« J’ignore encore pourquoi je n’ai pas réagi quand sa main s’est posée sur mon sein dénudé. Quand ses doigts ont commencé à jouer avec mon téton gonflé de plaisir. Sans doute la tendresse de ses gestes, la tiédeur de sa peau, son parfum envoûtant ou bien tout simplement les mots qu’il me susurrait à l’oreille ».
« En l’espace de quelques instants, j’étais devenue sa chose, son jouet. Sa poupée. Sans un geste de défense, comme avec mon grand frère. Sans révolte. Il me faisait énormément de bien et j’aurais pu accepter n’importe quoi, pourvu qu’il ne cesse ses caresses fabuleuses ».
« Habitué comme je suppose qu’il l’était, il ne pouvait ignorer dans quel état je me trouvais. Mes tétons pointaient très dur, ma chatte était inondée. J’étais certaine que cela se voyait sur mon visage. Mon short, vue ma position assise un peu de côté, portait déjà les traces de mon excitation intense. Il aurait pu, je le redis, me faire tout ce qu’il désirait, j’étais prête à tout pour jouir sous ses caresses ».
« Mais curieusement, il ne poussa pas plus loin son avantage. Au contraire, il m’aida à remettre mes vêtements en place, me guida jusqu’à la salle de bains pour que je puisse prendre une douche, tout en me rassurant, me promettant que plus personne ne me ferait de mal. Il allait toujours veiller sur moi comme sur un trésor. J’étais sa Princesse »
« Il m’affirma également que le coupable de mon agression serait sévèrement puni. Je le suppliais, au contraire, de ne rien faire. Juste lui faire comprendre que je suis sa petite sœur, pas une de ses copines de lycée. Il accepta, posa un tendre et chaste baiser sur mon front avant de refermer la porte ».
« Je me rappelle parfaitement avoir pris tout mon temps, ce jour-là. J’ai évidemment changé de culotte et de short, pas le haut. La seule différence, c’est que j’avais ôté le soutif, il faisait vraiment trop chaud ce soir-là. J’ai rejoint Romuald et nous avons joué ensemble jusqu’au repas du soir. Papa et Romain sirotaient leur apéro, en nous regardant. Je savais pertinemment que ma poitrine devait attirer leurs regards mais mon papa chéri avait promis de me défendre. J’étais totalement en confiance ».
« Malgré tous mes efforts pour éviter que cela ne se voit trop, même Romuald, habituellement très réservé, osa me faire une remarque sur mes « nénés » qui se balançaient librement sous mon tee-shirt. Il avait dit ça en rigolant mais il ne pouvait détacher ses yeux de ma poitrine. Il en rougissait même, tellement il était ému ».
« Le repas arriva et le sujet principal était la sortie de Romain avec ses copains. Recommandations d’usage, ni drogue, ni alcool. Pour le moins, rester raisonnable avec la quantité d’alcool. Personne ne reparla de l’incident. Tout semblait oublié ».
« Le soir, on s’installa sur le canapé, mon papa au centre. Il avait fait très chaud ce jour-là et je commençais à m’assoupir légèrement, en m’adossant au torse musclé de mon père. Il fit un geste, passa son bras par-dessus mes épaules. Sans malice aucune, je passais mon bras au-dessus du sien, si bien que sa main se trouva posée sur mon flanc droit, juste sous ma poitrine. Je commençais à respirer très fort « .
« Sans un mot, elle remonta inexorablement sur mon sein. Je devenais folle de désirs inassouvis. Je décidais de passer mon tee-shirt par-dessus sa main. Il empoigna immédiatement mon sein droit, le malaxant habilement. J’aurais aimé qu’il utilise son autre main mais elle était coincée par Romuald qui lui, s’était assoupi réellement ».
« Un jingle publicitaire mit fin à son début de sommeil. Papa lui conseilla d’aller se coucher, il serait mieux dans son lit qu’ici avec nous. Sans vraiment se réveiller totalement, il se leva pour rejoindre sa chambre. Papa et moi restions seuls. Il me demanda de m’asseoir sur ses genoux, face à lui. Il me demanda ensuite si je voulais bien lui montrer mes seins, qu’il trouvait fabuleux ».
« J’émis quelques réticences, pour la forme. Il les avait déjà vus, touchés même. Je n’étais pas de ces filles faciles qui se dévoilaient pour le plaisir. Il avait réponse à tout et je savais pertinemment que j’allais accepter. Je souhaitais simplement me faire désirer ».
« Je commençais donc à relever ce tee-shirt. Il me stoppa au moment où mes bras étaient devant mes yeux. Je ne voyais plus rien mais je devinais aisément le regard d’envie sur mes deux globes. Son souffle, puis immédiatement sa langue prirent possession de mon téton, le second étant simplement flatté au creux de sa paume ».
« Il changea de sein et, alternativement, il me téta amoureusement. Je fondais littéralement sous ses caresses. Ma culotte s’humidifiait dangereusement. Je sentais même les effluves de mon plaisir naissant. Sa caresse me rendait folle. J’en arrivais à oublier qui j’étais, où j’étais et surtout avec qui ».
« Instinctivement, je commençais à onduler sur la bosse qui devenait énorme dans son pantalon, je la sentais parfaitement contre ma fente. Il posa presqu’aussitôt une main sur mes fesses pour guider mes mouvements, les maîtriser. L’orgasme arriva très vite, violent et incontrôlable. J’étais secouée de spasmes et je me frottais toujours sur sa queue. Il me laissa me calmer toute seule, mais il garda ses mains sur mes fesses ».
« Encore une fois, je le redis. Il aurait très bien pu profiter de ma docilité pour faire ce qu’il désirait certainement très fort. Mais au contraire, il me porta jusqu’à ma chambre, me déposa délicatement sur mon lit avant de me souhaiter une bonne nuit. Il allait quitter ma chambre quand il se retourna ».
« J’étais déjà sous les draps et j’avais ôté mon short pour dormir. Il me lança un tendre regard et me demanda de lui donner ma culotte. Dans l’état où j’étais, je ne pouvais rien lui refuser. Il s’approcha de moi quand je lui donnais ce petit bout de tissu odorant. Il le porta à son nez et sortit en refermant la porte. J’étais éreintée ce soir-là et m’endormis très rapidement. Mes rêves furent certainement érotiques, les draps s’en souviennent encore « .