Clara et sa famille (11/11)

Et là, elle voulait profiter de la chance qui lui était offerte pour tenter l’expérience. Au contact du gland encore humide des sécrétions de Charline, Marguerite ouvrit ostensiblement ses cuisses. Solange prit cela pour une invitation à poursuivre sa progression. Ce n’est que lorsqu’elle fut entrée à moitié que Madame Du Rhéau commença à réagir. Elle allait refuser et la repousser afin qu’elle n’aille plus loin mais l’envie était plus forte que tout. Elle laissa Solange la pénétrer entièrement, avec satisfaction. Pour les deux partenaires. Pour tenter, dans un ultime sursaut de lucidité, de garder la maîtrise, Marguerite enferma Solange entre ses jambes et la garda serrée contre elle tout le temps que dura leur coït. Elle la bravait du regard en semblant lui dire.

« Tu es à moi.  »

Elles finirent par jouir simultanément. Voluptueusement. C’était la première fois pour Solange qu’elle pouvait baiser sa Maîtresse. Et pour Marguerite, cela faisait très longtemps qu’une autre femme ne l’avait prise ainsi. Elle se remémora un instant cette tante éloignée qui l’avait initiée et qui l’avait préparée à ce que la vie allait lui offrir. C’était par accident qu’elle l’avait malheureusement dépucelée. Mais elle en avait profité ensuite pour la baiser chaque fois qu’elles se voyaient. Plus tard, elle lui avait enseigné comment feindre son dépucelage durant la nuit de noces. Son époux avait fièrement arboré le drap taché de son sang, aux invités présents le lendemain. Après quelques minutes de répit bien mérité, Marguerite se leva et Solange en fit de même. À elles deux, elles aidèrent Charline à se relever à son tour. C’est un charmant spectacle que Monsieur Du Rhéau vit défiler dans son vestibule. Sa femme, habillée, soutenant Charline complètement nue, aidée par Solange qui n’avait pas remis sa jupe. Le gode-ceinture toujours fixé à sa taille. C’est principalement ce gode que Monsieur fixa, puis, le cul de Charline et celui de Solange une fois qu’elles furent passées devant lui. Monsieur, depuis quelques années, était beaucoup plus intéressé par les jeunes garçons. Le couple faisait chambre à part depuis longtemps et c’est justement dans sa chambre privée que Marguerite entraîna sa conquête. Solange dut, à regret, quitter son harnachement. En compensation, elle eut le droit de déshabiller sa Maîtresse et de l’équiper à son tour. Elle se déshabilla entièrement et elle guida le sexe en latex entre les cuisses ouvertes de Charline. Marguerite s’enfonça en elle d’une seule traite. Une fois bien campée au fond, elle patienta quelques instants. Puis elle souleva une des jambes de la soumise pour la placer dans le creux de son bras. Pareil pour l’autre jambe. Elle était entièrement exposée et écartelée comme jamais.

Tout doucement, Marguerite commença de doux allers et venues. D’un signe de tête, elle autorisa Solange à participer à la fête. Elle se plaça au-dessus de la bouche ouverte de Charline et les à-coups donnés par Madame faisaient que la bouche léchait sa fente, d’avant en arrière. Charline était réellement comblée. Jamais elle n’avait connu autant d’orgasmes à répétition. En avait-elle seulement connu un seul, avec son époux ? Elle n’en était même pas sûre. L’après-midi finit en apothéose lorsque Marguerite attira vers elle le cul bien ouvert de Solange. Elle avait l’habitude de la prendre ainsi, presque chaque jour. Monsieur aussi profitait largement de cette entrée particulière. Alors, lorsque le gland, encore humide des sécrétions de Charline, se présenta sur sa rondelle, Solange se laissa embrocher comme une dinde à Noël. Ses seins nus frottaient sur ceux de Charline, prolongeant leur plaisir à toutes les deux. Le petit appendice clitoridien, fixé à l’intérieur du gode-ceinture, mena Marguerite à l’extase finale. Charline revint souvent rendre visite à son amie Marguerite, après cette initiation. Elle fut même conviée à l’accompagner pendant le camp de vacances qu’elle organisait chaque année, dans le Gers. Mais tout ceci, et bien d’autres choses, feront l’objet d’un nouveau chapitre. Mais revenons à notre histoire, Clara jouant avec les seins de Luana. Dès qu’elle est entrée dans la chambre, découvrant Adrien jouant avec les gros seins de Sabrina, elle fut tout d’abord surprise, puisqu’elle était certaine de le trouver seul. Mais deux petites mains se sont saisies de ses poignets et une des jeunes filles s’est placée devant, mettant la main sur sa bouche pour l’empêcher de réagir.

Clara était légèrement plus petite que Luana mais elle comprit très rapidement qu’elle la dominait déjà. Quand elle ôta sa main sur la bouche, Luana avait accepté de se taire. Et de se laisser faire. Clara la fixait droit dans les yeux quand elle posa délicatement ses petites mains sur les seins de la servante. Elle vit immédiatement le plaisir qu’elle ressentit à ce moment précis. Clara savait qu’elle avait gagné. Elle la caressa quelques instants, avant de glisser ses mains sous son maillot. Aucune intention de se défendre de la part de la victime qui s’abandonnait aux caresses. Même lorsque Flora lâcha ses poignets, elle ne fit aucune tentative pour repousser la jeune fille. Laissant sa place devant à Flora, Clara souleva le maillot pour que sa complice puisse embrasser les seins offerts. Puis Flora se glissa sous la jupe de Luana. Clara avait ôté définitivement son maillot. Sabrina avait rouvert les yeux et elle observait attentivement cette jeune femme qui se laissait manipuler. Adrien comprit qu’il se passait quelque chose derrière lui et tourna la tête à son tour. Pour voir Clara qui martyrisait les tétons de Luana. Il avait déjà les yeux exorbités devant cette scène et, lorsque Clara lui fit signe d’approcher, il n’hésita pas une seule seconde. Suivi de Sabrina. C’est elle, la première, qui descendit sa bouche à portée de la poitrine offerte. Luana faisait non, non de la tête mais aucun geste pour repousser la jeune fille. Elle réagit plus vivement lorsqu’Adrien se présenta juste devant son autre sein. Elle se mit à murmurer sans discontinuer.

« Pas lui, pas lui. S’il vous plait, pas lui.  »

Adrien et Clara n’avaient cure de ses supplications. Il prit le téton en bouche et le suça amoureusement. Bien sûr, il préférait les gros seins de Sabrina, mais c’était tout de même tentant de sucer les seins de la servante. Cela ne dura pas assez longtemps, à son goût. Natty, la petite sœur d’Adrien se sentant délaissée, entra dans la chambre de son grand frère. Il réagit immédiatement en l’emmenant dans la cuisine, pour lui préparer son « Quatre-heures ». Dans la chambre, à l’étage, Flora finissait de faire jouir Luana, sous les caresses cumulées de Clara et Sabrina. Flora avait gardé la culotte de la servante et elle dut redescendre sans dessous, rejoindre Adrien et sa petite sœur. Sabrina avait également caché ses seins, après une ultime caresse de la part de Clara. Tous se retrouvèrent attablés ensemble. Discrètement, c’est Adrien qui reçut la culotte de Luana. Il savait, désormais, qu’il pourrait de nouveau téter cette poitrine, lorsque Clara l’imposera à Luana.

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