Décembre 2019 (01/10)

Nous sommes en décembre, dernier mois de l’année 2019 qui a vu énormément de changements dans ma vie. Mes premières expériences avec des femmes, des expériences en groupe, des rencontres exceptionnelles avec de vraies Maîtresses. Clothilde, Agathe, Roselyne, la Comtesse d’Orgemont et, pour finir, Szofia. Décembre, c’est aussi le mois des cadeaux, de la trêve des confiseurs. J’ai eu l’occasion de revoir Stéphane, mon ex, chez sa sœur. Ils ont l’air très heureux ensemble. Enfin, surtout elle. Lui, il a perdu de sa superbe. Il n’est plus le mâle dominant qu’il était avec moi. Mais cela semble lui convenir. D’autant plus que Clothilde entre facilement dans son jeu en draguant les femmes dont il a envie.

Et leur manège fonctionnait à merveille. Elle semblait heureuse dans son couple, mais n’avait pourtant pas renoncé à avoir des aventures en dehors. Elle n’avait nullement renoncé aux autres femmes, Céleste ou moi-même. Et d’autres, sans doute. C’est ainsi qu’elle sonna chez moi un dimanche matin. Je n’eus pas le temps de placer un mot, sa bouche avait pris possession de la mienne. J’étais très peu habillée et je me suis rapidement retrouvée presque nue. Juste un déshabillé transparent couvrait ma nudité. Elle me poussait doucement vers ma chambre pour profiter pleinement de mon corps, de ma docilité. Mais il y avait une surprise pour elle dans mon lit. Pour une fois, Jean-Jacques avait accepté de passer la nuit entière avec moi, chez nous. Je vous rappelle que c’est toujours lui le propriétaire de cet appartement.

Elle resta un instant sans bouger, étonnée de le trouver là. Mais très vite, son esprit pervers prit le dessus et elle me demanda de l’aider à attacher mon amant aux quatre coins du lit. Elle le connaissait évidemment, et même depuis bien plus longtemps que moi. Peut-être avait-elle rêvé de se retrouver, un jour, en pareille situation ? Puis, elle me « força » à le sucer, afin de le réveiller. Cela fut très facile, et très agréable. « Forcer » est un bien grand mot pour une chose que je fis avec un plaisir non dissimulé. Je la voyais baver d’envie en regardant la queue de mon amant qui grossissait à vue d’œil sous la caresse. Mais elle savait pertinemment que ce magnifique membre finirait dans sa chatte. Elle attendait ce moment-là avec impatience, sans pour autant vouloir précipiter les choses. Jean-Jacques était parfaitement réveillé désormais et il fixait intensément la nouvelle arrivée. Elle était comme sa petite sœur, il l’avait connue toute jeune, puis avait assisté aux changements de son corps.

Comme Stéphane, son frère et mon ex, elle avait toujours été près de lui dans les bons moments de sa vie, dans les moins bons aussi. Ils étaient tous les trois ensemble quand il avait rencontré celle qui deviendra sa femme, et la mère de ses filles. C’était dans une discothèque, près de Pornic, en Bretagne. Clothilde était invitée évidemment à son mariage et elle l’avait soutenu au moment du décès de son épouse. Bien sûr, il l’avait déjà vue en maillot de bain. Sans le haut, souvent. Il l’avait même vue toute nue, un soir au camping, sous la douche. Mais là, il avait tourné le regard. Il la considérait comme sa petite sœur. Encore aujourd’hui. Il était un peu gêné de se retrouver entièrement nu devant elle, mais comme il ne pouvait rien faire d’autre que d’être passif, il la regardait fixement, ne comprenant pas vraiment ce qu’elle faisait là. Il avait bien une idée, que son esprit rejetait complètement.

Depuis le début de notre relation, Jean-Jacques et moi, jamais je ne l’avais attaché au lit, comme ce matin. Pas plus que nous avions eu des rapports de Maître à esclave, ni dans un sens, ni dans l’autre. Ce ne pouvait être qu’une idée de Clothilde. Il n’en eut la certitude que lorsqu’elle enleva le déshabillé que je portais encore. Elle commença à caresser mes seins, sous les yeux ébahis de mon amant. Il savait que j’avais des relations saphiques. Il me voyait de ses propres yeux, maintenant, subir les caresses plus subtiles de ma belle-sœur. Elle me retourna face à elle avant d’appuyer légèrement sur mes épaules. Je me retrouvais accroupie, devant sa jupe. Je glissais ma tête dessous. Je savais que Clothilde appréciait énormément ma façon de la lécher. Je sus, un peu plus tard, que durant tout ce temps, elle fixait intensément mon amant. Je devrais dire, notre amant, et la suite me donna raison. Mais, avant de profiter du mâle présent, c’est mon corps qu’elle voulait utiliser.

Pour que Jean-Jacques profite également du spectacle, je baissais le zip de la jupe qui tomba au sol. Je reprenais immédiatement mon léchage en règle. Je savais que les hommes rêvent souvent d’assister à un tel moment, et Jean-Jacques m’avait déjà demandé s’il pouvait, un jour, assister à ma relation avec une femme. Et ma partenaire d’aujourd’hui n’était pas résignée à se contenter d’un simple cunni, même s’il était fort bien exécuté. J’avais ôté sa culotte, pour plus de facilités. Elle ouvrit le tiroir de mon chevet, sachant ce qu’elle allait y trouver. Elle sortit le gode ceinture et le mit en place aussitôt. Je l’aidais à finir de se déshabiller entièrement et elle m’a retournée comme une crêpe, pour faire face à Jean-Jacques qui n’en revenait pas. Mes avant-bras posés sur le lit, tout près de lui, les jambes légèrement écartées, c’est la position que je devais prendre avant d’accueillir le gode en moi.

Accrochée à mes hanches, Clothilde s’en donnait à cœur joie. Elle me prenait sauvagement et j’adorais ça. Sous le regard très intéressé de mon amant, qui lui, n’en perdait pas une miette du spectacle que nous lui proposions. De simple spectateur, il devint acteur lorsque ma partenaire me fit prendre place sur lui. J’étais tellement bien ouverte par les coups de « bite » que je m’empalais sur lui d’une seule traite. Clothilde était désormais debout derrière moi, elle me faisait monter et descendre sur la queue en me tenant par les seins. Un peu douloureux mais terriblement efficace. Puis, elle me repoussa loin de cette queue, j’étais au-dessus de la bouche de Jean-Jacques, qui se mit immédiatement à me lécher. Pas longtemps, hélas. Je ne compris pas tout de suite pourquoi il avait stoppé. Puis il se mit à bouger et c’est à ce moment-là que je sus que Clothilde venait de s’empaler sur lui. Dommage que ses mains étaient encore attachées, j’aurais bien aimé qu’il me caresse les seins, comme il sait si bien le faire.

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