Élise (02/21)

Elle se serra contre moi mais Elise la pelotait par derrière. Prisonnière entre nous deux, je sentais ses mamelons durs tout contre ma poitrine. Il nous restait juste quinze minutes avant la reprise des cours et nous sommes allées aux toilettes, dans la même cabine. Moi assise, Rachelle me tournant le dos et faisant face à Élise, adossée à la porte. Elles s’embrassaient à pleine bouche tandis que je baissais son leggings et son string. Un cul de déesse, vraiment.

Que les mains d’Élise me cachaient un peu maintenant. Mais elle en voulait plus, toujours plus. Elle posa ses mains sur les épaules de la jeune fille, l’obligeant à se mettre à genoux devant elle puis, soulevant sa jupe, la força à la lécher. Ne pouvant résister plus longtemps, elle s’exécuta et sembla rapidement y prendre goût. Je le voyais sur le visage d’Élise.

Moi, j’avais soulevé son top pour caresser ses seins, et agacer les tétons déjà durs. Puis je glissais une main indiscrète entre ses cuisses pour la découvrir trempée de plaisir. La coquine aimait ça, et en redemandait. Je la caressais aussi et elle ne tarda pas à jouir entre mes doigts, entrainant avec elle Élise qui la força à boire toute sa mouille.

Le mercredi suivant, Élise l’invita à passer l’après-midi avec nous, dans sa chambre. Elle le lui ordonna plutôt mais Rachelle n’aurait, pour rien au monde, désobéi à un tel ordre. Elle portait une robe très moulante ce jour-là, que je lui ôtais dès qu’elle fut dans la chambre. Soutif et string suivirent aussitôt. La voilà nue, à notre disposition. Je la poussais sur le lit et, à genoux à ses pieds, je goûtais enfin sa chatte, délicieuse.

Tandis qu’Élise, assise sur sa bouche, prenait son pied elle aussi. Elle jouit très vite sous mes caresses pour mon plus grand plaisir, puis on changea de place, moi sur le lit et elle à mes pieds, et toujours Élise au-dessus. Déjà bien chauffée par Rachelle, elle ne tarda pas à jouir également dans ma bouche, ce qui ne m’arrêta pas dans la découverte de sa petite chatte merveilleuse.

La jeune black s’en donnait à cœur joie entre mes cuisses et je jouis assez rapidement dans sa bouche, la forçant à tout avaler, puis à bien me nettoyer. Puis elle s’allongea près de moi sur le lit pour jouer avec mes seins. Élise, quant à elle, avait préparé une surprise. Elle tenait absolument à raser cette toison fournie, et crépue.

Rachelle, réticente et craintive au début, se laissa convaincre que c’était plus hygiénique. Je me soulevais sur un coude pour regarder Élise opérer entre les cuisses grandes ouvertes de Rachelle qui, elle, se mit à me téter, mes seins se trouvant juste au-dessus de sa bouche. J’adorais ça, qu’on s’occupe de mes seins. Et j’adore toujours ça.

Une fois rasée et bien essuyée, Elise se mit à la lécher avec délectation. Elle semblait une grande experte aux jeux de langue car Rachelle jouit très vite, puis une seconde fois, beaucoup plus fort. Je la serrais dans mes bras comme un bébé, elle qui me tétait machinalement, d’ailleurs.

Élise me demanda si je voulais moi aussi me faire raser mais je lui dis que je n’étais pas encore prête. Mais je pris date avec elle pour le mercredi suivant, chez moi, dans ma chambre.

Élise sortit quelques minutes et revint avec les yeux brillants, un objet dans la main. Elle avait trouvé le vibro que sa mère (ses parents ?) utilisait. Elle le porta à sa bouche pour l’humidifier avant de le placer sur la chatte de Rachelle. Elle le mit en route et un léger bruit envahit la chambre. Les effets sur la jeune fille ne se firent pas attendre. Elle commençait à se tordre dans tous les sens, de plaisir.

Je me mis à califourchon au-dessus d’elle, mes genoux empêchant ses bras de se débattre et ma chatte tout près de sa bouche. Élise passa à la seconde vitesse et continua de masser la fente de Rachelle, clito sorti, et lèvres humides. Puis elle pénétra doucement en elle, tendrement. Sentant une légère résistance, elle s’arrêta, caressa le clito entre ses doigts, le titilla puis le corps de Rachelle se tendit à la rencontre du vibro qui perça l’hymen.

Elle était femme maintenant. Élise commença alors de doux va et vient en elle qui lui arrachèrent un premier orgasme puissant. Elle colla sa bouche contre ma chatte pour ne pas crier. Quand la vitesse du vibro passa sur Maxi, elle se mit à trembler de toutes parts et une vague de plaisir la submergea, un tsunami de jouissance. Elle resta inerte de longues minutes, mais quand elle ouvrit les yeux à nouveau, ils pétillaient de bonheur, pour chacune de nous, de lui avoir offert un tel moment de plaisir. Le premier de sa vie de femme, le premier d’une longue série.

Nous eûmes d’autres séances, toutes les trois, mais celle-ci fut la meilleure, et de loin. Élise aimait les filles, tout comme moi, mais n’avait pas vraiment encore choisi, lesbienne ou bi. Pour moi, la question ne s’était jamais posée, je le savais depuis … Je l’ai toujours su en fait, que j’étais différente des autres, mais pas tant que ça.

Un samedi après-midi, Élise invita Rachelle chez elle, je n’étais pas à Nantes ce jour-là mais Élise me raconta tout par la suite. Elle avait repéré un garçon de notre classe qui semblait lui aussi très attiré par les formes de Rachelle. Elle ne se gênait pas, d’ailleurs, de pincer ses jolies fesses quand elle savait que ce garçon regardait vers elles.

Une bosse déformait son jean à chaque fois, bosse qui lui semblait impressionnante. Le garçon arriva peu de temps après Rachelle et tous les trois montèrent dans sa chambre. D’entrée, Élise se la joua dominatrice et imposa :

–Tout ce qui se dira ici, tout ce qui se fera ici, restera ici, entre nous. OK ?

Ils étaient d’accord, bien sûr, surtout le garçon, qui commençait à comprendre. Rachelle et lui avaient compris le jeu, ils devraient obéir en tout mais rien ne sortirait jamais de cette pièce. Élise demanda au garçon d’ôter le top de Rachelle, qui leva les bras pour ce faire. Elle ne portait rien dessous. Puis elle plaça le garçon collé aux fesses de Rachelle et les mains sur la poitrine de la belle black.

Plus besoin de lui dire quoi faire, il se mit à la peloter avec entrain. Elle devait sentir la bosse qui grossissait dans le jean du garçon et elle s’en amusa, commençant à se frotter à lui, formant des cercles avec ses fesses. Élise mettait en scène son spectacle.

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