La soumise prit le sexe de son Maître en bouche quelques instants avant de le présenter à la rondelle de Caro. Elle fut pénétrée d’une seule poussée. Elle dut ouvrir la bouche pour reprendre sa respiration, coupée par la violence de la pénétration. Violence et volupté mélangées car très vite, ce furent des râles de satisfaction qui sortirent de sa jolie bouche.
Les mignons entrèrent en jeu également et Marc subit sa première pénétration homosexuelle, l’autre mignon lui suçait la queue avidement. Ils inversèrent leurs places plusieurs fois, pour multiplier les plaisirs. Szofia était toute proche de moi et sembla me demander l’autorisation. Que j’acceptais, évidemment. Elle se plaça de dos par rapport à Marc, lui offrant son intimité.
Elle s’empala toute seule sur la queue devenue monstrueuse, guidée tout de même par l’un des mignons. Puisqu’il était libre, il se rapprocha de moi, trouva facilement l’ouverture de la combinaison en latex qui cachait encore mon intimité et se mit à me lécher passionnément. Clément, le majordome, avait réussi à se glisser derrière Caro et c’est son cul qu’il défonçait joyeusement.
Après avoir pris la femme, il se retrouva derrière le mari qui dut subir également une enculade effrénée. Je vous rassure tout de suite, malgré la taille de cette queue qui le ramonait, Marc apprécia au plus haut point cette nouvelle expérience. Ce furent ensuite surtout des femmes qui s’occupèrent de lui et de sa queue impressionnante.
Maintenant, j’étais au cœur de la mêlée et je fus mise à nu par les deux jeunes garçons, aidés par Szofia. Elle se préoccupa principalement de mes seins, tandis que les « mignons » me prenaient ensemble. Un devant et l’autre derrière. J’étais, vous l’imaginez bien, sur mon petit nuage, enveloppée d’une volupté sans nom. C’était bien Szofia qui dirigeait nos ébats. L’un des garçons m’aida à positionner un gode ceinture et l’autre suça la queue factice avant de la présenter devant la grotte de Szofia.
J’étais en train de baiser cette femme magnifiquement belle sous les regards de l’assemblée. Presque tous. Clément avait décidé de prendre de nouveau possession de Caro. Elle était allongée sur le sol, sur des coussins, et il l’enfila joyeusement, les yeux dans les yeux. Je croisais son regard un court instant et nous nous sommes comprises en un clin d’œil. Elle passa ses pieds derrière les genoux du majordome, l’empêchant de repartir et elle maintint ses bras solidement.
J’étais déjà en position quand il tourna un regard implorant vers la Comtesse d’Orgemont, qui me fit signe, à moi, de continuer ce que j’avais commencé. Lentement, sans aucune préparation, je commençais à m’introduire dans le cul du majordome qui n’en revenait pas. Il allait subir les sévices qu’il avait maintes et maintes fois fait subir aux invités comme aux soumis et soumises. Sa Maîtresse avait donné son assentiment, il devait se résigner.
Et c’est bien tout le monde qui assista à sa déchéance, il pleurait sa mère, lui qui en avait fait souffrir plus d’un. Et tous applaudirent quand il finit par jouir abondamment à l’intérieur de Caro. Il retourna ensuite vers la Comtesse qui soigna ses brûlures anales. Je suis persuadé que cela faisait très longtemps qu’elle rêvait de cet instant, que je venais de lui offrir. Son fier majordome était redevenu un gentil toutou près de sa maîtresse.
La soirée battait son plein. Caro a de nouveau été prise en double et j’ai reconnu Francis, mon directeur qui l’enculait joyeusement. Szofia aussi avait choisi de renouveler l’expérience avec Marc, mais de manière plus conventionnelle. Allongée sur des coussins, il l’a prise en missionnaire, les yeux dans les yeux. Avant qu’un homme ne vienne profiter encore une fois de son cul. Grand moment de plaisir pour ce trio-là également.
Pour ma part, j’avais retrouvé les deux « mignons » qui changeaient de place, alternativement. J’étais à deux doigts de jouir une énième fois lorsqu’Alain me souffla à l’oreille que cela faisait des années qu’il rêvait de ce moment-là. Pendant qu’il m’enculait, il m’a révélé qu’il me connaissait, depuis longtemps, qu’il avait très souvent rêvé de ce moment où il pourrait enfin me baiser, m’enculer. Qu’il n’était pas vraiment sûr la première fois que l’on s’était retrouvés à cette soirée, ensemble pour être lavés par les servantes. Il m’a donc appris, puisque je ne l’avais pas reconnu, qu’il était le fils de Serge.
Petit retour en arrière. Serge travaillait sur un chantier, lorsque j’habitais encore chez les parents après mon accouchement. J’étais en pleine crise post-partum et je ressentais le besoin de m’éloigner de mon cocon familial, de ma mère qui me couvait encore trop, de mon père très attentionné. Et de mon fils, Dylan, qui lui, n’y était pour rien.
C’est donc Serge qui m’avait prise dans ses bras, musclés, m’avait emmenée chez lui, à Angers, où il vivait seul avec son fils, Alain, un adolescent boutonneux. J’avais donc été, sans le savoir véritablement, le fantasme de ce jeune homme qui, aujourd’hui, m’enculait avec un plaisir non dissimulé. Je n’avais pas vécu très longtemps avec eux, jusqu’à ma rencontre avec Stéphane et Jean-Jacques.
Je ne me rappelais plus vraiment le visage de cet adolescent qu’il a été, mais l’ardeur qu’il mettait maintenant à me défoncer m’enchantait véritablement. C’était un jeune homme vigoureux désormais, et entre lui et son complice Alex, j’étais proche du Paradis. Après une cavalcade qui dura très longtemps, il finit par se répandre dans mon ventre, déclenchant ma propre jouissance. Alex, qui se retenait depuis trop longtemps, suivit de quelques instants seulement.
Installés sur un des canapés, un peu plus tard, il m’a raconté le parcours qui l’avait amené ici. Il avait été très touché par ma séparation avec son père. Une autre femme m’avait remplacée dans le lit de Serge et il avait réussi à m’oublier grâce à la tendresse prodiguée par elle. Une femme à forte poitrine, si je me fiais à ses gestes éloquents. Maryse, puisque c’était son prénom, n’était pas pudique du tout. Totalement libre avec son corps. Elle ne fermait jamais la porte de sa chambre, ni même celle de la salle de bains.