« Tu vois bien. Elle aussi, elle en a terriblement envie. Regarde comme elle s’avance elle-même vers tes mains. Éloigne tes mains légèrement. Tu vois bien que j’avais raison. »
Dès que Nadège avait reculé légèrement ses mains, Sandrine s’était immédiatement avancée vers les mains qui se dérobaient.
« Continue à caresser ses seins. Oui, je vois bien que tu y prends goût, toi aussi. N’aie aucune honte. Il n’y a aucun mal à se faire plaisir. Voilà. Tu vas dégrafer les boutons de son corsage, un à un. Tout en la caressant. Écarte bien le vêtement dès qu’un bouton est défait. Parfait. J’aperçois son soutien-gorge. Continue. Plus bas. C’est très bien. Fais glisser doucement le tissu qui recouvre encore ses épaules. »
Le corsage glisse inexorablement le long des bras de Sandrine, qui ne fait aucun mouvement pour le retenir. Bien au contraire. Elle passe ses mains dans son dos pour dégrafer les boutons au niveau de ses poignets. Elle a déjà accepté le fait de se retrouver presque nue devant nous. Pour Sandrine, c’était la première fois qu’elle était dominée par une autre femme. Des hommes, elle en avait connu beaucoup, depuis son premier au lycée. Évidemment qu’elle a longtemps été dominée par ses partenaires masculins. C’était ainsi, à l’époque. C’était la règle. Une règle bien établie. Jusqu’au jour où elle a décidé par elle-même. Ce serait elle qui chasserait le mâle. Elle qui dominerait. Sandrine a toujours été une très jolie femme, il était donc très facile pour elle de choisir ses partenaires. Elle avait ses habitudes dans certains bras de la ville. Elle allait aussi en boite de nuit pour trouver un partenaire d’un soir. Elle avait fait le choix de ne pas s’attacher à un seul. Et elle s’est rendu compte que c’était plus facile avec des hommes qui étaient déjà en couple. Elle leur offrait ce que leurs épouses ne leur donnaient plus. Tout le monde était satisfait. Aucune contrainte. Juste le plaisir à l’état pur.
Grâce aux conseils avisés de Vincent, Nadège avait commencé à dominer son petit monde. Cédric, le premier. Puis, d’autres. Mais jamais elle n’aurait pu imaginer qu’un jour, elle pourrait dominer celle qui était, à ses yeux, une vraie Maîtresse. Et c’était d’autant plus excitant pour elle. Elle n’avait plus vraiment besoin des consignes de Vincent, à ce moment-là. Elle dégagea elle-même les bretelles du soutien-gorge et elle l’ôta définitivement. Elle reprit les seins à pleine main, sans aucun tissu entre ses doigts et l’objet de ses désirs. Elle avait souvent envié Sandrine pour sa poitrine orgueilleuse. Elle pouvait désormais la peloter à sa guise. Sandrine n’avait pas rouvert les yeux depuis que Vincent lui avait conseillé de les fermer. Elle profitait pleinement de ce bien-être que lui prodiguaient les caresses de son amie. Elle était complètement offerte. Elle avait, depuis le début, commencé à ouvrir le compas de ses cuisses. Désormais, elle en montrait beaucoup plus que nécessaire. C’est à peine si elle réagit lorsque les mains de Vincent se posèrent sur ses genoux. Tout doucement, les doigts remontèrent le long de ses cuisses, qui s’ouvraient encore plus. La jupe remontait en même temps et Vincent put constater que c’était bien des bas que Sandrine portait, ce soir-là. Des bas autofixants. Il finit par atteindre la culotte, assortie au soutien-gorge. Sandrine haletait. Sa respiration devenait saccadée. Le plaisir montait inexorablement en elle, par tous les pores de sa peau. Quand les doigts experts de Vincent s’accrochèrent à sa culotte et qu’il commença à la tirer vers le bas, Sandrine souleva instinctivement ses fesses du canapé, facilitant ainsi la descente implacable.
Debout derrière le canapé, Nadège avait évidemment suivi tout ce qui s’était passé sous ses yeux. Vincent avait relevé la jupe très haut et elle pouvait, de nouveau, admirer le sexe de son amie. Nadège ne put s’empêcher de passer sa langue sur ses lèvres en redécouvrant ce pubis entièrement lisse. Vincent l’a vue faire. Il a donc décidé de lui laisser la place qui lui revenait. D’un regard, il l’encouragea à venir se mettre entre les cuisses grandes ouvertes de Sandrine. Il joua avec les seins de la soumise, titillant un téton, mordillant l’autre. Puis, sa bouche remplaça ses doigts habiles et il devina, plus qu’il ne vit, ce qui se passait à quelques centimètres de lui, légèrement plus bas. Aux réactions de Sandrine, il sut exactement à quel moment la bouche avide de Nadège prit possession de son sexe. Elle tremblait de tous ses membres, respirait difficilement. Elle avait même glissé ses fesses jusqu’au bord de l’assise pour donner un accès total à toute son intimité. Nadège avait déjà subi les caresses buccales de son amie. Elle savait donc exactement comment lui rendre la pareille. Certainement moins experte que Sandrine, elle se donna malgré tout à fond pour offrir à sa nouvelle soumise l’orgasme qu’elle méritait. Vincent, qui jouait toujours avec la poitrine dénudée, ressentit alors une caresse bien précise. Une main caressait sa queue, par-dessus son pantalon. Sandrine ou Nadège ? Il rencontrait Sandrine pour la première fois, et Nadège, au cours de leurs précédentes entrevues, ne l’avait jamais touché. Pas plus que lui, d’ailleurs. C’était donc une première fois. Mais voulait-il vraiment savoir qu’il le caressait en ce moment même ? Les doigts experts avaient réussi à ouvrir sa braguette et à sortir sa queue, déjà bien bandée. Il était évidemment très excité et un peu de pré-sperme commença à sortir du gland. Des doigts agiles récupérèrent le précieux liquide pour l’amener aux lèvres de Sandrine.
Celle-ci ouvrit la bouche et elle se délecta du nectar qu’on lui offrait. Pour Vincent, il était évident que c’était Nadège qui le branlait si bien. Il se redressa légèrement pour confirmer sa conviction. Sandrine était toujours haletante, en attente d’une nouvelle expérience. Elle avait déjà pratiqué des fellations avant ce soir. Mais c’était en général lorsque, ELLE, elle le décidait. Quand Nadège força gentiment sa bouche vers le sexe bandé de Vincent, elle se laissa emporter par le désir d’obéir. Pour une fois. Et c’était évidemment la première fois qu’une femme l’obligeait à tailler une pipe à un homme. Vincent se recula légèrement sur le canapé afin que Sandrine puisse s’allonger.
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