Pendant cette aventure que j’ai vécue avec Léandre, j’avais continué à voir Laura, Clothilde, et tous mes autres amis. Et Jean-Jacques principalement, qui ignora cette aventure jusqu’à ce qu’elle soit terminée. J’ai fini par tout lui avouer, un soir, et pour seule réponse, il regretta de n’avoir pas connu une femme comme moi lorsqu’il était adolescent. Pour l’initier comme j’avais fait avec mon jeune amant.
Tant que j’étais dans les aveux, je lui parlais aussi des femmes avec lesquelles j’avais eu des rapports et que j’avais adoré ça. Il fut un peu surpris sur le moment, imaginant qu’un homme comme lui devait me satisfaire. Puis très vite, il sembla très intéressé, imaginant déjà un plan à trois. Voire à plus. De femmes principalement. Toujours le fantasme du harem.
Laura allait très régulièrement chez le patron de son père pour garder les jumelles. C’était ce qu’on lui demandait et ce pour quoi elle était payée, plutôt bien même. Dans la réalité, elle était la poupée avec qui les petites pestes aimaient jouer. Jusqu’à ce que je sois droguée par elles. Juste la première fois, les suivantes, j’étais consentante afin d’éviter à ma belle-fille de subir leurs lubies.
J’allais donc, le mercredi après-midi, avec Laura. La nouvelle femme de leur père nous accueillait avant de partir faire du shopping, sa principale activité. Mais après plusieurs séances avec moi, elles avaient envie d’aller plus loin et de soumettre leur belle-mère. Je pense que c’était leur objectif premier mais qu’elles s’étaient entraînées sur Laura, puis sur moi.
Ce deuxième mercredi de juillet, j’avais pour mission de boire un thé avec la bimbo, avant son shopping. Thé que les jumelles prépareraient bien sûr. Il fut facile de la convaincre à rester quelques minutes de plus pour boire le thé avec moi. Il m’avait suffi de parler mode et d’apprécier les vêtements qu’elle portait.
Quand je me réveillais, j’étais de nouveau immobilisée sur le lit, pieds et mains attachés. Mais la blondasse était aussi près de moi. Pour vous donner une idée plus précise de la scène, son pied droit était attaché au pied du lit, son pied gauche était entravé avec mon pied droit et mon pied gauche attaché à l’autre pied du lit. Idem pour les mains.
Laura était là également, entièrement nue, obéissant au moindre de leurs ordres. Marine commença à vouloir protester, demandant, exigeant même qu’on la détache. Elle uniquement. Elle n’en avait rien à faire des autres. Laura posa sa bouche sur la sienne et l’embrassa goulûment.
Les petites pestes jouèrent un peu avec moi mais s’intéressèrent très rapidement uniquement à leur belle-mère. Il faut bien avouer qu’elle était très appétissante avec ses gros seins blancs. Quand Marine fut calmée, c’est Laura qui vint s’occuper de moi, exclusivement. Les petites avaient dénicher les sex-toys de Marine et les utilisèrent sur elle.
Puis un concombre issu de la cuisine remplaça le gode, trop petit. Finalement, l’une d’elle commença à fister sa belle-mère, la main entièrement entrée dans le vagin. L’autre essaya à son tour, faisant hurler de plaisir la blondasse qui n’avait jamais été à pareille fête.
Les petites avaient trouvé leur nouveau jouet et n’étaient pas prêtes à le lâcher de sitôt. Cela semblait avoir été convenu à l’avance. Laura me détacha et m’éloigna du lit pendant qu’elle prenait un caméscope numérique pour filmer la scène. Cela donnerait un moyen de pression supplémentaire pour les deux perverses. Je n’eus plus de raison de revenir dans cette maison de fous. Laura ne subissait plus de contraintes mais jouait le jeu, avec les petites, de la soumise, piégée comme Marine.
Laura m’expliqua enfin que depuis presqu’un an, elle subissait les pulsions sexuelles des deux furies. Cela avait réveillé sa libido et l’avait poussée vers moi. C’était cela qui avait déclenché les caresses, l’exhibition et autres pulsions. Et c’était sous la menace d’être violée par les petites pestes qu’elle m’avait attirée dans le piège.
De nouveau, je lui renouvelais l’assurance que je ne lui en voulais pas du tout. Que, si elle m’avait expliqué tout dès le début, j’aurais accepté d’être leur soumise sans drogue, uniquement pour la sauver, elle, des pires tourments. Cet aveu ne fit que renforcer notre relation. Elle passait le mercredi après-midi avec moi et dormait chez moi aussi souvent qu’elle le pouvait.
Sans rien dire à son père, qui n’aurait pas compris que ce qui nous unissait, c’était simplement de l’amour. Elle prétextait dormir chez une amie, Orlane le plus souvent, qui ne risquait pas de recevoir un appel de Stéphane. Elle lui rappelait ainsi sa faute auprès de sa meilleure amie.
Je revoyais toujours Clothilde, la sœur de mon ex. Mes jeudis après-midi lui étaient réservés. Nous faisions parfois du shopping, période de soldes oblige, mais le plus souvent, nous restions chez elle, dans sa chambre généralement. Après la première rencontre avec Céleste, où j’avais été masquée au début, d’autres femmes sont venues découvrir mon corps, jouer avec.
Clothilde de son côté, jouait avec le corps de ses amies. Toutes, nous y trouvions notre plaisir. Pourtant, une fois, je fus de nouveau bandée au niveau des yeux. Les yeux bandés et le visage sous une cagoule. Qui pouvait-elle avoir invité ? Une femme que je connaissais, ou qui me connaissait ? Un peu de patience et j’aurais la réponse.
Au toucher de ses doigts sur ma peau, je pouvais affirmer que cette personne était jeune, légèrement timide ou réservée, osant à peine me caresser. Elle venait, semble-t-il, de prendre une douche, si j’en croyais le parfum de gel douche fruité. Ses gestes étaient hésitants mais excessivement tendres. J’appréciais énormément ce style d’approche. C’était à la fois frustrant et terriblement efficace.
Tandis que sa bouche suçait délicatement mes tétons, je savais que Clothilde ne restait pas inactive avec le bas de son corps, si j’en croyais des mouvements désordonnés par moments. La bouche explora ensuite mon ventre avant de descendre plus bas encore.
Les deux personnes présentes, je le supposais, se déplacèrent entre mes cuisses, largement ouvertes. Une bouche hésitante se posa sur mes lèvres intimes. Mais très vite, elle trouva les ressorts qui déclenchaient mon plaisir. Je n’avais pas cherché à la toucher, risquant de briser le charme, mais j’avais énormément envie qu’elle aille plus loin, plus vite. Et plus profond.
Après la bouche, ses doigts vinrent investir ma vulve. Puis une étrange sensation, un gode sans doute. Non, un gode ceinture, car je sentais des cuisses contre les miennes. Chose incroyable, le gode sembla prendre du volume. Était-il gonflable ? Un gémissement un peu plus prononcé et je finis par comprendre. Ce n’était pas un gode, mais bel et bien un sexe d’homme.