Elle avait bien sûr connu d’autres filles, ou femmes, qui l’avaient léchée magnifiquement jusqu’à l’orgasme. Mais Clothilde avait raison, encore une fois. La langue de Céleste était largement au-dessus de tout ce qu’elle avait connu jusqu’à présent. Pour y avoir goûté moi-même, je peux confirmer que Céleste est une spécialiste, sinon la meilleure. Lorsque Clothilde jugea que sa nièce était fin prête, elle lui fit changer de position. Laura avait désormais sa tête enfouie entre les seins merveilleux de Céleste, les cuisses largement ouvertes pour donner libre accès au gode qui allait la déflorer. Clothilde pointa le gland entre les lèvres humides et la pénétra avec d’infinies précautions. Elle recula en sentant l’hymen et recommença doucement. Elle allait et venait librement dans cette grotte, dont le passage n’était pas encore totalement ouvert. Comprenant que c’était à elle de faire accélérer les choses, Laura s’empala elle-même sur le gode qui la pénétra jusqu’à la moitié de sa longueur. Clothilde lui laissa quelques secondes de répit avant de progresser plus avant. Sans à-coups, et sans aucune douleur, la queue se retrouva bientôt au fond de son intimité. Encore une nouvelle pause pour appréhender cet intrus et Clothilde commença à la baiser véritablement. Laura s’accrochait aux seins volumineux et tétait l’un ou l’autre. Elle ne mit pas longtemps à jouir intensément, s’écroulant sur la soumise. Clothilde n’en avait pas fini, elle pénétra Céleste qui n’en demandait pas tant. Elle se déchaina littéralement sur sa soumise qui adorait être traitée de la sorte. Laura, toujours allongée sur elle, sentait à quel point sa tante pouvait être fougueuse. Et, qu’un jour peut-être, elle le sera également avec elle. Elle remonta légèrement pour embrasser tendrement Céleste, avant de lui offrir de nouveau sa chatte à lécher. C’est Laura également qui détacha les mains de Céleste et découvrit son visage poupin. La soumise la remercia d’un regard qui en disait long sur son état d’extrême excitation. Ses mains enfin libres, elle put à loisir caresser les seins de Laura, juste au-dessus de ses yeux.
Laura finit par jouir une seconde fois et s’écroula sur le lit, près de Céleste. Clothilde, qui n’en avait pas fini, détacha ses pieds pour la retourner. D’elle-même, Céleste écarta ses fesses pour les offrir à l’intromission. Laura assistait à sa première sodomie en direct live. Sa tante prit tout le temps nécessaire pour pénétrer ce cul plus qu’accueillant. Céleste ne semblait pas souffrir, pourtant le gode était vraiment gros pour un petit orifice comme le sien. Elle acceptait son sort avec un plaisir non feint. Puis Clothilde continua sa baise intense en martyrisant ce gros cul. Les yeux de Céleste étaient hagards, comme perdus dans le vide astral. Laura se positionna face à sa bouche et la soumise reprit son léchage en règle. D’après ce que m’a rapporté Laura, c’est de la voir proche de succomber à un nouvel orgasme qui déclencha celui de Clothilde. Céleste suivit quelques minutes après, en récoltant le nectar de la jeune femme.
Les trois femmes se levèrent ensuite pour prendre une douche bien méritée. Clothilde passa la première afin d’aller préparer le thé pour la collation. Elle laissa donc sa jeune nièce entre les mains habiles de Céleste. Elles se retrouvèrent toutes les trois au salon, juste habillées d’un peignoir. Aucune n’avait serré la ceinture, si bien que leurs corps étaient très peu dissimulés. Laura, la première, se leva en laissant glisser le peignoir sur ses épaules et s’approcha de sa tante pour la remercier de ce moment intense qu’elle venait de vivre. Clothilde l’embrassa sur le ventre, situé juste devant ses lèvres. Céleste se leva à son tour. Elle devait quitter ses deux amies mais elle savait déjà qu’il y aurait d’autres occasions de se revoir. Assise près de sa tante qui continuait à la caresser, Laura se sentait si bien. Mais, pour revenir à ce que j’avais écrit précédemment, ce n’est pas d’avoir fait l’amour avec sa tante, et Céleste, ni d’avoir enfin perdu sa virginité qui la tracassait vraiment. C’est ce que lui avait confié Clothilde, juste après le départ de la soumise. Elle le savait, intérieurement, mais elle avait toujours feint de l’ignorer. Clothilde lui apprit qu’elle était toujours en contact avec sa mère. Ce n’était pas vraiment une surprise pour Laura. Mais désormais, maintenant qu’elle était en âge de comprendre, cette femme, qui lui avait donné la vie avant de l’abandonner lâchement, cette femme-là voulait la rencontrer, pour lui expliquer les raisons de son absence, tenter de se justifier et, peut-être, reconquérir le cœur de son bébé.
Laura était sous le choc. Elle devait réfléchir à tout ça avant de prendre une décision qui pourrait changer sa vie, ou, du moins, sa façon de voir les choses. Elle aimait son père, celui qui ne l’avait jamais abandonnée. Elle savait que sa génitrice reporterait indéniablement la faute sur lui. Il n’était pas un saint, c’est vrai. Elle lui pardonnait difficilement ce qu’il avait fait avec son amie, Orlane. Mais de là à l’accuser de tous les maux de la Terre, il y avait un pas. Laura avait pris deux semaines pour réfléchir à tout ça et retourna chez sa tante pour lui donner sa réponse. Elle était d’accord pour rencontrer sa génitrice, c’est ainsi qu’elle la considérait puisqu’elle ne pouvait pas l’appeler maman. Laura n’avait mis qu’une seule condition à cette rencontre, qu’elle se passe ici, chez Clothilde, et surtout en sa présence. Elle ne tenait absolument pas à rester seule en présence de cette femme inconnue. Avec les vacances des unes et des autres, il fallut encore deux bonnes semaines avant de trouver un créneau qui convienne à tous. Laura, durant tout ce temps, chercha à se persuader qu’elle avait fait le choix de la raison. Mais elle était évidemment très stressée en sonnant ce jour-là chez sa tante. Clothilde la fit entrer et l’accompagna jusqu’au salon où les attendait une femme.
Laura avait déjà vu des photos de celle qui avait été sa maman, quelques années, mais bien sûr, elle avait changé. Mais elle restait une très belle femme. Laura se reconnaissait un peu en elle, c’est pourquoi elle évita de trop la détailler. Elle s’était levée pour accueillir sa fille qui préféra s’asseoir sur le fauteuil, laissant Clothilde s’installer près d’elle.