Plusieurs fois, je l’avais faite jouir uniquement en lui suçant les tétons. Corinne fut surprise de la jouissance hyper rapide de sa fille mais ne s’arrêta qu’à sa seconde jouissance, celle qui partait du creux du ventre. Amélie, préférant se tenir debout, mais penchée en avant entre les cuisses de Corinne, ignorait sûrement le spectacle plaisant qu’elle offrait. Jambes bien écartées, cul tendu vers l’arrière et mamelles pendantes. Inutile de vérifier, je la savais prête pour la saillie. J’enfilais mon gode ceinture et frottais le faux pénis contre sa fente. Avant de la pénétrer d’un seul coup de reins. Toute à son plaisir, elle laissa Corinne sur sa faim de jouissance. Je la baisais à fond de gode et elle ne tarda pas à s’écrouler, ivre de bonheur. Charlène vint récolter entre ses cuisses le nectar qui coulait à flots. Il me restait à satisfaire la maîtresse de maison. Elle écarta volontiers les cuisses devant le gode bien lubrifié.
Moi, je la voulais excitée, à cran, me demandant en hurlant de la baiser comme je venais de baiser Amélie. Aussi, je promenais le gland sur ses lèvres intimes, sans pénétrer. Je titillais son clito, et m’échappais encore. J’approchais de son anus frétillant et là encore, je me dérobais. Elle ne pouvait pas m’attraper et je jouais au chat et à la souris avec elle.
« Steffie, s’il te plait, prends-moi. Baise-moi comme une furie. »
J’étais venue à bout de ses résistances et elle m’implorait de la prendre. Sauvagement. Comme pour sa fille, je rentrais en un seul coup de rein et je restais bien au fond. Puis, doucement, je ressortais pour encore une fois la prendre à fond. À ce régime-là, elle ne résista pas bien longtemps et elle jouit très fort. Je lui laissais à peine le temps de respirer et je la retournais pour la prendre en levrette. J’avais cette fois son magnifique cul qui se trémoussait devant moi. Irrésistible. Mes deux mains sur ses fesses, mes pouces doucement glissaient vers sa rondelle. Un doigt entra, tourna un peu pour faire la place à son sosie et le second la pénétra à son tour. Je travaillais son anus pour préparer l’introduction du gode. Corinne ne demandait plus rien, elle subissait mes assauts. Les acceptant. Les désirant. Quand je sortis de sa fente dégoulinante pour appuyer sur son anus, elle-même ouvrit ses fesses à deux mains. Je la pénétrais doucement, ne voulant pas la blesser. Je connaissais le calibre de son mari et le gode faisait plus du double, en longueur comme en épaisseur. Une fois entrée, je manœuvrais doucement, puis de plus en plus rapidement. Ce sont ses halètements qui me donnaient le tempo. Son plaisir était à son comble quand elle explosa une nouvelle fois. De bonheur.
Amélie, qui avait laissé sa mère en suspens, s’empressa de venir la nettoyer, en profondeur. Elle réussit à lui arracher un nouvel orgasme, moins puissant, mais pour elle, c’était une victoire. Elle venait de faire jouir sa mère. On décida de rester nue pour le reste de la soirée. Bon, Charlène proposa et toutes acceptèrent. Le bonheur, la convivialité régnait dans ce pavillon. Je suis presque persuadée que si Francis avait été là, il se serait pris au jeu lui aussi. Nu devant ses filles, et moi. Après le repas, on fit des jeux de société, riant comme des folles. Au moment de se coucher, personne ne souhaitait se séparer des autres. Je proposais de dormir tous ensembles, dans le lit d’Amélie, en travers du lit pour avoir plus de place.
Les deux filles s’installèrent de chaque côté de leur mère, normal. Pour rien au monde, je n’aurais voulu prendre leur place. Je me retrouvais contre le corps tout chaud de Charlène, mais une main sur le ventre de Corinne. Je me réveillais la première et je pus à nouveau admirer le spectacle des trois corps unis dans le bonheur. Je croyais être la première réveillée mais dès que je bougeais, je vis Corinne, les yeux grands ouverts, me suppliant de l’aider à se lever sans réveiller les filles. Je caressais le flanc de Charlène qui réagit aussitôt en se grattant. Corinne en fit de même pour Amélie et elle put se lever enfin. Charlène, recherchant la chaleur perdue, se rapprocha de sa sœur et se mit à la téter. Inconsciemment, Amélie l’attira encore plus contre elle. Corinne se pencha en avant pour les recouvrir de la couette. Impossible de résister ! Je lui mettais une petite claque sur les fesses. Pas question de prendre une douche à côté et risquer de les réveiller. On sortit de la chambre entièrement nue et Corinne me proposa de prendre une douche dans sa salle de bains. Je la suivais donc jusque dans la pièce. Elle se tourna vers moi.
« Tu veux passer la première ou tu attends que j’ai fini ? »
Pour toute réponse, je pris son visage à deux mains pour l’embrasser tendrement sur ses lèvres, et la pousser délicatement dans la douche. Elle ouvrit le mitigeur et l’eau coula sur nos deux corps enlacés. Corinne eut la force et la volonté de nous séparer enfin et m’aspergea de gel douche avant de me frotter partout. Elle était énergique quand il le fallait et tendre à certains endroits. J’en faisais de même avec elle et on se lava mutuellement avant de se sécher l’une l’autre. Elle sortit la première dans sa chambre et prépara la robe qu’elle voulait porter, puis se dirigea vers sa commode renfermant ses dessous.
« Tu me laisses choisir ? »
Elle rougit légèrement en me sentant si près d’elle, dans son dos. Je choisis un ensemble rouge grenat qui se mariait parfaitement avec sa robe, et une paire de bas noir, autofixants.
« Tu vas jouer ma poupée et je vais t’habiller. »
Je me baissais face à elle et lui enfilais sa culotte. Un dernier bisou sur sa chatte. Je me relevais pour lui passer son soutif, et bien ranger les seins dans leur balconnet. Je la fis s’asseoir sur le lit pour lui enfiler les bas. Vision idyllique sur sa chatte. Une fois redressée, je lui passais sa robe et fermais le zip. Un dernier baiser dans le cou. Elle était prête. Nous sommes allées déjeuner, après que j’ai enfilé un t-shirt.