Barbara (02/08)

–« Oui, bien sûr. J’ai eu plusieurs aventures ».

Tout en discutant, je fis signe à Amélie de passer sous le plan de travail et d’ouvrir le pantalon de la belle. Elle n’attendait qu’un signe pour passer aux actes, sachant à l’avance ce que je lui demanderai.

Je pris les deux mains de Barbara dans les miennes.

–« Regarde-moi dans les yeux et laisse la faire ».

Seulement maintenant, elle s’aperçut qu’Amélie était à ses pieds, et tentait de baisser son pantalon en toile. Elle réussit à le descendre suffisamment pour atteindre la chatte de Barbara. Et se mit à la lécher goulûment. Accrochée à ses fesses, elle ne lâcha pas sa proie avant qu’elle n’ait joui sous ses caresses. Je ne la quittais pas du regard et je vis ses yeux s’embuer de plaisir, puis de reconnaissance pour cette première expérience. Michaël passa tout près de nous et demanda comment ça allait. Barbara baissa les yeux pour cacher son émoi. Amélie était invisible mais sa langue continuait à nettoyer la chatte de sa proie. Je lui dis que tout se passait bien et il repartit vers son tracteur. Vers 15 heures, Francis nous amena à tous des boissons fraîches, jus de fruits, soda et de l’eau. Après cette pause, il me ramena avec lui dans sa voiture. Je confiais Amélie aux bons soins de Barbara.

Francis avait à sa disposition un petit bureau dans un bâtiment isolé où personne ne venait. Il s’installa sur sa chaise et m’expliqua ce qu’il attendait de moi. Comme il n’y avait qu’une seule chaise, il me proposa ses genoux. Pas le choix. Je sentis très vite sa queue grossir contre mes fesses mais je fis semblant de ne pas m’en rendre compte. Mais je me frottais contre cette protubérance, tout comme avec Michaël. Il posa ses mains sur mes hanches pour accompagner mes massages. Il ne tarda pas à jouir, la bosse se fit toute molle. Un peu honteux, il se leva pour me laisser la chaise et finir d’étudier ses documents. Il marchait de long en large, fébrile. Il voulait plus mais ne pouvait pas, pas encore. Et il se doutait que je dirais non. Il se calma un peu et vint s’accroupir près du bureau pour voir comment je rédigeais ses documents. Parfois, il levait vers moi ses yeux de chien battu.

L’idée du petit chien me fit sourire, d’autant qu’une envie montait en moi.

–« Mets-toi à genoux, mon toutou. »

Il le fit aussitôt, sans même y réfléchir. Il semblait attendre l’ordre suivant.

–« À quatre pattes, maintenant, comme un bon gros toutou. »

Il tirait la langue pour imiter le gros toutou.

–« Il a une belle langue, le toutou. Il sait s’en servir, de sa langue ? »

Il fit signe que oui de la tête. Je baissais mon jogging sur mes genoux et l’attirais entre mes cuisses. Pas besoin d’ordre pour la suite, il se doutait de ce que je voulais, et il se mit à me lécher. Timidement d’abord, puis prenant plus d’aisance. De sa langue, il écarta le string et atteignit enfin son but.

Oh mon dieu ! Quel délice ! Il me léchait comme si sa vie en dépendait. C’était réellement divin. Je lâchais mon crayon pour profiter de cette merveilleuse caresse. Je résistais tant que je pus pour enfin éclater de plaisir dans sa bouche. Il continua de bien lécher partout, avalant toute ma cyprine. D’une caresse sur sa tête, je le remerciais comme j’aurais flatté un chien. Je me levais de ma chaise et il reprit sa place. Je lui expliquais les erreurs dans ses documents, pour qu’il apprenne à ne pas les refaire. Mais lui me regardait fixement.

–« On pourra … le refaire ? »

— » … Demain ? »

Je le fais languir un peu avant de souffler un « Oui, demain ».

En sortant du bâtiment, j’aperçus Michaël qui ramenait les cueilleurs avec son tracteur. J’aidais Amélie et Barbara à descendre. Elle nous guida vers le vestiaire des femmes. Des armoires métalliques, des bancs en bois, des lavabos pour se laver les mains. Plus une douche et un WC. Les femmes, qui avaient travaillé avec nous, enlevèrent leur blouse avant de prendre leur manteau et dire « à demain ». Amélie se lava les mains, tout comme Barbara. Celle-ci ouvrit son placard, ôta sa blouse, son tee-shirt et son pantalon. Elle était en sous-vêtements, là, devant moi. Je ne pus résister à l’envie de l’embrasser, furieusement. Je la poussais doucement vers le banc, la fit asseoir puis s’allonger dessus. Amélie se mit à genoux entre ses jambes ouvertes et reprit son léchage. Moi, je profitais de sa bouche, de ses lèvres gouteuses, un petit goût de fraises, et je caressais sa poitrine. Je sortis un sein de son bonnet et me mis à le sucer. Elle posa sa main derrière ma nuque, acceptant la caresse, la désirant même. Une ombre obscurcit légèrement le vestiaire. Je jetais un œil vers la fenêtre pour y apercevoir Michaël qui nous observait. Il partit aussitôt qu’il capta mon regard.

Barbara gémissait doucement sous nos caresses. Puis, d’un coup, l’orgasme la prit. Elle se souleva du banc pour crier son plaisir. J’avais ma bouche collée à la sienne, personne n’entendit. Je la laissais quelques minutes se remettre de ses émotions, puis nous l’avons aidée à se rhabiller. Soutif, jupe et chemisier. Elle nous fit la bise avant de reprendre son vélo pour rentrer chez elle. Francis nous attendait patiemment, près de sa voiture. En arrivant, il prit une douche, se changea pour aller voir des clients et ne revint que vers 19 heures, pour le diner. Amélie était plutôt contente de sa première journée. Elle expliquait à sa mère comment on devait ramasser les fraises.

 

Mardi 02 Septembre 2014

 

Le lendemain, jour de rentrée scolaire pour Charlène. Elle déjeuna donc avec nous. Heureuse de retrouver ses amies, et Lucie. Amélie, comme toujours en retard, j’attendais dans la voiture, près de Francis. J’avais mis une robe d’été, et dans un sac, mes vêtements pour travailler. Quand il me vit ainsi habillée, Francis posa sa main la peau de ma cuisse. Je l’enlevais gentiment et il prit alors ma main pour la poser sur la bosse de son pantalon.

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