moi, émue, et je pris ses lèvres pour un tendre baiser. Sans la quitter des yeux, je repassais devant le canapé, la fis se lever. Sa robe glissa à ses pieds, sans qu’elle ne fasse un geste pour la retenir. Elle était nue, ou presque. Splendide et si désirable. Elle m’entraina vers un petit salon, plus privé, équipé de sofas, et dont les tiroirs cachaient mille trésors. Des godes, une cravache, des vibros de toutes sortes. Je l’ai forcée à se mettre à genoux entre mes cuisses. Inutile de lui expliquer ce qu’elle devait faire. J’ôtais ma petite robe et elle écarta le tissu de mon string avec sa langue. Elle me lécha un moment jusqu’à ce que j’attrape un gode ceinture. Elle m’aida à m’équiper et prit le gode en bouche pour bien l’humidifier.
Je la positionnais à genoux sur un sofa, les avant-bras sur le dossier. Les cuisses grandes ouvertes étaient une invitation que je ne pouvais refuser. Je l’ai pénétrée d’un coup, tellement elle était prête à me recevoir. Nous avons baisé longtemps, ce jour-là, et j’en suis repartie ravie. Liliane aussi. En sortant de chez elle, je demandais à Florette de me retrouver au restaurant d’Annabelle après son boulot. Je l’y attendrais. 17 h 15, elle était là. Merveilleuse et souriante. Elle fit la bise à Annabelle, puis à moi. Avant de s’asseoir près de moi, je glissais ma main sous sa jupe.
« Enlève ta culotte. Et donne-la à Annabelle ».
Elle n’était pas là pour ça mais pourquoi ne pas en profiter? C’est donc une main entre ses cuisses que je revenais sur une conversation que nous avions eue, il y a quelques temps. Elle m’avait parlé de sa cousine qui était partie continuer ses études médicales à Cluj-Napoca, en Roumanie.