Une cravache ou une badine, c’est ce qu’elle choisit. Puis un corset, un justaucorps sexy pour mettre son corps en valeur. Elle en prit un noir, en dentelle presque transparent, et un rouge, imitation cuir mais avec une partie transparente devant qui laisserait apparaitre une partie de sa poitrine, de son ventre et le haut de son pubis. Le dernier accessoire indispensable était le collier, en cuir et la laisse assortie, pour promener son soumis.
Dans son panier, elle ajouta un pince-seins. Puis, on a refait le tour du magasin pour voir si on n’avait rien oublié. Pour elle cette fois, elle prit un canard vibrant, puis vit sur la même étagère un œuf vibrant avec une télécommande. Avec un sourire radieux, elle le mit dans son panier. Pour ma part, j’optais pour le pack de deux œufs vibrants avec la même télécommande. Hummmmm. Dans le rayon suivant, son regard fut attiré par la démonstration d’un gode courbe, vibrant et tournant.
Elle ferma les yeux pour l’imaginer en elle, puis imagina Enzo avec le gode dans son cul. L’idée lui plut et l’objet rejoignit son panier. Pour moi, je rajoutais un gode-ceinture de belle taille, plus gros que celui que j’avais déjà. Je savais déjà qui en profiterait en premier mais ça, ce sera une autre histoire. Julie s’approcha de la caisse pour régler ses achats, puis insista pour régler les miens aussi. Devant son insistance, je cédais et la laissais faire. Je ne vis que plus tard qu’elle avait ajouté deux coffrets, dont un pour moi, contenant des boules de Geisha.
Nous sommes restées au centre-ville pour manger et boire un café. Puis, avant de reprendre le bus, nous sommes passées devant la boutique d’Elodie, mais il y avait vraiment trop de monde. Nous y retournerons une autre fois, une autre fois. Revenues dans son appartement, Julie souhaitait prendre une douche pour se préparer à la soirée mais n’osa pas me renvoyer chez moi. Elle me proposa donc de la prendre ensemble, cette douche.
Elle savait très bien le plaisir qu’elle me faisait et impossible pour moi de refuser une telle invitation. Voulant profiter de l’occasion, je lui demandais si je pouvais la déshabiller moi-même, et la rhabiller ensuite, après l’avoir séchée. Elle me tourna le dos pour réfléchir, des secondes qui me parurent des heures, puis accepta avec un grand sourire. Moi, j’étais aux anges. Je la suivais donc dans sa chambre et, quand elle se retourna enfin, je m’approchais tout près d’elle pour défaire les boutons des bretelles que je passais dans son dos.
Puis, un à un, les boutons devant sa poitrine, la dévoilant de plus en plus, puis son ventre. Je maintenais les deux pans de la robe pour la laisser glisser doucement, découvrant sa culotte, blanche aussi. Je m’accroupis devant elle pour accompagner la robe jusqu’au sol, soulevant un pied puis l’autre avant de la poser sur le lit tout proche. Je défis aussi ses chaussures avant de me relever. Je dus me coller à elle un peu pour atteindre l’attache de son soutif, dans son dos, et le contact sembla lui plaire aussi.
Sa poitrine nue tombait légèrement. Les yeux dans les yeux, je glissais mes doigts dans sa culotte, sur ses fesses, pour la faire descendre. Sur les genoux d’abord, puis de nouveau accroupie devant elle, sa chatte à portée de ma bouche, je la lui ôtais complétement en relevant un pied puis l’autre. Ce faisant, ses lèvres intimes s’étaient ouvertes et je voyais quelques gouttes perler. Elle appréciait le traitement. La voilà entièrement nue devant moi. J’allais me déshabiller à mon tour quand elle me prit les mains pour les lever au-dessus de ma tête.
Elle agrippa mon top et le fit passer par-dessus ma tête, puis coulisser le long de mes bras. Tout comme moi, elle se pressa un peu contre moi pour dégrafer mon soutif. Elle resta ainsi, la poitrine collée à la mienne, et, tout en me fixant, défit l’attache de ma jupe puis la fermeture et la laissa tomber sur le sol. Enfin, tout comme moi, elle glissa ses doigts dans ma culotte, sur mes fesses, pour la faire descendre aux genoux, ensuite, accroupie devant moi, elle l’ôta complètement. Elle finit par enlever mes chaussures, ultime extase, posa un baiser sur mon bouton d’amour. Plus tard, elle m’expliqua qu’elle en avait eu vraiment envie, à ce moment précis.
Elle m’entraina ensuite dans la salle de bains et je la suivis sous la douche. Elle me lava le dos et je lui en fis de même. Je ne pus m’empêcher de passer mes mains devant, sur sa poitrine voluptueuse, ses tétons pointant légèrement. Mes mains descendirent sur son ventre mais je sentis une très légère tension et je n’allais pas plus loin, respectant ses choix. Elle me rinça bien partout à l’aide d’une fleur de douche, le dos puis les seins et elle osa descendre entre mes cuisses. Je la laissais faire. Un doigt, puis deux effleurèrent ma fente, mon clito. Elle m’explorait tendrement et commençait à y prendre goût. Je la rinçais à mon tour, sans aller trop loin, puis, sorties de la douche, je la séchais vigoureusement à l’aide d’un drap de bain, puis ce fut son tour.
Elle me prit les deux mains et, face à moi, en reculant donc, elle m’emmena à nouveau dans sa chambre pour que je puisse l’habiller. Une fois encore, elle me faisait profiter de ses formes qui m’émouvaient tant. Tout était déjà prêt, sur le lit où elle prit place. Elle me tendit d’abord un de ses bas et souleva sa jambe gauche. Je me suis accroupie devant elle pour enfiler le vêtement, prenant bien soin de caresser sa peau si douce. Elle reposa sa jambe et leva l’autre en me tendant le second bas.
Je le lui enfilais avec la même tendresse. Elle me tendit ensuite le justaucorps qui s’enfilait par les jambes. Je le lui ajustais à la taille et me relevais pour lui passer les bretelles et mettre en place sa poitrine dans les bonnets prévus. Elle ferma les yeux quand mes mains caressèrent sa poitrine, pour mieux apprécier ce doux moment. Il me restait à le fermer entre les jambes. Comme elle ne bougeait pas, je posais un genou à terre pour attraper l’arrière du vêtement et l’attacher à la partie frontale.