J’attrapais l’intérieur de mes genoux entre mes mains pour garder mon intimité totalement offerte. Il s’approcha et s’introduit en moi directement, d’une seule traite. C’est tellement bon de se donner entièrement à son amant. Ses deux bras musclés près de ma tête, les jambes serrées, il me pilonnait merveilleusement bien. J’étais, à ce moment précis, la plus heureuse des femmes. Et ça a duré des heures. (Bon, j’exagère un peu). Mais tout a été fantastique, jusqu’à l’explosion de plaisirs partagés.
Plus tard, ma tête posée sur sa poitrine, il me caressait les cheveux. Doux gestes de tendresse après l’acte d’amour. Il osa m’avouer à cet instant qu’il avait toujours rêvé de ce moment-là, de me faire l’amour. Depuis son adolescence, depuis la mienne surtout, quand mon corps a commencé à se transformer.
Plus tard, il me voyait avec mes différents petits copains, il m’entendait parfois baiser avec eux, et il en ressentait une certaine jalousie. Il avait même remarqué une chose étrange. À une exception près, tous mes anciens mecs étaient une copie conforme de Jérôme, grand, brun, musclé, sportif. Et un peu plus âgé que moi. Il en avait déduit que j’étais amoureuse de lui et que, ne pouvant l’avoir, je cherchais des hommes qui lui ressemblaient.
Cet aveu me fit froid dans le dos. Mais un petit frisson bien agréable aussi. Ainsi, c’était cela, j’avais toujours été amoureuse de lui et mes amants, y compris Stéphane, devaient obligatoirement lui ressembler. Le seul qui dérogeait à cette règle, c’est Jordan, le père de mon fils, Dylan. Léandre aussi était trop jeune pour faire partie de cette liste de sosies.
Jérôme me fit l’amour une dernière fois, tendrement. Puis nous sommes allés prendre une douche ensemble. Il me confirma, avant de partir, qu’il reviendrait le vendredi suivant, avec les trois enfants. J’étais folle de joie. J’allais le revoir très vite.
Tout était prêt pour accueillir mes invités le jour prévu. Jérôme avait acheté, en prévision, un matelas d’appoint deux places pour les filles et un de 1 place pour Dylan. Les enfants auront ainsi l’impression de faire du camping dans mon appartement. Le vendredi, il arriva donc vers 18 heures trente chez moi, le temps de préparer les filles, et de passer prendre mon fils.
J’avais préparé un bon gratin dauphinois, je savais que c’était son plat préféré et que les enfants aimaient cela eux aussi. Je laissais les enfants découvrir mon nouvel appartement et restais un instant dans les bras chaleureux de mon frère. Difficile pour lui de cacher ses émotions, sa queue vibrait contre ma cuisse dénudée. Mais impossible d’avoir un geste plus tendre, les enfants pouvaient nous surprendre à tout instant. Après le repas, je regardais le visage de Jérôme, il était vraiment très fatigué. Je lui déconseillais de reprendre la route. Il était d’accord avec moi, sachant qu’il pourrait passer la nuit dans mon lit. Il appela sa femme qui lui préconisa de rester prudent.
« Si tu ne peux pas rentrer ce soir, reste sur place et reviens demain. Je vais finalement accepter l’invitation des copines du boulot pour sortir avec elles ce soir. Ne t’inquiète pas pour moi, je ne vais pas m’ennuyer. Bisous mon chéri ».
Pour être clair, elle lui donnait l’autorisation de découcher. Elle ne se doutait évidemment pas de ce que cela impliquait. Comment l’aurait-elle pu ? Nous avons installé les matelas gonflables dans le salon, les filles dormiraient ensemble près de leur cousin. C’était pour elles une véritable aventure, dormir sur un matelas gonflable. Après les jeux habituels, ils finirent par se calmer et s’endormirent rapidement.
Je rejoignais Jérôme dans mon lit pour une nuit entière de folies en tout genre. Il m’a prise par devant, par derrière, en levrette, toutes les positions y passaient. Il s’est très vite rendu compte que mon cul n’était plus vierge. À l’inverse de sa femme qui lui avait toujours interdit cet accès.
Et il en a bien profité, j’adore être possédée ainsi, comme une chienne en chaleur. Il ne s’est pas beaucoup reposé, mais au petit matin, il est reparti heureux comme tout. J’étais moi aussi aux anges. J’attendais impatiemment son retour le dimanche après-midi, pour venir récupérer les enfants.
Et j’espérais bien un peu qu’il me baise encore une fois.
J’avais préparé un programme ludique pour les enfants, visite de la ville, très rapide, le jardin des plantes et les animaux, Terra Botanica avec son petit train et pour finir Aqua Vita, le lieu de loisirs aquatiques. McDo pour le midi. J’avais bien sûr prévu une légère collation après les jeux d’eau. Je voulais les occuper, passer du temps avec eux et leur faire vivre un week-end inoubliable.
Tout s’est très bien passé jusqu’à ce que nous arrivions devant les cabines pour se changer, à la piscine. Je ne pouvais pas laisser les enfants seuls, donc ils entrèrent avec moi dans la cabine. Dylan se mit en maillot très facilement, sans complexe. Élisa, la plus jeune, se tourna et nous montra ses petites fesses pour enfiler son maillot, une pièce. Céliane était plus pudique, bien qu’elle eût suivi attentivement le strip-tease de son cousin. Elle se tourna entièrement et je ne pus rien voir. Il ne restait plus que moi. C’est également sans complexe que je me déshabillais devant les enfants. Dylan et Élisa me dirent que j’étais très belle. Je les remerciais pour le compliment. Céliane, elle, me regardait, m’observait. Cela me fit des frissons dans le corps. Je me mis face à elle pour ôter ma culotte et enfiler le bas de maillot. Je posais même une main sur son épaule pour garder l’équilibre. Elle ne me quitta pas du regard.
Nous avons profité pleinement des équipements ludiques, toboggans et autres, pendant deux bonnes heures. Retour vers les cabines et les douches, tous ensemble. Je demandais à Céliane de s’occuper de sa petite sœur tandis que je m’occupais de mon fils. L’un et l’autre, debout sur le banc de bois, nous les avons mis nus pour bien les sécher avant de les rhabiller.
Je les ai fait sortir de la cabine, pour que nous ayons plus de place, avec pour consigne de rester près de la porte. Enfin seule avec Céliane. Sans lui demander son avis, j’ai baissé les bretelles de son maillot et défait le nœud dans son dos. La voilà torse nu. J’en fis autant pour moi. J’ôtais ensuite ma culotte avant de baisser la sienne. Sans m’attarder sur sa nudité, je pris une serviette et commençais à la sécher. Mes gestes se transformèrent en caresses, imperceptiblement, et la petite semblait répondre à mes attentes.
I don’t think the title of your article matches the content lol. Just kidding, mainly because I had some doubts after reading the article.