Cougarland (04/06)

« J’ai beaucoup apprécié la manière dont tu t’es occupée de moi la dernière fois et je te laisse libre de me faire ce que tu souhaites. Pourvu que je jouisse, encore et encore ».

J’ouvre le tiroir pour y découvrir toute une collection de sex-toys, des godes de différentes tailles, formes et couleurs, des plugs, du petit au plus gros, un gode-ceinture, que je sors du tiroir, un œuf vibrant également. Je commence par lui mettre le bandeau sur les yeux, afin qu’elle ne voie pas ce que je lui prépare, et lui offrir la surprise de mes caresses. Puis, je la fais se mettre à quatre pattes, la poitrine pendante. Je passe alors un gode de belle taille sur ses lèvres intimes encore humides et très vite, il brille aussitôt de sa mouille, puis je l’approche de son anus, sans le faire entrer.

Nicole frémit à l’idée de le sentir en elle, tellement il est impressionnant, mais je ne fais qu’effleurer sa pastille, l’imbibant de son jus. Puis, ma main attrape un plug anal que je fais entrer d’un coup dans son cul. La surprise de l’attaque la fait vaciller, mais elle se redresse, plus humide que jamais et j’introduis alors le gros gode dans sa chatte toute dilatée. Il frotte contre sa paroi vaginale distendue par le plug et l’effet est saisissant. Je la vois trembler de tous ses membres.

Elle est vraiment magnifique comme ça, prise par le cul et par la chatte, remplie de part et d’autre. Ses tétons paraissent avoir doublé de volume et, après les avoir malaxés un peu, je leur applique une pince à sein à chaque, arrachant à la belle Nicole un petit cri, pour chaque téton. La chainette pendouille maintenant entre ses seins, reliant les deux pinces.

Je prends ensuite l’œuf vibrant et je le fais passer sur son clito, qui aussitôt, réagit. Un second orgasme la saisit et l’oblige à se coucher de tout son long sur le lit, ne pouvant tenir plus longtemps à quatre pattes. Le temps qu’elle se remette, j’enfile le gode-ceinture qu’il me tarde d’utiliser avec elle. Celui-ci est équipé d’une petite proéminence, à l’intérieur, qui me permettra de jouir doublement de la pénétration.

Nicole s’est remise en position, et je me glisse derrière elle. Mon ventre appuie sur le plug pour l’empêcher de sortir, et mes doigts malaxent sa splendide poitrine. Je reprends ma caresse sur ses lèvres et son clito à l’aide de l’œuf vibrant, puis, la voyant bien humide, je retire le gode d’un coup, avant d’y introduire celui de la ceinture. Je la pénètre d’un coup, puis, m’agrippant à ses hanches, je commence à la baiser, de plus en plus loin, de plus en plus vite, et de plus en plus fort.

Je la sens au bord de l’explosion et j’accélère encore, avant de m’effondrer sur elle. Nous avons joui en même temps. Je continue machinalement encore mes va et vient en elle. Puis, sortant le plug, je prends sa place dans son cul. Je la sens à la limite de me dire non, mais le plaisir est trop fort, l’envie trop grande et elle me laisse la pénétrer par le cul aussi. La position ne semble pas la satisfaire. Je lui demande de se mettre debout sur le tapis, le buste affalé sur la couette et les jambes pendantes. Les cuisses bien écartées, je me réintroduis en elle et cette fois encore, je la baise à fond. J’entends sa respiration très forte et cette fois, je la vois s’évanouir par le plaisir que je lui ai prodigué.

Je la retourne et l’allonge confortablement sur le lit, la tête légèrement relevée. Ma langue ne peut s’empêcher de nettoyer sa chatte luisante de plaisir. Puis, pour la faire revenir à elle, je reprends l’œuf vibrant et je le promène sur son corps, sa chatte, ses lèvres. Un murmure de plaisir me signale qu’elle revient à elle. Elle m’enlace tendrement et me câline doucement.

–Oh, ma belle, comme tu sais bien me faire jouir, utiliser mon corps pour le faire vibrer. Une experte, voilà ce que tu es.

Nous restons un moment, allongées, l’une contre l’autre, Parlant de choses et d’autres, se câlinant parfois. Elle se leva la première et tint absolument à me rhabiller, en profitant pour me caresser tout partout et me glisser des bisous, sur mes tétons entre autres. Puis elle me raccompagna à la porte, une main sur mes fesses, et glissa une enveloppe dans mon sac en sortant. Je savais qu’elle me rappellerait, quand le besoin, ou l’envie, s’en ferait sentir.

Sans nouvelles pendant quelques temps, je suis retournée au « Kenland » et j’y ai rencontré d’autres femmes, l’une d’entre elles venait de fêter ses 78 ans mais très bien conservée. D’ailleurs, c’est plus elle qui m’a donné du plaisir que moi qui lui en ai prodigué. Certaines veulent en recevoir, d’autres en donner, rarement les deux. Bien sûr, j’ai revu aussi Murielle et Nicole, jamais ensemble, mais je sais qu’elles se voient depuis notre rencontre de manière plus, disons intime. Et je suis heureuse d’avoir initié cette aventure entre elles deux.

Un soir, toujours dans ce même bar, je rencontre une femme grande, blonde, belle mais vraiment imposante, tant par la taille que par sa façon d’être, une forte femme en somme. Nous l’appellerons « Marianne ». Elle ne me raconta pas grand-chose sur elle, sa vie, ses gouts ni même son adresse. Elle me donna rendez-vous dans un hôtel sur le bord de la quatre-voies. Mais sa demande était d’avoir deux filles à sa disposition, dociles et aimantes. Je m’assurais qu’il n’y avait pas d’arnaque et elle me fit une avance, 200 €, pour me convaincre. J’acceptais, sachant déjà à quelle jeune fille j’allais demander de m’accompagner.

Doriane est une jeune fille très réservée. Solitaire, mais très bosseuse. Je l’avais remarquée à la bibliothèque universitaire, plongée dans ses livres et n’entendant rien de ce qui se disait autour d’elle. Puis au restaurant universitaire, où elle travaillait, sans doute pour combler ses fins de mois. J’ignorais totalement à quel point elle était dans la détresse jusqu’à un certain soir ou je l’ai vue se faire presque éjecter d’une voiture en stationnement sur le campus.

Une grosse berline.

Je courus vers elle pendant que la voiture démarrait en trombe. Elle était accroupie, ramassant son sac qui était tombé et ses affaires éparpillées. Elle sanglotait, en silence. Je l’aidais à se relever et seulement alors, je vis ses lèvres tuméfiées. Mettant court à toutes ses protestations, je l’emmenais chez moi de force. Elle me suivit, résignée.

En pleine lumière, dans ma salle de bains, je soignais son visage en y appliquant une crème. Puis je lui offris de rester manger avec moi. Elle voulut refuser encore une fois, mais en voyant le plat de spaghettis bolognaise que j’avais préparé, elle se laissa convaincre. Elle en reprit même deux fois, signe qu’elle ne devait pas manger à sa faim tous les jours.

Je connais bien ces problèmes liés aux études, et les solutions trouvées par certains et certaines. C’était d’ailleurs un peu mon cas, avec mes « cougars », mais moi, j’avais aussi du plaisir avec elles.

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