Je m’éloignais légèrement pour les laisser profiter l’un de l’autre. Camel avait passé ses pattes autour de la taille de la jeune chienne, qui s’était placée en levrette. Il donnait des coups de reins et semblait atteindre la matrice à chaque coup.
Le nœud pénétra, forçant les lèvres qui dégoulinaient. Le mâle était verrouillé sur sa femelle et commençait à la remplir de sa semence. Chloé hurlait de plaisir. Personne sur le chemin, heureusement. Il se vida les couilles jusqu’à la dernière goutte. Puis, il tenta de se dégager mais ils étaient collés. Il fallait patienter.
Je m’étais approchée de Camel pour le rassurer. Il a passé son museau sous ma jupe et a entrepris de me lécher à mon tour. J’étais très excitée de les avoir observés et j’avais vraiment besoin de jouir à mon tour. Ce qui ne tarda pas, tellement je le désirais.
Le fait de me lécher avait détourné son attention et l’avait calmé, il se détacha tout naturellement, dans un gros ploc. Un flot de liquide s’échappait du sexe resté béant. Camel se mit immédiatement à récolter tout ce qu’il pouvait, déclenchant de nouveaux orgasmes chez Chloé.
Elle était debout, face à moi, jambes écartées. Je relevais son tee-shirt pour le passer derrière sa nuque, ce qui la força à mettre sa poitrine en avant. Je dégageais les seins des balconnets. Elle me laissait faire, sans dire un mot. Acceptant son statut de soumise. J’appuyais sur ses épaules pour la mettre à genoux. J’adorais ce moment où c’est moi qui devenais la Maîtresse, et elle, la soumise obéissante.
Camel était tranquillement en train de se nettoyer lui-même, mais jetait un regard distrait vers nous. Chloé était à genoux, poitrine offerte à qui la voulait, les mains croisées dans le dos. Et elle mouillait encore terriblement de cette situation. Je récoltais un peu de son nectar pour badigeonner ses tétons dressés. Son clito était sorti, on aurait dit une petite bite.
Attiré par l’odeur, il commença à lécher les tétons de sa chienne. Elle n’osait pas bouger ses mains, je le lui avais interdit. Elle devait juste subir les léchages de son mâle. Et il semblait adorer ça, de la voir se trémousser. C’est maintenant avec la paume de ma main que je récoltais son nectar avant de le répandre sur ses seins. Et Camel qui redoublait d’ardeur pour tout nettoyer.
Il commençait à se faire tard, pas encore nuit, mais presque. Nous devions retourner sur nos pas. J’aurais Chloé à se relever et la poussais vers le chemin principal. Sans rabattre son tee-shirt. Elle marchait, les mains croisées dans le dos, la poitrine offerte. Elle savait que très peu de personnes connaissaient ce chemin.
Nous marchions tranquillement, Camel essayait toujours de fourrer son museau sous la jupe de sa chienne qui mouillait toujours autant. Chloé eut un moment d’arrêt lorsqu’elle aperçut un joggeur qui venait vers nous. Une tape sur les fesses pour qu’elle continue d’avancer. Le joggeur se rapprochait rapidement, mais, tout à son effort, il ne fit pas attention à nous. Pas vraiment.
C’est seulement à quelques pas de Chloé qu’il remarqua sa poitrine dénudée. Il ouvrit de grands yeux, perdit le rythme de sa course, s’emmêla les chevilles et tomba face contre terre. Il eût juste le réflexe de protéger sa chute avec ses mains pour amortir le choc. Je le vis s’asseoir, les yeux écarquillés, se demandant encore s’il avait rêvé.
Je m’étais retournée pour le voir abasourdi, Chloé continua à marcher droit devant. Elle souriait malgré tout de la situation. On ne rencontra personne d’autre, ce soir-là. Arrivés au bout du chemin, je rabaissais son tee-shirt, mais pas le soutif. Elle n’avait pas dit un mot, mais ses yeux parlaient pour elle.
Je sus, bien plus tard, qu’elle revenait chaque soir, au cas où je changerais mes habitudes. Quand elle ne nous voyait pas, elle rentrait chez elle, certainement déçue. Mais quand elle nous apercevait, elle se mettait à nous suivre. C’était devenu un vrai rituel. Camel la léchait avant de la baiser sauvagement. Et elle adorait ça. Parfois, moi aussi, je m’y mettais avec deux doigts, puis trois. Chaque fois, je la forçais à me lécher, à me faire jouir de sa bouche.
Un soir, nous avons revu le joggeur. Ou bien il lui ressemblait terriblement. Chloé était rhabillée. Il passa près de nous, n’étant pas sûr que c’était nous qu’il avait vu précédemment. Je découvrais la poitrine de Chloé et la forçais à se retourner vers lui. Il nous faisait dos maintenant mais il eut un doute et se retourna. Il stoppa sa course pour admirer les jolis seins de ma soumise. Il apprécia et en profita jusqu’à ce que je rebaisse le tee-shirt.
Ce genre de promenades dura un moment, après les épreuves de Français et avant les résultats. Arrivèrent les vacances scolaires et c’est surtout l’après-midi que j’allais promener Camel. Souvent, j’empruntais le même parcours. Mais quand Mr Lambert nous accompagnait, c’est le parc qui était notre destination. Là, je retrouvais Réjane et nous discutions des heures. Nous promenions Camel aussi, mais seules, sans Mr Lambert qui nous attendait sur le banc.
Un jour, je revis Chloé qui se promenait, à la recherche de … Je ne sais quoi. Enfin si, je me doutais un peu. Elle m’aperçut de loin, reconnut Mr Lambert et Réjane, mais n’osa pas s’approcher. Je prétextais une promenade pour Camel et je me levais. Réjane me suivit, elle n’avait pas vu Chloé.
Quand elle l’aperçut qui se dirigeait vers nous, elle eut un mouvement de recul et se plaça derrière moi. Chloé allait dire bonjour, ou autre chose, mais je l’arrêtais aussitôt.
« Avant de dire quoique ce soit, tu dois d’abord t’excuser ».
La tête basse, elle commença à s’excuser du mal qu’elle avait dit, qu’elle avait fait. Je la reprenais une nouvelle fois.
« Ce n’est pas à moi que tu dois faire des excuses, mais à mon amie Réjane ».
Elle se tourna alors vers elle et se confondit en excuses. Je pense qu’elle était réellement sincère. Réjane se mit à rougit devant tant de déférence, tant de compliments. Mais Chloé se tourna vers moi ensuite, me suppliant du regard. Je savais ce qu’elle attendait, c’était la même raison qui l’avait poussée à s’excuser. J’allais lui donner ce qu’elle voulait, mais seulement en partie.
« Réjane, rapproche-toi de nous et surtout, ne bouge pas. Tu me regardes droit dans les yeux, sans t’inquiéter de ce qui se passe autour. Tu m’as bien comprise ? »