Et tout se passa très bien jusqu’à ce que j’apporte le café. L’ambiance était vraiment détendue et les deux couples avaient fait connaissance un peu mieux. Jérôme avec Fanny et Joël avec Ingrid. Je savais que Joël devait aller se coucher tôt, aussi ai-je dû précipiter un peu les choses. Je me plaçais derrière Fanny pour leur dire à tous.
« Vous savez tous que j’aime les hommes. Mais j’aime encore plus les femmes. »
En disant cela, j’avais posé mes mains sur les épaules de Fanny et je baissais légèrement les fines bretelles de sa robe. Elle eut un geste de défense, puis se ravisa. Elle avait envie de savoir jusqu’où je voulais les amener. Sa robe descendit doucement et je glissais mes mains sur ses seins merveilleux, afin de les cacher à tous. Ingrid ne quittait pas mes mains des yeux, Jérôme, pareil. Elle avait déjà posé ses mains ici, pour y déposer de la crème solaire, et elle avait vraiment apprécié ce moment-là. Jérôme, lui, rêvait secrètement de pouvoir me remplacer derrière Fanny et malaxer à son tour ces seins divins. Joël était subjugué par la passivité de son épouse. Mais, vu qu’il me connaissait déjà bien, il se doutait que la suite pourrait lui plaire. Je me déplaçais derrière Ingrid qui se douta immédiatement de ce que j’allais faire.
« N’est-ce pas, Ingrid ? Tu le sais, toi, que j’aime les femmes. »
Comme pour Fanny, j’avais dégrafé sa robe dans le dos et poser mes mains sur ses seins, pour les cacher aux yeux de Joël qui n’en perdait pas une miette. Jérôme restait bloqué sur la poitrine face à lui, celle de Fanny. Je commençais à caresser les seins de ma belle-sœur sous le regard envieux de Joël qui espérait prendre ma place. C’était exactement ce que j’avais prévu.
« Et toi aussi, ma chérie, tu aimes quand une femme te caresse, oui ? »
Elle ferma simplement les yeux pour éviter de répondre, mais elle les rouvrit très vite lorsque je demandais à Joël de venir me remplacer. Il se leva immédiatement de sa chaise et posa ses mains sur les seins merveilleux d’une Ingrid envoûtée. Elle avait rouvert ses grands yeux mais elle n’avait eu aucun geste de défense contre cette paire de mains encore inconnues. Jérôme fixait son épouse qui se laissait faire et Fanny qui, elle aussi, se doutait de la suite. Personne ne fut surpris lorsque j’appelais Jérôme derrière Fanny. Lui aussi, il prit possession de la poitrine impressionnante de la femme enceinte pour la malaxer amoureusement. Laissant les deux hommes à leur plaisir, je me suis agenouillée entre les deux couples. Je baissais le pantalon de Joël en premier, puis celui de Jérôme. J’étais parfaitement placée pour sucer l’une ou l’autre de leurs queues bien bandées. Devant moi, je vis Fanny qui cherchait la main d’Ingrid, elle la trouva et elles restèrent ainsi, main dans la main. Je menais les deux hommes à la limite de l’éjaculation, mais je stoppais juste avant. C’était à leur tour de donner du plaisir à leurs partenaires respectives. Je finissais de débarrasser la table sur laquelle Jérôme aida Fanny à s’allonger.
En se levant, sa robe avait glissé au sol et c’est presque nue qu’elle exposait son corps fantastique, qui allait donner la vie dans quelques semaines. Jérôme prit grand soin de sa partenaire et il baissa délicatement son dernier rempart avant de se jeter comme un mort de faim sur cette chatte dégoulinante. Joël s’était mis à genoux devant Ingrid et il la léchait consciencieusement. Quand il sentit qu’elle était prête, il l’emmena jusqu’au canapé où elle s’allongea. Elle était déjà entièrement nue avant de s’y coucher. Joël s’empala immédiatement sur cette femme offerte, ne tenant aucun compte des gémissements de plus en plus forts de son épouse. Elle avait joui déjà deux fois lorsque Jérôme la pénétra enfin, avec une facilité déconcertante. Fanny avait croisé ses jambes dans le dos de son amant pour l’empêcher de reculer. Pour moi, la personne la plus importante de la soirée, c’était Fanny et c’est près d’elle que je restais un peu pour jouer encore avec sa poitrine somptueuse. Elle me remerciait de son regard alangui, à la limite d’un nouvel orgasme.
J’ôtais mes vêtements pour me retrouver comme tous les autres et je m’approchais d’Ingrid. Dès qu’elle sentit ma présence, elle m’attira au-dessus de sa bouche et elle me lécha tendrement. J’étais prête à jouir lorsque Joël me tira vers lui et me prit sauvagement à son tour. C’était sans doute trop d’émotions pour lui d’un seul coup et il remplit son préservatif très virilement. Il dut ensuite s’asseoir sur le canapé et Ingrid la première sauta sur sa queue pour la nettoyer. Elle avait gardé une jambe sur le canapé et, dans cette position, je pouvais la lécher encore à ma guise et récolter son nectar. Joël devait aller se coucher pour être levé de bonne heure le lendemain et il se leva pour saluer ses nouveaux amis. Il m’aida à me lever, moi aussi, mais c’était pour me remercier personnellement pour cette soirée mémorable en m’embrassant activement sur la bouche. Il laissa ses vêtements et partit de coucher. Mais la soirée continuait pour nous. Ingrid reprit place sur le canapé et moi au-dessus d’elle.
Malgré mon attirance et mon goût très prononcé pour la chatte de ma belle-sœur, je relevais la tête, inquiète, lorsque j’entendis Fanny répéter plusieurs fois non. Jérôme avait relevé ses jambes très haut, presque à la verticale, et il frottait sa queue sur la raie culière de Fanny. Celle-ci tourna la tête vers moi lorsque Jérôme força légèrement sur sa rondelle encore inviolée. Je le connaissais parfaitement, il pouvait être doux, et tendre. Mais déterminé par certaines occasions et enculer cette femme était son fantasme du moment. Je la vis fermer les yeux lorsque le gland passa la barrière de son sphincter. Jérôme attendit patiemment qu’elle s’habitue à cette toute nouvelle intrusion et je vis clairement le bonheur inonder ses yeux lorsque qu’il la pénétra enfin profondément. C’est à ce moment-là qu’elle tendit la main vers moi. Je la rejoignais aussitôt, suivie d’Ingrid.