Les deux amies gardèrent le contact un bon moment. Un beau jour, Nataly envoya un message disant qu’elle avait trouvé une fille merveilleuse et ce fut son dernier message. Après beaucoup d’attente et quelques recherches, Anna finit par comprendre ce qui était arrivé. Nataly, amoureuse et moins prudente, s’était faite prendre et dénoncée par sa nouvelle coloc. Sa famille l’avait enfermée dans un hôpital pour la soigner et, à sa sortie, l’avait mariée au fils du patron de son père. Nataly était une très belle jeune fille, et intelligente, mais 6 mois de psychiatrie en avaient fait une femme docile et soumise. C’est à l’occasion d’un mariage qu’Anna la revit. Accompagnée de son mari et de ses enfants, Nataly ne l’avait pas quitté des yeux mais elles ne purent se parler, ni même se toucher. Anna, de retour en France, en resta très affectée, d’autant plus que, dans son travail, on lui demandait de surveiller les comptes des employés de l’entreprise sur les réseaux sociaux. Elle refusa, bien évidemment, mais la tâche fut confiée à un de ses collègues moins scrupuleux. Elle fit de plus en plus attention à ce qu’elle diffusait sur la toile et prenait grand soin de son identité numérique. Ce que trop peu de personnes ne font. Elle vivait donc une vie calme et bien rangée jusqu’à sa rencontre avec Alexandra. Jeune fille blonde de 16 ans, peu farouche. Mais avant de raconter leur rencontre, je dois vous préciser dans quelles circonstances j’ai rencontré Anna et les conséquences de cette rencontre. Comme je l’ai dit précédemment, Anna est venue rejoindre sa cousine Aana qui vivait en France. J’avais eu une belle histoire avec elle mais nous nous étions quittées en très bon termes. Elle bossait comme serveuse dans un bar, à Rennes, et parfois, je faisais des extras avec elle pour arrondir mes fins de mois.
Cela devait se passer fin juin 2013. Aana et sa cousine vinrent passer la soirée chez moi et je leur racontais ma « journée sans culotte », vécue quelques jours auparavant. Elles en furent toutes émoustillées, l’une comme l’autre. Rentrée chez elle, Anna commença à écrire mon aventure, ce dont elle se rappelait. Double avantage pour elle : se remémorer l’aventure et en profiter pour parfaire son français. Elle m’envoya le texte par mail, me demandant de corriger les fautes, et les oublis. Ce que je fis avec plaisir. Car moi-même, j’eus beaucoup de plaisir à relire mes aventures. C’est depuis ce jour que je raconte mes aventures, sur « papier ». Il m’aura fallu un an pour décider de créer mon blog afin de partager mes aventures avec le plus grand nombre. Et Anna, depuis ce jour, se lâchait le 22 juin, et sortait sans culotte sous sa jupe. Et donc ce 21 juin 2014, fête de la musique à Nantes, Anna sortit sans culotte. Elle restait très attentive aux personnes qui l’entouraient. Des femmes ou des jeunes filles, le plus souvent. La nuit aidant, la foule agglutinée devant une scène éphémère, Anna sentit une petite main se poser sur ses fesses, sous la minijupe. Persuadée que cela ne pouvait être qu’une fille, et jeune, elle se laissa faire, sans se retourner. Alexandra, puisque c’était elle, s’enhardit devant la passivité de la jeune femme et elle voulut baisser son string. Mais elle se rendit compte qu’elle n’en portait pas. Pour s’en assurer, elle glissa sa main devant et trouva le duvet naturel qui commençait à devenir humide. Personne ne se souciait d’elles et Alex glissa son autre main sous le top d’Anna pour atteindre sa poitrine. Délicieux moment pour Anna qui se laissa porter par le plaisir. Elle inonda les doigts d’Alex qui aussitôt, les porta à sa bouche. Anna se tourna enfin vers elle et recueillit son baiser. Elle y retrouva le goût de sa fente, depuis si longtemps oublié. Elles restèrent collées l’une à l’autre tout le temps du concert. Puis s’éloignèrent quand la foule se dispersa. 6 ans les séparaient et quelques centimètres, mais ces deux-là s’étaient trouvées.
Elles prirent un bus pour se rendre vers un autre concert. Assises tout au fond. Enfin, seule Anna était assise. Alex avait même relevé sa jupe pour qu’elle sente le tissu sur ses fesses. Elle s’était mise face à elle et installée à genoux sur ses cuisses. Alex frottait son pubis contre celui de Anna, qui réussit malgré tout à entrer une main dans son leggings. C’était bien le dos de sa main qu’elle sentait contre sa fente, mais l’humidité d’Alex sur ses doigts. Qui ne tarda pas à jouir enfin. Elles arrivèrent sur l’île de Nantes où une rave sauvage était organisée sur les quais. Musique à fond, mêlées dans la foule, personne ne s’occupait d’elles et elles en profitaient pour s’embrasser, se cajoler sans aucun complexe. La nuit ne pouvait finir que chez Anna, qui habitait tout près d’ici, un appartement avec vue sur le parc de la Crapaudine. Alex texta à son amie Carole de la couvrir en prétextant qu’elle dormait chez elle. Elle accepta, évidemment, et Alex appela sa mère pour ne pas qu’elle s’inquiète. Tout était parfaitement réglé pour qu’elles passent une nuit inoubliable. Elles ont fait l’amour jusqu’au petit jour. Alex intervint à ce moment pour me demander :
« Je peux te raconter moi-même notre première nuit d’amour ? »
« Bien sûr, je t’écoute. »
— Arrivées dans son appartement, je me jette à nouveau sur sa bouche, sans doute pour cacher mon émoi grandissant. Serrée contre moi, bouche contre bouche, elle me guide jusqu’à sa chambre. Là, enfin, elle s’écarte de moi pour ôter son top et sa minijupe. La voilà nue devant moi. Elle m’enlève mon tee-shirt, et soutif, puis descend mes leggings, entrainant avec mon string. Elle m’invite sur son grand lit, après avoir rejeté la couette au pied. Je m’allonge et ferme les yeux. Je sens Anna qui vient se blottir contre moi. Je suis allongée sur le dos, et elle passe son bras sur moi, entourant mon ventre. Elle pose sa tête sur mon épaule et je sens ses cheveux étalés sur ma poitrine. Elle respire calmement, mais je sens le feu dans mon corps. Tout doucement, je sens sa main qui remonte le long de mon corps et qui bientôt atteint l’un de mes seins.