Sa bouche partit à la rencontre des tétons turgescents d’une soumise qui s’abandonna totalement aux caresses buccales de sa Maîtresse. Céline avait fermé les yeux et donc, ne s’aperçut pas immédiatement qu’Océane avait quitté sa jupe, elle aussi. Elle se frottait carrément, sexe contre sexe, juste un morceau de tissu qui séparait encore leurs intimités exacerbées. Les mains d’Océane reprirent possession de la poitrine tant désirée, tandis que sa bouche découvrait le ventre, le pubis de sa jeune amie.
Elle plongea bouche ouverte sur ce sexe qui lui était offert, entièrement libérée de toute honte. Elle avait envie de goûter aux délices que Céline pouvait lui donner. Elle suçota ce clitoris, amoureusement, comme sa soumise l’avait fait précédemment. Elle ressentait un bonheur immense à donner du plaisir, presqu’autant que ce qu’elle avait reçu. Et Céline se trouvait parfaitement à sa place, offerte aux caresses de sa Maîtresse.
Elle remonta ses pieds nus sur le lit, s’ouvrant et se donnant encore plus, si cela était possible. Océane trouva son anus frétillant et tenta une langue vers ce trou encore inexploré. En la voyant frémir, elle comprit immédiatement tout ce qu’elle pouvait faire subir encore à sa jeune soumise. Mais elle préféra retourner sur la fente exquise pour la faire jouir intensément. Elle but tout ce qu’elle pouvait de ce nectar offert avec tant de complaisance. Plus elle léchait, plus encore il en sortait, pour leur bonheur à toutes les deux.
Elles se quittèrent, heureuses de cette nouvelle amitié qui débutait. Céline rentra à la maison avant que sa mère ne rentre de son travail. Océane avait gardé, comme un trophée, la petite culotte de coton de sa soumise. Elle l’enveloppa dans un sachet, afin d’en conserver toutes les senteurs, avant de la ranger près de ses petites culottes à elle. En ouvrant le tiroir, elle les trouva très désordonnées, comme si quelqu’un, ou quelqu’une, était venu fouiller dans ses affaires.
C’est un sentiment bien étrange de ne pas se sentir à l’abri chez soi. Pernicieux, même. On s’interroge sur tout, et sur tout le monde qui gravite autour de soi, refusant de penser que la menace arrive de l’extérieur du cocon familial. Sa maman, ou sa tante Linda, n’auraient aucun intérêt à chercher dans ses sous-vêtements. Surtout pas la gouvernante, puisque c’était elle qui les lavait avant de les remettre en place. Restait juste son père, qui pourtant n’avait jamais eu aucun geste déplacé, aucune remarque sur son corps, son physique.
Il la complimentait souvent, par contre, pour son intelligence, ses bonnes notes en classe. Rien de pervers, ou de sexuel. Cela restait un mystère pour elle. Et justement, son intelligence la poussait à découvrir la vérité. La curiosité aussi un peu. Le lendemain, en rentrant du lycée, elle passa par le centre-ville, dans un magasin informatique. Elle cherchait sans vraiment savoir ce qu’elle voulait. Jusqu’à ce que son regard soit attiré par une petite affiche publicitaire qui indiquait.
« Découvrez ce qui se passe quand vous n’êtes pas là !! »
Il s’agissait d’une caméra IP, indépendante, qui envoyait la vidéo directement sur un site sécurisé, dans le Cloud. Un jeune vendeur s’approcha pour lui expliquer tout ce qu’elle devait savoir sur l’utilisation de ce gadget. Il lui proposa même une ristourne si elle en prenait deux, c’était un nouveau produit qui devait trouver sa place sur le marché. Malgré le prix, assez conséquent, elle succomba aux arguments du jeune homme et acheta un lot de deux.
Ils discutèrent encore un long moment sur la manière de la mettre en place et de l’utiliser à bon escient. Océane était plutôt flattée de sentir l’intérêt de ce jeune homme pour elle. C’était la première fois, depuis son histoire dans son ancien lycée, qu’elle se sentait vraiment attirée par un jeune homme. Elle avait bien évidemment remarqué les regards enamourés de JR, mais elle le considérait simplement comme un ami. Ou bien, un jouet entre ses mains.
Une fois rentrée chez elle, elle fila directement dans sa chambre pour installer convenablement la caméra. Elle fit ensuite un test pour vérifier que la vidéo parvenait bien sûr le site dédié. Très satisfaite du résultat, elle oublia un moment ce qui la tracassait depuis plusieurs jours. Depuis la rentrée, en fait. Elle préféra se remémorer ce qu’elle avait fait avec Céline, à la récré du matin.
Sorties très vite de la salle de cours, elle l’a entraînée vers les toilettes des filles et elles sont entrées toutes les deux dans la même cabine. Elle s’est assise très vite sur le siège pour faire son petit pipi sous les yeux éberlués de Céline qui l’observait malicieusement. Pas beaucoup de place, à deux dans la même cabine, Océane n’a eu qu’à tendre les mains pour trouver la culotte de son amie, sous la minijupe. Elle la tire vers le bas, Céline ne disait rien, acceptait tout.
Et maintenant, elle avait énormément envie de faire pipi, elle aussi. Le courant d’air entre ses cuisses, les caresses infiniment tendres de son amie, tout cela contribuait à augmenter son envie. Elle serrait ses genoux les uns contre les autres, mais elle avait énormément envie de les écarter largement pour laisser libre accès à son intimité. Océane se leva et lui laissa la place sur le siège. Elle lui écarta les cuisses au maximum afin de voir la miction couler lentement.
Elle-même n’avait pas remonté sa culotte. Elle posa l’un de ses pieds sur la cuisse de Céline qui avait désormais une vue imprenable sur une jolie petite chatte, qui ne demandait qu’à être léchée. Elle se pencha légèrement en avant pour honorer sa Maîtresse de la plus belle des façons. Les deux jeunes filles ont regagné leur salle de classe, heureuses et comblées. Le midi, entre les cours, ils se retrouvaient souvent, tous les trois avec JR.
Ce jour-là, Océane fit pénétrer la petite main de Céline dans le pantalon ouvert, mais par-dessus le slip. Et lui qui souriait béatement en se laissant caresser. Ce n’est que le lendemain, vendredi donc, qu’il posa pour la première fois sa main sur celle qui lui donnait tant de satisfactions. Céline portait, ce matin-là, un pantalon en stretch, très moulant, avec une veste en jeans pour le haut.