Jenny (17/27)

« Voici la tenue que tu devras porter à chacune de tes visites. Ici ou ailleurs. Prends en soin, ou bien tu seras punie. Tu aimes être punie ? »

« Oh non, Madame ».

« Enfile les bas d’abord ».

Assise sur un fauteuil face à Madame, Jenny enfila une jambe, puis l’autre. Langoureusement. Elle se leva pour mettre les sandales, à talon compensé. Et pour finir, elle enfila une blouse d’un vert très pâle, boutonnée devant, qui lui arrivait à mi-cuisse. Pas de sous-vêtements. Évidemment.

« Désormais, tu viendras ainsi vêtue, même dans les transports en commun. Et essayes d’être à l’heure. Ni avant, ni après. Tu seras sévèrement punie pour chaque manquement aux règles. »

« Bien, Madame. »

« Nous sommes entre nous, laisse ta blouse ouverte et présente-moi tes produits. »

Jenny avait eu le temps de préparer une présentation pour chaque élément de sa valisette d’échantillons. Elle s’était mise face à sa psyché pour répéter son laïus. Cependant, elle n’avait pas prévu qu’elle serait presque nue pour sa première fois. Malgré tout, elle remerciait secrètement sa patronne pour avoir choisi une femme qu’elle connaissait déjà pour l’avoir rencontrée dans la boutique. Mais, était-ce vraiment dû au hasard ? Elle commençait à en douter, mais elle acceptait tout, résignée mais heureuse. Plus on la soumettait, et plus elle se sentait épanouie dans son rôle de soumise. Elle se complaisait ainsi et elle finit par s’avouer à elle-même qu’elle n’avait jamais été autre chose. Soumise à ses parents, puis à son premier amour. Ensuite vint Mariya, puis Philippe qu’elle avait failli épouser.

Une longue période de jeûne qui se termina par l’arrivée de Typhaine, puis de Val. Et Madame maintenant. Elle était heureuse, souriante, tout en continuant sa présentation. Vinrent ensuite les premiers attouchements, des caresses subtiles. Avant les tests sur la peau, pour les crèmes.

« Enlève ta blouse, tu risques de la tacher. »

Jenny ôta les bas de Madame, effleurant la peau si douce de ses jambes. Puis, elle appliqua une crème hydratante sur les mollets, remontant vers les cuisses qui s’ouvraient. Elle aperçut le string, rouge, et les lèvres intimes de sa fente. Madame portait un string fendu. Jenny ne pouvait plus détourner son regard de cette chatte qui l’attendait. Son visage, sa bouche, s’approchait imperceptiblement du but. Quand les deux bouches entrèrent en contact, les lèvres s’unirent dans un magnifique baiser. Madame jouit plusieurs fois, et Jenny aussi, avec les différents jouets de Madame.

Et Jenny continua ainsi ses visites. Toutes ne se terminaient pas comme avec Madame. Cela arrivait même rarement. Mais, une fois par semaine, minimum, elle se rendait chez Madame. Un jour, elle eut la surprise de trouver une autre femme, allongée, entièrement nue, sur une table de massage. Une serviette cachait ses fesses, une autre sa tête et donc son visage. Jenny se sentit rougir. Madame offrait ses services à une de ses amies. Et elle allait obéir, encore une fois.

Madame lui ordonna de sortir les huiles de massage et de commencer par les pieds, les mollets pour finir par les cuisses. Un parfum, qui ne lui était pas inconnu flottait dans la pièce, mais impossible de définir exactement où et surtout à qui ce parfum lui faisait penser. Consciencieusement, elle massa les jambes de la femme, plus toute jeune mais très bien conservée. Arrivée aux fesses, Madame lui fit signe de continuer. Elle passa les mains sous la serviette pour masser les deux globes. D’une main habile, la femme fit glisser la serviette au sol, dévoilant un cul splendide. Madame se rapprocha de Jenny, derrière elle, et se colla à ses fesses. Les mains caressèrent ses hanches, ses cuisses pour remonter sous la blouse. Qui remontèrent, défaisant les boutons un par un.

La blouse de Jenny ouverte, Madame pouvait lui caresser et faire pointer les tétons, qui réagirent aussitôt. Tandis qu’elle remontait sur les reins. Puis le dos et les épaules. Madame fit faire un demi-tour à Jenny pour lui ôter complètement sa blouse, pendant que sa complice se retournait sur la table, remettant ensuite la serviette sur son visage. En se retournant, Jenny découvrit le côté face, une poitrine bien ferme et une chatte récemment épilée, en ticket de métro. Le fait que le visage soit encore dissimulé l’intrigua un peu. Elle versa de l’huile sur les jambes, les cuisses et le ventre offerts.

Puis elle reprit son massage. Madame avait ôté sa jupe et son pubis se frottait contre ses fesses. Jenny pouvait sentir l’humidité de la chatte en chaleur qui se frottait contre elle. Elle massa les pieds, les jambes, les cuisses. Elle évita volontairement le pubis, passa sur le ventre, remontant vers la poitrine. Un soupir, même pas retenu, lui fit bien comprendre qu’elle devait continuer le traitement. Elle pelota avec volupté la poitrine offerte, tandis que Madame lui caressait la sienne. Les soupirs de plaisir s’amplifiaient. Jenny s’attaqua aux tétons érigés. N’y tenant plus, la femme avança sa main droite entre les cuisses de Jenny et, de l’autre, montra enfin son visage en ôtant la serviette. La surprise de Jenny fut totale.

C’est sa patronne, Simone, qui se trouvait là, nue, devant elle. Elle se rappela ce parfum qui flottait à son arrivée et se dit qu’elle était bien bête de ne pas l’avoir reconnu aussitôt. Et elle la caressait de plus belle. Et Simone jouit bruyamment. Madame plaça Jenny entre les cuisses de Simone et appuya légèrement sur sa tête. Jenny n’y croyait pas, elle était en train de lécher sa patronne. Et Madame lui mettait un gode dans la chatte et un plus petit dans le cul. Elle se rapprocha de Simone pour lui rouler une pelle. Puis sa bouche gourmande descendit vers sa poitrine qu’elle suça, lécha, malaxa. Simone jouit une seconde fois, très fort. Jenny se mit à genou entre les jambes de Madame et fit monter son désir. D’une main, elle bougeait le gode dans sa chatte tandis que les deux femmes s’embrassaient à pleine bouche. Madame jouit à son tour et inonda le visage angélique de sa soumise.

Puis elle alla s’asseoir sur un sofa. Jenny, à genou, la suivit et plongea entre les cuisses ouvertes. Simone se leva de sa table de massage et, voyant les godes dans les orifices de sa vendeuse, décida de jouer avec. Un gode dans chaque main, elle godait Jenny qui ne résista pas longtemps à ce traitement. Elle jouit en silence, comme une bonne soumise.

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