Elle était toujours remplie, d’un côté, ou d’un autre. Elle eut un premier orgasme et s’accrocha aux épaules musclées de Léo. Puis, je décidais de la prendre en même temps, devant et derrière. Le second orgasme arriva très vite et fut bien plus fort, plus dévastateur. Elle inonda la queue qui la baisait, déclenchant l’éjaculation. Il ôta sa capote et présenta sa queue toute humide aux lèvres d’une Odile qui s’était courbée.
Je continuais à l’enculer et Justine filmait, jusqu’à ce que le gérant lâche lui aussi la sauce. Déclenchant son propre orgasme. Je sentais que j’allais venir moi aussi et j’accélérais encore mes pénétrations. Odile jouit une dernière fois en même temps que moi.
Le gérant se plaça devant sa bouche et elle nettoya avec application les deux belles queues. Léo se retira et elle s’acharna sur celle du gérant qui lui éjacula au fond de la gorge. Léo, lui, nettoyait la chatte gluante de sa femme. Il semblait vraiment apprécier le coût du sperme d’un autre.
« Putain, quelle bonne suceuse ! Il faut vraiment qu’elle soit bonne pour me faire jouir à nouveau aussi rapidement ».
Il ajouta :
» Vous revenez quand vous voulez, vous serez toujours les bienvenues « .
J’échangeais ma carte de visite avec Justine, j’avais vraiment envie de la revoir pour en apprendre plus sur la domination. Je passais à la caisse, enfin c’est Odile qui régla tout et, en cadeau, elle reçut des boules de geishas. Elle se rajusta pour regagner la voiture
Avant de nous quitter, elle me proposa de visiter son lieu de travail. En arrivant dans son bureau, elle alluma son ordinateur et me demanda de prendre place sur son fauteuil. Elle s’agenouilla à mes pieds. Elle lança un programme et une fenêtre s’ouvrit pour afficher une vingtaine d’écrans de contrôle, tous reliés à une caméra différente évidemment, principalement tournés vers les caissières. Il y en avait aussi pour l’accès au coffre, la porte de sécurité et une extérieure. Une caméra surveillait son couloir et une directement sur sa porte de bureau. Personne ne pouvait la surprendre.
Elle joua avec les paramètres pour zoomer en particulier sur une caissière. En analysant ses gestes, il fallait avoir l’habitude, on pouvait remarquer qu’elle ne scannait pas tous les articles. La cliente devait être une amie, une complice ou bien une personne de sa famille. C’était du vol caractérisé.
Elle décrocha son téléphone pour contacter le service de sécurité, afin que, discrètement, ils vérifient que le nombre d’articles dans le caddie corresponde au chiffre porté sur le ticket de caisse. Elle raccrocha son téléphone et lança un autre programme. Cette fois, ce sont les écrans de surveillance du poste de sécurité qui s’affichèrent sur son ordi. On distinguait les caméras surveillant la grande surface, la galerie marchande et le parking.
Sur l’un des écrans, on vit la femme se faire interpeller par deux vigiles qui l’emmenèrent dans un bureau. Ils lui demandèrent de vider son caddie pour vérification, ainsi que son ticket de caisse. Elle prétexta qu’elle ne l’avait pas pris. Tandis qu’elle vidait son chariot, un des vigiles composa le numéro d’Odile.
Elle revint sur son programme, sélectionna un numéro d’écran et lança la vidéo, sur laquelle on voyait parfaitement la cliente ranger le ticket de caisse dans son porte-monnaie. Odile le précisa au vigile qui demanda qu’elle présente son porte-monnaie ouvert. Elle était démasquée. Les vigiles lui redonnèrent les articles énumérés sur le ticket, firent le total de ceux qui n’y figuraient pas et lui demandèrent la différence, sinon, c’est la police qui s’occuperait de ce délit, avec comparution immédiate devant un juge. Elle finit par payer le solde et repartit après avoir laissé une photocopie de sa pièce d’identité.
On n’entendait pas ce qui se disait dans ce bureau mais, d’après les gestes, on put comprendre qu’ils la prévenaient que les caméras la surveilleraient à chacune de ses visites.
J’interrogeais Odile.
« Que comptes-tu faire avec la caissière? »
« Elle sera convoquée pour lui signifier son renvoi ».
» Fais-la venir ici tout de suite, en la remplaçant par une autre par exemple, et je t’explique ce que tu vas lui dire ».
« Oui, Maîtresse ». Fut sa seule réponse.
Un message fut diffusé dans le magasin.
» Fatima est demandée dans le bureau de la surveillante « .
On la voyait, assise à sa caisse, ne comprenant pas trop. Ou bien justement si, elle comprenait. Une femme arriva à ce moment pour la remplacer et elle ferma sa caisse. Elle semblait sonnée. Elle devait se douter que sa place ne tenait plus qu’à un fil, peut-être même pas. C’était la première fois depuis 5 ans qu’elle était caissière ici, que la responsable était présente un samedi.
Elle alla ranger sa caisse dans la salle de sécurité et on la retrouva dans le couloir menant au bureau où nous l’attendions. Elle stoppa devant la porte, remis sa tenue en état, ajustant son haut et lissant sa jupe. Elle se donna une certaine contenance avant de frapper à la porte.
Volontairement, je ne répondis pas de suite, la laissant mariner. C’est au moment où elle allait frapper de nouveau que je criais :
» Entrez ».
Elle fut très surprise de trouver deux personnes. Elle s’attendait à trouver Odile toute seule et aurait essayé de la convaincre de la garder, avec seulement une sanction. Mais deux personnes, son plan tombait à l’eau. Son avenir avec.
« Asseyez-vous. Immédiatement ».
Les ordres, lâchés sèchement ne laissaient aucune place à la discussion. Elle prit place face à Odile qui me présenta comme la responsable régionale de la sécurité pour le groupe. Que je venais exprès pour la superviser, elle, Odile M. un samedi matin. Et que c’est ensemble que nous avons assisté à sa négligence.
» C’est même du vol caractérisé, puni de trois mois de prison ferme d’après l’article 14.780 du code pénal, et 2 000 euros d’amende ». Lui précisais-je.
Je ne sais pas à quoi correspond cet article, ni même si il existe. Mais ce dont je suis sûre, c’est que mon assurance, et ma soi-disant connaissance des textes de loi, lui fit perdre pied. Des larmes montaient dans ses yeux. La perte de son emploi, le risque de passer devant un juge pour finir en prison et en plus, l’amende. C’en était trop pour elle.
Elle commença à sangloter, sachant que tout était perdu. J’en rajoutais une couche.
« Cessez de pleurnicher et regardez l’écran ».
Je fis un signe à Odile pour qu’elle lance le replay où on la voyait clairement en faute. Elle ne pouvait nier, ni même détacher son regard de l’écran, attendant la sentence finale. J’étais restée debout derrière elle et marchait de long en large dans le bureau.
« La politique du groupe est très stricte en ce qui concerne les fautes commises par les personnels de caisse, en lesquels nous devons avoir pleinement confiance ».