Romuald (03/18)

Je rejoignis la place Imbach et sonnais chez elle dix minutes plus tard. Elle me fit entrer et se jeta sur moi, dès que la porte fut refermée. J’étais déjà nue lorsqu’elle me poussa vers sa chambre. Une femme splendide était allongée sur le lit, pieds et mains liées aux montants du lit. Elle me fit signe d’entrer sans bruit. Ce corps, je le reconnaissais pour l’avoir déjà vu. C’était Céleste, sa collègue soumise, qui avait déjà profité de mon corps, dans cette même chambre. Sauf que la dernière fois, les rôles étaient inversés, c’était moi qui étais attachée au lit. Nous avons pris chacune un téton en bouche pour l’aspirer, le sucer. Céleste savait donc que nous étions deux. Ma main parcourut son ventre pour atteindre son pubis plutôt fourni. Le confinement a eu des conséquences inattendues. Clothilde m’attira doucement entre les cuisses de la belle et disparut quelques instants. Je l’entendais chercher quelque chose dans un tiroir.

Je connaissais parfaitement les habitudes de mon ex belle-sœur et je ne fis nullement surprise lorsqu’elle pointa le gland de son gode ceinture sur mon p’tit cul. Elle s’enfonça en moi lentement, surprise tout de même que cela glisse aussi bien. Mais, puisqu’elle était dedans, autant en profiter. Elle m’encula donc avec force et convictions. J’étais secouée comme un prunier et j’avais du mal à garder ma bouche sur la chatte que je léchais. C’est donc deux doigts que j’introduisis en elle et les à-coups provoqués par Clothilde se répercutaient immédiatement dans le corps de la femme ligotée.

Je m’écroulais sur le lit, tout près de Céleste, et Clothilde poursuivit son avancée entre les cuisses largement ouvertes. Elle s’enfonça dans la chatte toute trempée et la fit jouir très rapidement. Elle attira ensuite un oreiller qu’elle plaça sous les reins de la femme. C’était son cul qu’elle voulait désormais et Céleste, une fois de plus, subit son assaut. Moi, j’avais un peu récupéré et je m’attaquais à son sein. Quand son orgasme éclata, Clothilde retourna entre mes cuisses et c’est en missionnaire qu’elle me fit jouir de nouveau. Elle n’avait pas joui, physiquement, mais elle était parfaitement heureuse de ce moment passé avec ses deux soumises. Ce n’est que lorsque Céleste fut détachée que, ensemble, nous nous sommes ruées sur elle pour la faire jouir intensément plusieurs fois. Elle aimait les hommes, Clothilde, principalement son grand frère, mais jamais elle ne pourrait renoncer aux femmes.

Le samedi arriva très vite et je pris la route pour leur maison de campagne, isolée en plein champ. Le premier voisin habitait à presqu’un kilomètre. C’est Ludivine qui me l’a dit lorsqu’elle m’a accueillie. Une jeune fille rayonnante, bien loin de celle que j’avais rencontrée la première fois, chez ses parents. Elle avait retrouvé son corps d’athlète et avait même repris plus sérieusement encore les entraînements sur la glace. Elle me présenta sa grande sœur qui venait de nous rejoindre. Léa est une très belle femme, mariée, heureuse en ménage et dans son travail. Deux enfants magnifiques dont le petit dernier qui dormait sagement dans ses bras.

Nous avons rejoint l’arrière de la maison et je découvris avec stupeur une splendide piscine maçonnée, avec l’entourage en pierre. Joël, leur père officiait déjà à côté du barbecue tandis que Christiane, la maman, était en cuisine. Joël quitta son barbecue quelques instants pour venir me souhaiter la bienvenue. Il ne put s’empêcher de poser une main sur mes fesses. J’espérais que personne ne l’avait vu faire. Christiane arriva à cet instant et se jeta littéralement sur moi. J’ai craint un moment qu’elle ne m’embrasse tendrement sur la bouche mais elle a dû se contenir et s’est contentée du coin de mes lèvres. Je savais que Ludivine était au courant de nos relations, entre ses parents et moi. Je savais également qu’elle était très proche de sa grande sœur, qu’elle lui disait tout, ou presque.

Léandre arriva ensuite, avec Johanna, sa jolie petite chérie. Après tout ce que nous avions vécu ensemble, c’est pourtant avec lui que je ressentis l’accueil le plus froid. Derrière eux, Ilhan, le mari de Léa, me fit la bise sans presque même me regarder. Par contre, il jetait des regards envieux sur sa belle-mère et ses formes voluptueuses. J’oubliais très vite l’accueil glacial de mon ancien amant pour me consacrer uniquement sur les personnes qui m’avaient chaleureusement invitée et accueillie. Christiane et Joël. Même si c’était elle qui m’avait invitée, elle ne pouvait l’avoir fait sans l’accord de son mari.

Ludivine me fit faire un tour de la propriété, accrochée à mon bras. Elle fut appelée par sa mère et c’est Léa qui me tint compagnie. Elle avait laissé son bébé dans les bras de son papa. Elle aussi, semblait très heureuse de me rencontrer. Je sentais bien que des milliers de questions se portaient à ses lèvres mais qu’il lui était difficile d’aborder le sujet. Elle finit par trouver la parade en me parlant de sa petite sœur qui avait retrouvé une joie de vivre depuis … Elle n’osa pas poursuivre mais je sentais qu’elle savait bien plus de choses qu’elle n’en laissait paraitre. Je lui précisais que je connaissais Ludivine depuis moins d’un an et que, d’après ce que j’avais compris, c’est principalement le soutien de sa sœur aînée qui l’avait beaucoup aidé.

Johanna et Léandre s’approchèrent de nous mais il repartit presqu’aussitôt avec sa grande sœur. Je rentrais tranquillement vers la maison avec la jeune fille. Elle me parla de sa passion, le dessin artistique. Il lui restait un an pour obtenir son diplôme et trouver un emploi, près d’Angers, de préférence, pour rester près de sa mère et de sa famille. Léandre était lui plutôt porté par l’ambiance des jeux vidéo, aux graphismes époustouflants. Et, d’après elle, il était très doué avec ses doigts. Elle rougit immédiatement après avoir avoué cela. Ses doigts avaient dû explorer bien des mondes étranges. Lui donner des tas de sensations. Elle me confia, en murmurant, que Léandre avait été très surpris de me voir ici. Lui qui pensait que c’était une réunion familiale. Je la savais très timide et réservée, aussi ai-je été très étonnée lorsqu’elle m’avoua.

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