La raison pour laquelle je ne pouvais pas rester avec Nicole et Helena, ce vendredi-là, c’est que je devais aller chercher mon amie Jenny à la gare. En effet, elle venait me rendre visite pour ce week-end de trois jours. Je lui avais proposé de lui payer le vol, par avion Angers-Nice, mais elle avait refusé. Par économie m’avait-elle dit, et aussi c’était plus convivial pour faire de nouvelles rencontres en train. De plus, elle venait m’amener personnellement ma commande, celle que j’avais passée, sex-toys et lingerie. Elle aurait pu tout m’envoyer par la poste mais avait trouvé ce prétexte pour revenir à Nice. Je n’allais pas m’en plaindre, personnellement. Un week-end tout entier avec cette coquine.
Jenny est VDI depuis plusieurs mois, maintenant, et cela fonctionne plutôt bien pour elle. Elle a été aidée au départ et son réseau de clientes s’agrandit chaque semaine. VDI signifie Vendeuse à Domicile Indépendante. Pour commencer, parfums et produits de beauté, puis toutes sortes de sex-toys et ensuite, la lingerie sexy. Quand elle a rendez-vous chez une cliente, celle-ci a invité certaines de ses amies. Elle a également choisi les gammes de produits qui seront présentés. Uniquement produits de beauté, mais c’est très rare, sex-toys et\ou lingerie. Pour la lingerie, elle utilise parfois des jeunes filles comme mannequin. Son commerce marche très bien. Elle a déjà pris une autre vendeuse pour répondre à toutes les demandes. Quand elle repart, après la présentation de ses produits, elle a au minimum deux autres rendez-vous de programmés. C’est une excellente vendeuse, qui ne force aucune vente. Tout cela est facilité par la qualité des produits proposés, que les clientes peuvent tester lors de la présentation.
Je n’ai pas encore eu la chance de participer à l’une de ses présentations, mais j’avais commandé un certain nombre d’articles sur catalogue et elle venait elle-même me les livrer à domicile. Et bien évidemment, on les a tous essayés, et utilisés. On a passé le week-end à faire l’amour passionnément, presque entièrement. On est sorties deux fois au restaurant d’Annabelle. La seconde fois, Florette était là également. J’étais bien entourée avec ces deux coquines. Toutes deux avaient la jupe relevée très haut, et une de mes mains entre leurs cuisses. Annabelle n’en pouvait plus de les voir ainsi, offertes et dociles. Jouissant sous ses yeux. Elle aussi s’offrait aux caresses de l’une ou l’autre, se rapprochant tout près. Avant la fin du repas, elle demanda à Jenny de la suivre aux toilettes pour la soulager. Je restais seule avec Florette qui finit par jouir une nouvelle fois entre mes doigts. J’avais collé mes lèvres aux siennes pour atténuer son hurlement de plaisir.
Quand les deux filles revinrent, l’une était comblée, l’autre, heureuse du travail accompli. Jenny passa sous la table pour récolter le nectar de Florette. Elle en profita pour me doigter à son tour. Puis, c’est sa langue qui vint me rendre hommage. Le lundi, je raccompagnais mon amie à la gare en lui promettant d’aller la voir très bientôt. On s’est embrassées tendrement sur le quai devant son train puis elle a rejoint sa place. L’aventure n’était pas encore finie pour elle. Elle me raconta tout dès son retour à Angers. Le siège où elle prit place faisait face à deux autres, séparés par une table. Personne près d’elle mais un homme face à elle. Elle le regarda à peine, puis sombra doucement dans une douce somnolence. Se rappelant nos nuits torrides, sa main disparut discrètement entre ses cuisses. Elle se caressa sans faire de bruit mais oublia l’effet sur ses tétons, qui durcirent très vite et pointèrent sous son corsage.
L’homme en face d’elle réagit très vite et vint s’asseoir près d’elle. Aussitôt, il effleura son sein, la faisant gémir de plaisir. Personne ne pouvant les voir, il s’enhardit et la pelota carrément. Incapable de se défendre, tellement elle en avait envie, elle se tourna vers lui et lui offrit sa bouche. Il avait pris sa main pour la poser sur son pantalon et Jenny le massait amoureusement. Soudain, il se leva, la fixa dans les yeux, lui tendit la main. Elle le suivit comme dans un rêve jusqu’aux toilettes. La porte fermée, elle baissa son pantalon et sortit un sexe de taille raisonnable. Et qui grossissait encore sous ses caresses buccales. Quand il fut à point, il la releva, la retourna contre la paroi et souleva sa jupe. Il marqua un temps d’arrêt en la voyant cul nu. Après avoir enfilé une capote, il se colla à ses fesses, trouva rapidement l’entrée de sa grotte déjà prête à l’accueillir et s’enfonça en elle d’un puissant coup de reins. Il la lima de longues minutes en la tenant aux hanches. Elle se caressait les seins, ivre de plaisir. Ni l’un, ni l’autre n’avait prononcé un mot et elle se faisait prendre par un inconnu.
Et elle aimait ça. Elle jouit une première fois sans qu’il ne s’arrête. Un doigt commença à titiller sa rondelle. Voyant que le passage était déjà fait, c’est deux doigts qui pénétrèrent son cul. Prise des deux côtés, Jenny exultait. Il sortit sa queue pour investir son cul. Lentement. Progressivement. Il lui doigtait le clito en la prenant par derrière. Elle jouit une seconde fois quand il arriva au fond de son cul. Ensuite, il ne pensa qu’à son plaisir à lui, la besognant allègrement. Et elle aimait ça, cette petite salope. Elle repensait à nos moments de baise intense et elle faillit s’évanouir quand il jouit à son tour, l’entraînant à nouveau dans un orgasme dévastateur. Elle se tourna pour le nettoyer, s’essuya avec des serviettes papier et ils sont retournés à leurs places respectives. Il est descendu à Lyon Part-Dieu, sans un mot, juste une carte de visite.
Je n’avais pas oublié d’aller voter lors du second tour des présidentielles. Enfin, quand je dis voter, je n’ai pas voulu choisir entre la peste et le choléra. J’ai écrit à la main Jean Luc Mélenchon sur un bulletin de vote dont j’avais barré le nom. Pour moi, il représente le seul choix possible pour l’avenir de la France et celui de la planète. En voyant qu’une autre agriculture était rentable, beaucoup d’autres pays nous auraient suivis, tout comme après la révolution de 1789. Je n’ai pas revu Mélanie ce matin-là. Mais je la revis dans la semaine pour peaufiner le piège pour Monique et Véro. Et bien sûr, je préparais l’anniversaire de ma petite sœur chérie. Avec Fabiola pour la déco de la maison, et avec Marielle pour les invitations. Au final, nous aurions quarante invités, dont seulement dix garçons. J’avais prévu un DJ, un copain du lycée Masséna avec qui j’étais restée en contact. Nous sommes donc le samedi 13 Mai et les invités arrivent les uns après les autres. Tous connaissent la maison pour y être déjà venus auparavant, les années précédentes. Tous savaient que cela se ferait autour de la piscine, comme tous les ans. Et tous avaient apportés leurs maillots de bain.