Elles restent un moment à se doigter mutuellement et c’est Marie-Rose qui décide quand changer d’activité. Elle pose sa main sur la tête de Maud afin de diriger sa bouche vers ses seins tendus par le plaisir. Les lèvres douces enveloppent l’un des tétons et je vois le visage de Marie-Rose s’illuminer d’une immense satisfaction. D’où je suis placée, je vois également sa main se diriger entre les cuisses de la jeune femme et récolter un peu de cyprine qu’elle étale généreusement sur son sein. Maud n’a d’autre choix de de lécher ce téton enduit de son propre plaisir. Marie-Rose retourne sans cesse rechercher à la source ce nectar que semble apprécier la jeune soumise. Celle-ci est parfaitement réceptive et lorsque Marie-Rose s’allonge sur le sol, l’entrainant avec elle, au-dessus d’elle, en 69, elle comprend immédiatement ce qu’on attend de sa part. D’ailleurs, sa Maîtresse a déjà commencé à la lécher entre ses cuisses et elle n’a d’autre alternative que de faire la même chose. La langue fureteuse de Marie-Rose entre en action et je peux vous affirmer qu’elle sait parfaitement comment faire jouir une autre femme. Son habileté remarquable n’a d’égal que sa soif de jouissance. Maud hésite encore un peu devant son abricot, si près de ses lèvres, préférant ressentir les prémices d’un plaisir qui s’annonce déjà dévastateur. Mais Marie-Rose ne l’entend pas ainsi, elle veut qu’elle participe également et elle force son pubis sur le visage de Maud.
Prise entre l’envie de bien faire et l’appréhension d’une première fois, Maud finit par sortir sa langue pour goûter à ce fruit mûr et dégorgeant de mouille. Émoustillée par le goût de sa liqueur, pas du tout désagréable, la jeune femme s’enhardit. Elle la lèche tout doucement pour commencer, pour finir par exécuter les mêmes caresses qu’elle reçoit elle-même. Maud s’accroche à sa Maîtresse, lui enlace la taille pour la serrer contre elle et se délecte maintenant de la manger. Entraînée dans une folie orgasmique, c’est Marie-Rose qui jouit la première, et pas en silence. Son orgasme est tellement communicateur qu’il engendre immédiatement celui de Maud. Les deux femmes se relèvent difficilement, leur visage trempé du plaisir de l’autre, et viennent prendre place sur le canapé, chacune à côté de moi. Je prends l’initiative de lécher chacun de leur visage, pour les nettoyer, commençant par celui de Marie-Rose, recouvert de la mouille de Maud. Puis, c’est le visage de la jeune fille qui subit le même sort mais je ne peux me contenter de si peu. Je glisse doucement vers sa poitrine, puis à ses pieds, entre ses cuisses, qu’elle m’ouvre généreusement. Les deux femmes s’embrassent de nouveau lorsque je commence à récolter le fruit de leur plaisir. Maud est délicieuse, et le flot de mouille qui s’écoulait de sa source était vraiment impressionnant. Je l’ai faite jouir une nouvelle fois et j’ai récolté à la source son divin nectar. J’ai raccompagné Maud jusqu’à sa boutique et je lui ai demandé, si c’était possible, de mettre sur papier tout ce qu’elle avait vécu, et ressenti, en notre présence durant ce moment magique. Elle est encore étudiante et donc apte à rédiger des rapports d’activité, rapports de stage ou autre. Mais là, cela touchait à sa vie privée, à ses sentiments profonds. Elle n’était pas sûre de pouvoir le faire. Je me suis proposée pour l’aider et j’ai vu son regard s’illuminer à nouveau, exactement de la même intensité que lorsqu’elle a découvert mon intimité de très près, il y avait seulement quelques heures. Voici son récit.
Après ma première expérience avec une femme, j’étais complètement désorientée, dans un autre monde. Puis, j’ai senti des mains se poser sur mes mollets. Elles les caressent en remontant lentement vers mon sexe. Au bout de deux à trois minutes, elles sont à mi-cuisses, je commence à m’impatienter mais je comprends que cela fait partie du jeu. Elle prend un plaisir infini à découvrir mon corps. Alors, je la laisse faire. Rien que ces caresses commencent à me faire ressentir des ondes de plaisir qui envahissent tout mon corps. Mon bassin commence à onduler doucement, mes fesses à monter. Quand ses mains arrivent en haut de mes cuisses, elles bifurquent sur mes hanches pour finir sur mon ventre, elles remontent jusque sur mes seins qu’elles caressent tendrement. Une bouche se pose sur eux, une langue les lèche, les titille. J’aime. Je commence à être sérieusement excitée. Mon ventre se soulève de plus en plus, mon bassin ondule encore plus. Elle me fait mettre sur le ventre et elle recommence à partir des mollets, jusqu’aux omoplates en passant par les fesses où elle s’attarde un peu. Je voudrais autre chose mais je ne dis rien, je sais qu’elle veut explorer mon corps tout entier, qu’elle veut s’en imprégner. Je la laisse avancer à son rythme. Elle aussi doit prendre du plaisir, elle ne veut pas m’effaroucher. Elle souhaite que je monte lentement vers l’orgasme, je sais que c’est pour me faire encore plus jouir. Orgasme, jouir, des mots que je connaissais sans vraiment comprendre ce qu’ils voulaient dire.
Elle me refait mettre sur le dos et sa bouche se pose immédiatement sur mes seins quelques secondes et descend lentement vers le bas de mon ventre, en embrassant chaque millimètre carré de ma peau. Elle arrive sur mon pubis qu’elle lèche, je soulève encore un peu plus mes fesses pour venir à la rencontre de ses lèvres, mais elle va sur mes cuisses qu’elle ouvre en grand. Elle finit par s’allonger entre elles avec sa tête au-dessus de mon sexe. Enfin, elle va s’occuper de moi, enfin je vais sentir ses lèvres de femme sur les miennes, plus intimes. Je suis de plus en plus impatiente. Je veux enfin exulter dans sa bouche. Elle passe mes jambes sur ses épaules, mon sexe est grand ouvert en même temps que mon anus. Sa bouche se pose sur lui, sa langue me lèche, tente de s’y engouffrer. Je suis littéralement tétanisée par un éclair fulgurant qui me traverse le corps. Sa langue insiste un peu avant de remonter vers le périnée, elle le mordille gentiment. Encore une nouvelle sensation inconnue.