Olivia (08/08)

Elle reprit à son compte ce que Solange lui avait fait, martyrisant sa poitrine en se frottant sur sa chatte encore toute humide de ses sécrétions. Et David prit enfin possession de son corps si désirable malgré son âge. Il peut enfin poser ses mains sur ses cuisses, gainées de bas noirs, autofixants. Elle se met à ronronner comme une petite chatte en chaleur car elle a compris que ça va être son tour. Enfin son Seigneur et Maître va l’honorer dignement et rien que d’y penser, elle jouit tendrement. Ce qui n’a échappé à David qui pénètre enfin sa grotte aux mille plaisirs. Elle est inondée, chaude et si accueillante, comme un nid douillet. Un endroit si délicieux que c’est une véritable souffrance de le quitter.

Alors il reste encore un peu, la pénètre profondément. Tendrement. Ce n’est plus la cavalcade fougueuse qu’il a exercé sur Solange. Ce n’est qu’une douce promenade aux confins d’un plaisir extrême. Celui de deux êtres qui se désirent ardemment, et depuis trop longtemps. Il va et vient en elle, les mouvements qu’il lui imprime la force à se frotter voluptueusement contre la chatte de Solange et cela décuple son plaisir, prise entre deux feux. Elle finit par s’écrouler sur le torse de sa cheffe lorsqu’un nouvel orgasme la terrasse. Elle tète désormais les tétons fortement érigés d’une Solange qui s’apprête à vivre un autre orgasme, semble-t-il, plus puissant encore que les précédents. David a bien du sentir que quelque chose d’énorme se préparait sous ses coups de reins.

Tout à son plaisir personnel, il sortit enfin de cette chatte si accueillante pour, immédiatement investir son cul. Olivia était prête à tout et elle espérait même que son jeune amant ose la prendre de cette façon un peu moins conventionnelle. Mais le fait de sentir cette queue, qui progressait gentiment en elle, déclencha un véritable tsunami en elle, entrainant avec elle la belle Solange. Les deux femmes agrippées l’une à l’autre, tremblotaient comme des feuilles sous une douce brise d’été. Elles étaient constamment secouées de spasmes voluptueux qui prolongeaient leurs plaisirs. Et David atteignit enfin le nirvana et se répandit abondamment dans ce cul si serré. Il ressortit, en vainqueur, dans un « plop » caractéristique et s’approcha de la bouche de sa soumise.

Avant qu’il n’ait eu le temps de réagir, c’est Solange qui happa sa queue entre ses lèvres pulpeuses et l’aspira en elle. Elle le pompait avec ardeur et récoltait les dernières goutes de sa semence. Difficilement, il quitta cette bouche gourmande pour offrir sa queue à sa soumise. Elle le prit comme un cadeau divin et réussit à redonner de la vigueur à ce membre qui en avait perdu. David bandait à nouveau et Solange commença à lécher ses couilles qui pendaient si près de sa bouche. Les deux femmes s’accordèrent pour lui offrir la meilleure fellation qu’il n’avait jamais eue de toute sa vie. Et c’est Solange, la plus perverse des deux, qui réussit à le faire jouir en premier. Il faut dire qu’elle avait planté son majeur dans le cul du jeune homme pendant qu’elle le pompait à nouveau.

Il éjacula abondamment dans la gorge de Solange, puis dans celle de sa soumise. Il s’éloigna ensuite de ces deux furies qui se battaient, bouche contre bouche, pour récolter le maximum de semence. Elles se frottaient l’une contre l’autre, faisant monter inexorablement le désir qu’elles avaient de se goûter à nouveau. C’est donc Olivia, puisqu’elle était toujours au-dessus de sa cheffe, qui se tourna tête-bêche pour lécher l’intimité de Solange, en lui offrant la sienne. Les deux femmes se bouffaient amoureusement sous les yeux intéressés d’un David, pour le coup, simple voyeur. Olivia exposait ainsi impudiquement son anus grand ouvert suite à ce qu’il venait de subir. De ce trou béant coulait une substance que Solange avalait avec délices.

Les deux femmes exultèrent une dernière fois, en parfaite symbiose. Elles restèrent ainsi un moment, tentant de récupérer. Olivia se leva la première, le regard triomphant. David, son Maître, l’avait baisée et même, enculée, pour son plus grand plaisir. Elle avait joui également sous la bouche et les caresses de sa cheffe qui était bel et bien tombée dans le piège que son amant avait fomenté. C’était pour elle une grande satisfaction après toutes les brimades et remontrances qu’elle avait dû accepter de sa part. Et pour finir, elle avait maintenant la certitude qu’elle aimait les femmes, presqu’autant que les hommes. En y réfléchissant bien, si elle excluait David de l’équation, c’est bel et bien avec des femmes qu’elle préférait faire l’amour, désormais.

Solange, bien sûr, Henriette, pourquoi pas ? Et tant d’autres, ses anciennes collègues de l’Éducation Nationale ? Un nouveau monde s’ouvrait à elle et elle n’avait aucune crainte pour s’y engouffrer, vu qu’elle serait accompagnée par son Maître. Il avait su raviver sa libido, sans même la toucher. Il lui avait fait découvrir de nouveaux plaisirs et surtout, il l’avait baisée comme jamais aucun homme ne l’avait fait auparavant. Pour la première fois, elle se sentait femme entre les mains d’un homme attentionné à son plaisir à elle. Oh, bien sûr, lui aussi avait dû ressentir énormément de plaisir, elle en était certaine, mais c’était avant tout son plaisir à elle qu’il recherchait, avant le sien.

David restait assis sur le fauteuil, observant ces deux femmes splendides qui se rhabillaient. Deux attitudes, pourtant. Olivia était fière d’exposer son corps, ses formes pleines de femme mûre. Solange se sentait coupable et tentait de se cacher, alors que les deux autres personnes dans ce bureau l’avaient déjà vue entièrement nue. Dès qu’elle fut prête, elle tenta de s’éclipser mais David l’en empêcha. Il lui demanda gentiment d’aller remercier Olivia pour tout le plaisir qu’elle lui avait procuré. Elle n’hésita qu’un instant, voyant qu’elle n’aurait pas le dernier mot. Elle s’approcha de sa subalterne et l’embrassa sur la bouche, dans un baiser passionné et très voluptueux. Elle ne put s’empêcher de peloter encore une fois la voluptueuse poitrine, désormais de nouveau enfermée dans son joli soutien-gorge.

Elle allait quitter la pièce quand elle se ravisa, s’approcha de David et s’offrit une dernière fois à ses lèvres. La vie de ces trois personnes venait de prendre un nouveau départ et tout retour en arrière était désormais impossible. Dans les jours qui suivirent, Solange croisa plusieurs fois David dans les couloirs. À chaque fois, elle baissait les yeux. Une fois qu’il était sûr que personne ne pouvait les voir, il posait sa main sous son menton pour lui faire lever la tête. Elle ne devait en aucun cas avoir honte. Elle avait vécu une expérience hors du commun et elle devait comprendre qu’elle pourrait la renouveler, si le cœur lui en disait.

 

Épilogue

Solange reviendra souvent dans ce bureau pour obtenir les faveurs d’Olivia. Et même celles du jeune homme, son mari ne l’avait jamais transportée aussi haut que ces deux-là avaient pu le faire.

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