Hortense (16/18)

C’était la première fois qu’il grognait pour obtenir ce qu’il voulait. Elle n’avait pas pu l’empêcher de continuer, de peur qu’il devienne plus agressif encore. Alysson, de son côté, était ravie d’avoir pu voir sa mère prendre du plaisir à se faire lécher par un chien. Elle espérait pouvoir lui en parler car elle avait toujours été très proche de sa maman. Même quand Chloé, son amie, avait connu sa mésaventure, il y a quelques mois déjà, elle avait failli lui avouer ce qu’elle faisait avec son propre chien, toujours à l’abri de sa chambre. Elle n’avait jamais trouvé le bon moment pour lui en parler. Mais le chien n’était pas d’humeur à les écouter parler.

Il glissa sa tête entre les cuisses de la jeune fille qui lui ouvrit le passage immédiatement. Elle était prête, sans culotte sous sa jupe. Quand elle se mit à quatre pattes sur le sol, le chien se mit en position derrière elle et s’enfonça très profondément en elle. Le frein commença à gonfler et il se trouva rapidement verrouillé sur sa chienne. Il se mit alors à la marteler de coups de rein puissants. Quand il s’arrêta, c’était pour remplir sa chienne en vue de l’ensemencer. Alysson hurla de plaisir, étouffé par l’oreiller du lit. Clarisse était en feu, après avoir vu deux femmes jouir grâce à Arthur, son malinois. Celui-ci récupérait en se léchant vaillamment les parties. Il ne lui fallait pas longtemps pour se retrouver en pleine forme, prêt à saillir de nouveau sa chienne en chaleur. Clarisse était assise sur le lit d’Alysson et, inconsciemment ou pas, elle ouvrait ses cuisses très largement. Alysson récupérait difficilement lorsqu’elle sentit le chien qui s’approchait d’elle. Mais c’était pour s’engouffrer sous la jupe de sa maitresse. Clarisse avait accepté il y a des mois de venir chez son amie avec Arthur. Elle avait vue de nombreuses fois son amie qui jouissait sous les coups de langue de l’animal. Elle avait toujours refusé qu’il s’insinue entre ses cuisses mais aujourd’hui, elle voulait tenter l’expérience.

Pas question d’aller plus loin, comme Alysson, mais juste se faire lécher. Comme son amie. Et comme sa mère. La langue large et râpeuse entra en action et, malgré la culotte, qu’elle avait gardée, elle finit par jouir bien plus fort que lorsqu’elle se doigtait toute seule, le soir dans son lit. Ce fut une révélation pour elle aussi. Alysson avait assisté à toute la scène et vint s’allonger sur la jeune fille. Elle la regarda droit dans les yeux avant de l’embrasser à pleine bouche. C’était la première fois entre elles, la première fois pour Clarisse également qu’elle embrassait une fille. Arthur, voyant qu’on ne s’occupait plus de lui, se remit à lécher sa jeune maitresse mais aussi Alysson qui avait sa vulve toute proche de celle de Clarisse.

Inexorablement, Alysson glissa vers le sol et, dès qu’elle fut à la bonne hauteur, le chien de nouveau investit sa chienne. Il était toujours en pleine forme, prêt à recommencer. Et Alysson était de nouveau comblée en subissant les assauts de ce mâle intrépide. Alysson était accrochée aux hanches de son amie qui assistait de très près à cette cavalcade effrénée. C’était comme si elle était prise par son chien, la pénétration en moins. Elle en ressentait tous les effets à travers le corps d’Alysson qui se frottait sur elle, sur sa vulve encore sensible du traitement qu’elle venait de subir. Elle se laissa emporter par le plaisir dès qu’il se présenta.

Dans l’excitation ambiante, Alysson avait ôté son haut. Ses seins étaient à la portée de Clarisse qui se mit à les caresser. Arthur avait rempli sa chienne et finissait de la lécher pour récupérer tout ce qui sortait de son vagin. Alysson remonta un peu pour proposer sa merveilleuse poitrine à la bouche de son amie. Clarisse n’hésita pas une seule seconde pour prendre en bouche les tétons à sa portée. La maman d’Alysson, pour la première fois, entra dans la chambre de sa fille sans s’annoncer avant. Elle trouva les deux jeunes filles qui ronronnaient. Elle referma la porte en silence, se promettant de ne plus jamais recommencer. Heureusement qu’elle n’avait pas vu Arthur, caché par la porte, qui léchait son sexe encore impressionnant. Vu que sa fille était nue et Clarisse habillée, il aurait été facile de conclure que c’était bien Alysson qui avait été prise par l’animal.

Quand Clarisse fut partie, avec son chien, Alysson retrouva sa mère dans le salon. Elle ne pouvait interdire à sa fille de revoir son amie mais elle lui demanda, avec un ton autoritaire, de ne plus faire entrer son chien dans la maison. Alysson comprit que sa mère ne souhaitait pas se retrouver piégée par l’animal, obligée de subir sa langue dégoûtante. Elle n’allait pas contredire sa mère, même si cela l’obligeait à trouver une autre alternative pour se retrouver avec Arthur en elle. Elle était suffisamment intelligente pour ne pas aborder sa mère de front mais profita de ce moment entre filles pour évoquer ce qui venait de se passer.

« Maman, tu sais, j’ai tout vu. J’ai tout compris. C’est sûr que tu ne pouvais pas te défendre mais … J’ai vu que … Il me semble que … J’ai bien vu que tu avais pris beaucoup de plaisir. Je suis même presque certaine que tu as joui sous l’effet de sa caresse. »

Sa mère avait rougi, ne pouvant nier les faits. Mais, au-delà du fait que sa propre fille ait assisté à sa déchéance, ce simple souvenir la faisait mouiller de nouveau. Elle ne pouvait d’empêcher de frotter ses cuisses l’une contre l’autre, tentant vainement de calmer la chaleur qui émanait de son bas ventre. Si seulement elle pouvait être seule, ne serait-ce qu’un instant, elle aurait pu se caresser comme une collégienne. Mais que lui arrivait-il ? Jamais, depuis son mariage, elle n’avait ressenti une telle envie de plaisir solitaire. Si Alysson pouvait sortir quelques minutes, elle aurait glissé sa main entre ses cuisses pour satisfaire l’envie qui montait inexorablement. Cette envie, ce besoin, devait être super puissant car, comme par enchantement, Alysson attrapa la main de sa mère pour la positionner en haut de ses cuisses. Elle la fit aller et venir, initiant le mouvement que la maman n’eut pas la force de stopper lorsque sa fille lâcha enfin sa main.

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