À partir de soir-là, je connus des moments d’extase sous ses doigts, me mordant la main pour ne pas crier, hurler de plaisir. La nuit de Noël, il vint me rejoindre dans ma chambre. Il me confia que le seul vrai cadeau qu’il pouvait m’offrir ne pouvait se donner en public. Il souleva la couette, puis ma chemise de nuit et ôta ma petite culotte. C’était la première fois qu’il me voyait nue, qu’un homme me voyait nue, mis à part le corps médical. Il m’offrit, ce soir-là, le plus merveilleux des cunnilingus qu’il m’ait été donné de recevoir de la part d’un homme. Il revint chaque nuit, me comblant toujours plus fort. Je devenais femme sous ses caresses. Aux vacances de Pâques suivantes, j’osais enfin m’approcher de lui quand il se soulageait. Il m’est même arrivé de lui tenir la queue pendant qu’il pissait. C’était une sensation de puissance que je ressentais. Ensuite, je le branlais un peu. J’aimais sentir cette chose grossir sous mes caresses. Il me fallait mes deux mains pour en faire le tour. Il résistait toujours à la tentation de gicler devant moi, se retenant au maximum. L’été suivant, il nous avait préparé une cache pour nous retrouver, à l’abri des regards indiscrets. Il partait « travailler » et je le suivais de loin, jusqu’à ce qu’il disparaisse dans un fourré plutôt dense. La première fois, j’ai longtemps cherché où il pouvait avoir disparu. Puis, j’avais trouvé le passage et je l’empruntais en faisant bien attention que personne ne me voit. Là, seuls dans la pénombre, j’ôtais ma robe, pour éviter de la salir, et je m’allongeais sur lui. Mes cuisses autour de sa tête, bien évidemment. Il me léchait amoureusement durant des heures, tandis que je jouais avec sa queue, ses bourses pleines. Mon opiniâtreté fut enfin récompensée quand, un jour, je réussis enfin à le faire jouir. De grands jets de sperme allaient s’étaler sur l’herbe voisine.
J’avoue qu’il lui est arrivé, une fois ou deux, de vouloir me forcer à le sucer. Je refusais catégoriquement et il n’insista plus. J’avais quand même eu la curiosité de goûter à cette crème, mais le goût ne me plaisait pas. Et c’est encore le cas, le plus souvent. L’hiver suivant, le premier Janvier, je devenais vraiment femme dans les bras de mon ami Charlie. Mon oncle Marco ne l’apprit que l’été suivant. Il tenait à parfaire mon éducation et j’acceptais. C’est chez lui que cela s’est passé la première fois, tout en douceur. Il m’a pénétrée avec beaucoup de délicatesse, mille précautions. Il avait su me préparer auparavant à l’aide de sa langue magique. Mon cœur bat à 100 à l’heure quand je suis dans ses bras, nos lèvres se sont réunies, sa langue glisse dans ma bouche, câline la mienne. Nos bouches avides soudées et ma langue qui tourbillonne avec passion dans la sienne fait vibrer sa bite. Il se décolle de mes lèvres et descend plus bas. Doucement il glisse ses doigts sur le bord de mes lèvres vaginales et je sens le jus de mon désir qui commence à couler de ma chatte encore peu ouverte. Il se recule et il me demande.
– Viens t’asseoir sur mon visage, et regarde-toi dans le miroir pendant que je te lèche, te bouffe et me régale de ta chatte si jeune, presque inviolée.
Coquin le tonton. Je lui souris, m’accroupis sur son visage, et approche mon pubis près de sa bouche en écartant mes grandes lèvres du bout de mes doigts. Je sens mon bouton d’amour qui sort de sa conque et mon oncle grogne.
– Putain que t’es belle ! T’es une chaude, Emma ! Je sens la chaleur de ton sexe qui chauffe mon visage. Ton parfum, chaud et musqué, remplit mes sens, et je suis presque étourdi par le désir devant cette humide rosée qui perle sur ce bourgeon de fleur.
Il sait parler mon oncle. Il a dû en séduire des jeunes filles avec ses belles paroles !
Il fait courir un doigt le long du sentier rose de mon sexe et je commence à haleter quand il m’attire sur sa bouche. Sa langue glisse entre mes grandes lèvres, écarte doucement mes petites lèvres encore serrées et il me lèche de haut en bas, en goûtant le flux riche de mon jus de jeune fille.
– Oh mon dieu, Tonton ! C’est merveilleux, lèche bien ta nièce adorée, tu me fais du bien!
Mes gémissements et halètements augmentent au fur et à mesure qu’il caresse mon sexe qui s’entrouvre de plus en plus. Sa langue tourne à plusieurs reprises autour de mon clitoris, jusqu’à ce qu’il sorte entièrement de sa cachette, bien dur, rose foncé, tremblant sous sa langue. Dans le miroir je regarde mon reflet, mes mains comme des ventouses sur mes seins, les pressant et tirant doucement sur mes mamelons boursouflés, grumeleux, pinçant en gémissant de joie mes tétons durs et érigés, envoyant des ondes de plaisir tout droit au centre de mon ventre.
– AAaahhhh… ouiiiii Tonton… c’est trop bon, t’arrêtes pas. Lèches-moi, comme ça. Vas-y plus fort, continues, bouffes-moi, dévores-moi, je suis à toi, Tonton ! Elle est bonne ma chatte, hein?
Il continue de lécher mon clitoris, sa langue glisse dessus et dessous de ce bouton de plaisir.
– OUIIIII…Juste là, oh mon dieu, je vais…. Vas-y, encore…..Vas-y, oui, ouiiiii… ouiiiiiiiiii…, AAaahhhh… je jouiiiiiiiissss!
Je pousse un long hurlement de plaisir et ma chatte exprime sa jouissance en envoyant dans sa bouche, un jus chaud qui jaillit de son ouverture. J’ondule des hanches et au summum de mon plaisir, j’inonde son visage de ma cyprine. Les yeux plein d’étoiles, je glisse doucement le long de son corps. Quelques minutes plus tard j’émerge.
– C’était incroyable, Tonton, inimaginable et tellement fort !
Je tremble encore quand ma main saisit sa bite, un peu molle à mon goût.
– Maintenant tu vas me baiser Tonton !
Je grimpe sur lui et je frotte ma chatte sur sa queue, couchée sur son bas ventre.