J’arrivais chez ma nouvelle soumise vers 9 heures, ce samedi matin. Elle était habillée et prête à sortir. Une vérification s’imposait pourtant.
« Soulèves ta robe. Et ôtes-moi cette culotte. Très jolie malgré tout. En ma présence, tu dois toujours être disponible ».
Sans un mot, elle ôta le bout de tissu. Je l’amenais à ma voiture et lui rouvrais la porte côté passager.
» Avant de t’asseoir, tu relèves entièrement ta robe sur tes fesses. Et tu pourras prendre place, la peau directement au contact du siège « .
Je refermais la porte et rejoignais ma place.
« Tes jambes, jamais serrées quand tu es avec moi. Si l’envie me prend de te toucher, tu dois juste accepter, et dire « Merci, Maîtresse ». Bien tout compris ».
Elle acquiesça et ouvrit le compas de ses cuisses. Sa robe était longue et cachait encore sa pudeur. Mais rapidement, je posais une main sur sa cuisse pour la remonter. J’aperçus sa fente luisante déjà. Je reprenais le volant pour tourner dans une rue plus animée. Je roulais doucement et certains regards ne laissaient aucun doute de ce qu’ils avaient pu voir.
Odile était toute rouge mais ne tentait pas de se cacher. Totalement soumise, et ça me plaisait vraiment de l’exhiber en public. Un booster s’arrêta près de nous. Le visage se tourna vers l’intérieur de ma voiture. Un homme, certainement. Il nous suivit un long moment, stoppant à chaque fois près de la portière côté passager. Sans que je ne le lui demande, Odile bomba le torse pour lui offrir une meilleure vue sur son décolleté. Le pauvre homme n’en pouvait plus et chuta au moment de repartir. Je le vis se relever et nous faire un geste d’adieu. Nous arrivions près du magasin que je cherchais. Je trouvais une place pour me garer et descendis ouvrir la portière côté passager. Je tenais à profiter du spectacle de ma soumise, sortant de la voiture en étant obligée d’écarter les cuisses. Elle piqua encore un fard mais se prêta volontiers au jeu.
La devanture du magasin était neutre, les vitres blanchies, aucune pub concernant ce qu’ils vendaient à l’intérieur. D’ailleurs, pour ceux qui ne connaissaient pas, cela pouvait ressembler à une ancienne boutique, réaménagée en logement. Mais en poussant la porte, on était tout de suite plongé dans un monde de luxure, de sexe et de désirs. J’étais déjà venue dans cette même boutique il y a quelques années avec une collègue de fac. Mais pour Odile, cela semblait être la toute première fois. Elle ouvrit ses grands yeux au maximum et elle rougissait devant chaque article. Elle avait choisi son rôle de soumise et je devais lui trouver un collier lui rappelant sa condition. J’en trouvais un en cuir avec une médaille que l’on pouvait faire graver sur place.
Je demandais au gérant de la boutique de graver « Odile » d’un côté et « Chienne de Emma » de l’autre. Je lui laissais le collier et la laisse assortie pour continuer nos achats. Un plug anal, en fait un lot de trois de différentes tailles, rejoignit mon panier, un gode de très grande taille, noir comme l’ébène, imitant parfaitement le pénis d’un africain super bien monté, et un gode ceinture complétèrent mes achats. Un couple entra dans la boutique, sans faire vraiment attention à nous. En mettant le gode ceinture dans le panier, Odile comprit très vite qui le mettrait et qui se ferait prendre. Je lui précisais à l’oreille.
« J’aimerais beaucoup te prendre par derrière pendant qu’un homme te baise par devant ».
Je pensais avoir été discrète mais la femme m’avait entendue.
» Si vous le souhaitez, ça peut se faire ici, et maintenant » me dit-elle.
L’idée me plût vraiment et je ne pouvais rater cette occasion de soumettre encore plus ma petite chienne.
« OK pour moi, mais le gérant ne dira rien ? »
« Il est habitué, vous savez. J’ai moi-même souvent essayé un article avant de l’acheter. Et, s’il le souhaite, il viendra nous rejoindre ».
» Je prends les choses en main, si vous le désirez ? »
J’acceptais. Cette femme était une vraie Maîtresse et je devais prendre exemple sur elle. Elle se présenta :
« Je m’appelle Justine ».
» Moi, c’est Emma « .
» Enchantée, Emma. Léo, aux pieds. Tu vas lécher cette chienne pour la préparer. Emma, donnez-moi ce gode ceinture que je vous prépare moi aussi « .
Le mari se mit à genoux devant Odile et souleva sa robe. Pas étonné de la trouver nue dessous. Justine apprécia aussi.
» Toujours prête, je vois « .
Puis, elle se tourna vers moi. Le gode ceinture que j’avais choisi était équipé d’une protubérance à l’intérieur qui permettait de stimuler le point G de celle qui le portait. Justine avala cette protubérance pour bien l’humidifier. Puis sa tête s’engouffra sous ma minijupe. Elle m’ôta mon string délicatement et commença à me lécher. Elle était vraiment très douée et j’étais à deux doigts de jouir sous sa langue. Elle m’enfila ensuite le gode ceinture en positionnant parfaitement la partie interne. Ce qui lui permit de me doigter encore un peu.
» Chienne, à genoux et prépare le mâle qui va te défoncer « .
Le ton de Justine ne laissait aucune place à la discussion. Odile se mit à genoux et entama une pipe sur la queue déjà bien raide. Justine lui tendit un préservatif qu’elle lui enfila.
» Relève-toi et présente ton cul à ta Maîtresse ».
Elle s’exécuta et releva sa robe. Justine avait enduit le gode de lubrifiant et en versa de même sur l’anus de ma soumise. Puis, elle me guida pour la pénétration. Ainsi préparée, je rentrais d’un seul coup tout au fond de son cul. Elle se redressa pour accueillir le mâle dans sa chatte. Il se positionna devant elle, plia un peu les genoux pour bien se présenter à l’entrée et se releva. Difficilement. Le gode dans le cul prenait déjà beaucoup de place. Mais il finit par entrer entièrement lui aussi. Justine avait filmé toute la scène avec son portable. Odile reprenait son souffle. C’était sa première double pénétration. Elle ne l’aurait avoué pour rien au monde mais, à cet instant précis, elle était comblée. Un de ses fantasmes les plus secrets se réalisait enfin. Presque. Elle rêvait de deux hommes. Jamais elle n’avait pensé qu’une femme lui donnerait autant de plaisirs.
Le gérant s’était approché de nous et se colla contre les fesses de Justine. Elle semblait bien le connaître et être habituée à se laisser prendre, quand son corps le lui demandait. Et le fait de nous filmer lui donnait envie d’être prise aussi. Elle le laissa donc relever sa jupe et écarter sa culotte. Elle eut un sursaut quand il la pénétra, mais continua à filmer la scène. Léo et moi profitions pleinement du corps de la chienne. Quand il entrait, je sortais, et inversement.
Bonjour Emma hummm ça du être tellement bon