Il était là, à genoux devant moi, et j’aimais cette position dominante. Je retrouvais les filles au vestiaire. Quand nous fûmes seules, je m’approchais de Barbara et posais mes mains sur ses épaules. Elle se retourna et me plaqua contre mon placard. Amélie, sa complice, vint l’aider à me maintenir. Barbara goûta à mes lèvres, comme hier, mais passa sa main sous mon maillot en remontant sur ma poitrine. Amélie baissa mon jogging et l’ôta complètement. Puis releva mon maillot. Barbara quitta ma bouche pour ma poitrine. J’adorais sa bouche sur mes tétons qu’elle avait sortis de leurs bonnets. Sa langue descendit vers mon nombril, mon string, qu’elle écarta pour enfin atteindre ma fente. Amélie prit mes lèvres tout en caressant ma poitrine.
J’aperçus Michaël, à la fenêtre, et pour l’exciter, je baissais le jogging d’Amélie, sa culotte avec, pour offrir à sa vue le beau cul qui l’avait si bien massé. Il me montra son pouce pour dire qu’il appréciait le spectacle, puis disparut. Les deux coquines parvinrent à me faire jouir sous leurs caresses. J’aidais Barbara à se relever pour goûter sur ses lèvres ma cyprine. Amélie se colla à elle par derrière, frottant sa chatte contre le cul de sa complice. Mes mains, curieuses, s’engouffrèrent sous le maillot pour enfin aller caresser les deux merveilles qu’elle me cachait encore. Doux moment de plaisirs partagés. Je soulevais son maillot pour prendre en bouche ses mamelons. Amélie avait glissé sa main dans son pantalon et la caressais très vite. La belle finit par jouir à son tour, un voile de bonheur devant les yeux.
J’ôtais son maillot tandis qu’Amélie enlevait son pantalon. Je l’aidais ensuite à se rhabiller, chemisier et jupe. Elle me passa elle-même ma robe et nous nous sommes embrassées à nouveau avant de sortir. Dans la voiture, pour le retour, Amélie s’amusait à faire remonter ma robe très haut sur mes cuisses. Lasse de la rabaisser, je la laissais ainsi. Même, j’écartais les cuisses pour lui laisser apercevoir mon string. Francis en profita également. Ce soir-là, c’est Charlène qui joua les moulins à paroles. Impossible de l’arrêter. Les histoires de vacances de l’une, ce nouveau professeur de français qui faisait craquer la plupart des filles, … Tout ce babillage pour si peu de chose, lol. Rentrée scolaire, que de souvenirs.
Mercredi 03 Septembre 2014
Le lendemain, même rituel dans la voiture, ma main qui massait Francis à travers le boxer jusqu’à ce que sa fille arrive. Ce matin-là, le responsable demanda trois volontaires pour de la manutention avec Michaël. Je me proposais, ainsi que Barbara et Amélie. Il s’agissait de vider une grosse remorque remplie de sacs de terreau et de les stocker au sol. Michaël nous mena jusqu’au bâtiment et nous expliqua ce que nous devions faire. Barbara et moi dans la remorque pour leur passer les sacs à lui et Amélie. Les sacs étaient lourds, mais à deux, ça allait. Ils commencèrent à les empiler au sol, suivant une procédure connue de Michaël. Leur tas montait à mesure que la remorque se vidait. Une heure et demie après, elle était vide et il alla en chercher une autre. Nous l’attendions, assises sur les sacs.
Quand il revint nous voir, Amélie se leva aussitôt. Il lui fit remarquer que son lacet était défait et il s’agenouilla pour le lui refaire. Je posais mes mains de chaque côté de son pantalon de jogging et le baissais entièrement. Elle n’a pas eu le temps de réagir et se retrouve à demi nue devant Michaël qui, après un temps d’hésitation, posa ses mains sur les cuisses pour approcher son visage de sa culotte. Il respira son odeur puis, voyant qu’elle se laissait faire, baissa la culotte et commença à la lécher. Amélie posa ses mains sur sa tête en signe d’acceptation. Plutôt contente de ma blague, j’attirais Barbara tout près d’Amélie et lui fit embrasser sa poitrine après avoir relevé le maillot. Trop heureuse de pouvoir enfin la caresser et lui rendre le bonheur qu’elle savait donner. Moi, j’admirais le spectacle.
Amélie mouillait comme une fontaine et le garçon devait bander dur lui aussi. Il se releva et la poussa gentiment vers les sacs empilés. Elle s’allongea dessus, jambes écartées. Il sortit sa queue, un bel engin pour ma petite expérience, enfila un préservatif et l’approcha de la grotte humide. Amélie me regarda, me supplia du regard et je le laissais progresser doucement en elle. Elle était comblée enfin et, quand il fut rentré à fond, elle referma ses cuisses derrière lui pour ne pas qu’il reparte. Il commença de doux va et vient en elle, tout en caressant sa poitrine. Je les laissais seuls un moment pour m’occuper de Barbara qui voulait aussi sa part de plaisir.
Je baissais son pantalon à son tour avant de la pousser sur les sacs. Sa tête se trouvait tout à côté de celle d’Amélie, mais à l’envers. J’écartais légèrement le tissu du string pour enfin atteindre sa chatte et la lécher. Elles se regardaient l’une l’autre, droit dans les yeux, attendant le moment ultime de la jouissance. Michaël s’accrocha aux hanches d’Amélie et accéléra les mouvements, tant en ampleur qu’en profondeur. Ma langue tournait tout autour du clito, le titillant parfois, et quand je rentrais un doigt, puis deux dans son cul offert, elle ne put retenir son plaisir. Et Amélie, face à elle, jouit en même temps.
On leur laissa quelques minutes pour se remettre de leurs émotions avant de reprendre le travail. Tout le monde était beaucoup plus détendu et on rigolait beaucoup. Michaël s’amusait à peloter Amélie parfois et elle essayait de l’en empêcher mais il avait toujours le dessus. Et elle aimait se laisser faire, Amélie. J’en faisais de même avec Barbara, glissant mes mains sous son maillot pour caresser sa poitrine. Je réussis à défaire son soutif et à le lui ôter, sans enlever le maillot. Je le gardais dans ma poche. Je lui rendrais ce soir, dans le vestiaire. Tout le reste de la journée, elle resta ainsi, les seins à l’air sous son maillot. J’aimais les voir ballotter de droite à gauche, à chaque mouvement.