Romuald (01/18)

Après notre voyage dans l’est, retour à la normale, ou presque. Je restais en télétravail jusqu’à la moitié du mois de Juin. Ce n’était plus vraiment un confinement, mais une précaution sanitaire, en attendant le vaccin que tous espéraient. J’avais bien évidemment téléphoné à Armelle pour lui confirmer que sa fille était bien installée et qu’elle ne serait pas isolée là-bas, elle s’était déjà fait des amies. Elle en profita pour me rappeler la venue de son dernier fils, à Angers, pour ses tests d’aptitude avant l’entrée à son école pour devenir éducateur sportif. Je lui confirmais qu’il serait bien reçu chez moi, le temps qu’il voulait. Elle me demanda une dernière faveur, celle de venir moi-même le chercher, ici chez elle.

Elle m’expliqua qu’il lui était difficile de faire de longs trajets, surtout quand elle ne connaissait pas encore la route. Elle me dit qu’elle me rappellerait dès qu’elle aurait la date précise. Suite à son appel, j’ai reçu un mail pour me demander de revenir au bureau dans la matinée du 10, c’était un mercredi. Super, je pourrais en profiter pour passer au marché, place Lafayette. C’était bien sûr ma responsable qui m’avait demandé de revenir ce jour-là. Nous avons fait un point rapide sur les projets en cours. Désormais, je serais beaucoup plus impliquée dans le changement à venir, la préfiguration du nouveau SGCD. Un nouveau service de l’État mis en place pour regrouper les services RH, Achat, Immobilier et Logistique. La seconde raison était qu’elle voulait me voir, physiquement.

Elle m’avait demandé de rester à genoux devant elle et avait recouvert ma tête avec sa longue jupe. Je me suis occupée à la lécher pendant qu’elle m’expliquait mes nouvelles missions. J’appris à ce moment-là que je pourrais choisir le poste qui me conviendrait au mieux dans la future organisation. Et, évidemment, je serais titularisée. Je redoublais d’ardeur en apprenant cette nouvelle. Christiane avait vraiment besoin de jouir dans ma bouche et elle le fit magnifiquement bien. Mais elle voulait également me faire jouir, goûter elle aussi à mon nectar. Elle me fit asseoir sur son bureau, souleva ma minijupe et écarta mon string.

Elle était toujours aussi douée avec sa langue et je ne résistais pas longtemps à ses ardeurs. Elle m’attira ensuite sur ses genoux, pour soulever mon top à bretelles et caresser voluptueusement mes seins qui étaient vraiment à la fête. Perdue dans ses pensées, elle me caressait machinalement. Puis soudain, comme un éclair, elle me demanda ce que je faisais ce week-end. Je n’avais rien de précis de programmé. Elle m’invita donc pour le barbecue qu’elle organisait chez elle, juste la famille. Elle et ses enfants. Son mari serait là aussi, évidemment. J’allais donc revoir Léandre, presque un an après nos ébats, Ludivine que je voyais encore parfois, mais pas assez souvent. Joël, son mari, et leur fille aînée, Léa, que je ne connaissais pas encore.

Tout ce que je savais d’elle, c’était qu’elle était mariée, mère de deux jeunes bambins. Je savais par Ludivine que les deux sœurs étaient très proches, presque fusionnelles. Léandre ne serait pas seul, lui non plus, car accompagné de sa petite chérie, Johanna. Je l’avais rencontrée une seule fois, cette petite lolita. Une jeune fille timide et réservée, qui avait subi un préjudice énorme. Une tentative de viol, requalifiée en agression sexuelle. Heureusement, le coupable avait été interpelé, jugé et condamné à sept ans de prison. Maigre consolation lorsque l’on pense au préjudice psychologique  qu’elle a subi.

Avant de quitter les bureaux, je fis un tour dans les couloirs pour saluer ceux et celles qui étaient présents. Francis, le directeur, était bien là, toujours fidèle au poste comme il l’a été durant toute la pandémie. Il referma la porte de son bureau derrière moi et vint aussitôt se coller à moi. En souvenir des merveilleux moments passés avec lui, ou avec son collègue, Wilfrid. Il avait posé ses mains sur mes hanches et se frottait allègrement contre mes fesses. Il pouvait également plonger son regard dans mon décolleté. Je sentais son souffle chaud dans mon cou, son envie grandissante dans la raie de mes fesses.

Mais il restait prudent cependant, nous avions parfois failli être surpris par la secrétaire de direction qui ne semblait pas trop m’aimer. Serait-elle jalouse de cette relation de proximité que j’avais avec son directeur ? Je me retournais, face à lui, et le poussais gentiment vers la porte. Ainsi, personne ne pourrait nous surprendre. J’ôtais mon top pour le laisser admirer ma poitrine et même la toucher, je savais qu’il en rêvait. Puis, tranquillement, je m’attaquais à la ceinture de son pantalon. Il glissa lentement au sol, je le suivis, entraînant avec moi son slip Calvin Klein. Une magnifique érection se tenait désormais devant ma bouche gourmande.

Je jouais un peu avec son gland turgescent avant de l’avaler complètement. Je branlais sa queue dans ma bouche, puis la serrais entre mes lèvres. Terriblement efficace, ce traitement. Il avait énormément envie de jouir dans ma gorge et je le laissais tapisser mon palais de sa semence. Il était beaucoup plus calme après avoir joui. Je rengainais sa queue redevenue flasque après l’avoir parfaitement nettoyée. Je remontais son pantalon en me levant à mon tour. Il n’avait d’yeux que pour moi, pour mes seins qu’il reprit en mains. Il était vraiment doux, et délicat. Un vrai gentleman.

Nous venions à peine de nous éloigner de la porte, en poursuivant notre discussion quand la secrétaire frappa à la porte et entra avant d’attendre une réponse. Nous étions sagement installés, en train de discuter de la future organisation qui prenait forme. Cette femme était perverse, je le voyais dans son regard quand elle me dévisageait. Je n’aurais sans doute plus longtemps à la supporter mais j’avais envie de me venger d’elle, de lui faire payer ses réflexions mauvaises, ses sous-entendus malsains. Je quittais mon directeur et son bureau,  je pris congés de mes collègues et j’allais faire un tour sur le marché, Place Lafayette. Très peu de monde en cette période de retour à la normale, même les exposants étaient moins nombreux.

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