MAXIME (02/07)

« Oh, il faut que je t’embrasse. Je suis trop contente pour toi.  » Ajouta-t-elle.

Elle se leva et s’approcha de lui pour le féliciter comme il se doit. Je le félicitais à mon tour avant d’ajouter.

« Tes compétences professionnelles sont maintenant validées par cet examen. Reste à savoir si tu as les autres compétences pour cet emploi.  »

Il parut étonné de mes doutes, puis il me vit disparaître derrière Armance.

« Armance. Prête pour la suite de l’examen ?  »

Elle secoua la tête affirmativement. Je relevais sa robe devant les yeux ébahis de Max qui n’en revenait pas. Il se mit bander très fort et se tordait en tous sens sur son fauteuil pour tenter de cacher son émoi.

« Regarde Armance. Tu as vraiment l’air de lui faire de l’effet. Le chapiteau est monté. Le spectacle va pouvoir commencer.  »

J’ôtais sa robe entièrement et elle se pencha pour sortir l’objet de ses désirs. Un bien bel objet, je dois dire. Elle le prit en main pour le cajoler. Je vérifiais son état d’excitation, elle était trempée. Je baissais sa culotte mouillée déjà et la dégageais de ses pieds. Elle s’empala directement sur la queue dressée pour elle. Elle amorça la descente, lentement, très lentement. Moi, j’avais déjà pris possession de ses seins magnifiques que je malaxais avec plaisir. Maxime se laissait utiliser comme objet sexuel. Tout juste osa-t-il poser ses mains sur les hanches bien faites. Armance accéléra le mouvement progressivement, en suivant ses propres sensations. Jusqu’à la jouissance ultime. Libératrice. Max sembla s’éveiller enfin et continua à la baiser sur le même rythme. Il se leva pour la retourner et la prendre par derrière. Penchée sur le fauteuil, les mains accrochées aux accoudoirs, elle était comblée et remplie de ce sexe. Elle m’avoua plus tard qu’elle n’avait pas eu d’aventure depuis mon dernier passage. Ni femme, ni homme. Ne pouvant plus tenir debout, Armance finit par se mettre à quatre pattes et Max l’embrocha de nouveau, en levrette. Les seins de la DRH ballotaient dans tous les sens, les tétons étaient gonflés, signe de son état d’excitation extrême. Elle jouit une nouvelle fois dans cette position. Puis Max la releva pour l’allonger sur son bureau.

Il n’avait toujours pas éjaculé, résistant à la pression des muscles internes de sa conquête. Mais pour finir, il voulait la voir jouir une dernière fois, les yeux dans les yeux, cette fois-ci. Il la pénétra de nouveau, tendrement, puis accéléra la cadence. Assise dans le fauteuil de la DRH, je profitais à nouveau de ses seins magnifiques qui ne demandaient qu’un peu d’attention, et de caresses. Son orgasme fut encore plus puissant que le précédent. Elle perdit même connaissance quelques instants. Je la ranimais par mes caresses, mes baisers. Max sembla inquiet, juste avant de la voir sourire de nouveau. Il jeta le préservatif dans la poubelle et présenta sa queue à la bouche gourmande. Elle ne se fit pas prier pour le nettoyer, méthodiquement. J’étais debout, près de lui et je sentais son regard de prédateur sur moi. Il avait envie de quelque chose de plus, et moi aussi, un peu. Lol. Il glissa sa main sous ma minijupe, trouva mes fesses presque nues. Juste un mini-string, qui ne cachait quasiment rien. Il caressa, malaxa tendrement mon petit cul, s’approchant parfois de ma rondelle. Il comprit très vite que je n’étais pas rétive à une introduction anale. Son majeur commença l’inspection. Mais nous avions tout le temps pour ça. Armance continuait à le pomper, moi, je lui offrais mes lèvres. Quand je le sentais au point de rupture, j’enfonçais mon doigt dans son cul à lui. Effet immédiat. Il remplit la gorge de la pompeuse d’une crème abondante. De longs jets de sperme vinrent tapisser sa gorge, son œsophage. Avide, elle avala tout.

Armance se redressa, son regard en disait long. Elle avait encore envie de lui, de nous deux. Sans se rhabiller, elle était redevenue la Directrice des Ressources Humaines. Une femme qui savait se faire respecter. Habillée ou non. Mdr. Elle proposa, ou plus exactement, imposa le programme pour le reste du week-end. D’abord, pas question d’hôtel pour moi, elle m’invitait chez elle. Max aussi, d’ailleurs. Il n’était pas possible de lui refuser quoique ce soit. D’ailleurs, ni Max, ni moi, n’avions envie de refuser une telle invitation. Elle nous laissait quartier libre pour l’après-midi, afin que Max récupère ses affaires, vide sa chambre d’étudiant. Elle préparait les documents administratifs de son côté. Max se rhabilla rapidement et on quitta le bureau. Armance était toujours nue. Je la soupçonne de s’être caressée encore après notre départ. Son assistante nous regarda bizarrement quand nous passions devant elle. Aurait-elle entendu quelques gémissements, ou bien vu ce qui s’était passé avec sa directrice ? On rejoignit la cafet, celle-là même où je l’avais rencontré pour la première fois, en compagnie de Betty. Assis près de moi, il devint un peu collant. Je savais que je lui plaisais, et j’en étais flattée. Il posa une main sur ma cuisse et remonta lentement. Je le laissais faire, écartant même les jambes pour mieux m’offrir.

J’étais trempée et je ne cherchais nullement à lui cacher mon état. J’étais trop bien entre ses doigts. Je mangeais peu, profitant de ses caresses. Je surpris quelques regards équivoques, des mecs qui savaient, ou croyaient savoir ce qui se passait sous la table. Je m’en moquais éperdument. J’étais bien et rien d’autre ne comptait. Je suivis Max dans le parc, prendre l’air me fit le plus grand bien.  Il ne chercha plus à me caresser, il savait que je finirais dans son lit. Et je le savais pertinemment, moi aussi. Même avant de le revoir, ce matin, je savais comment finirait ce week-end. Ses collègues vinrent le féliciter pour la réussite de son examen, la plupart l’avaient réussi eux-aussi. Rares furent ceux qui l’avaient raté. Une fille et deux garçons. Max m’expliqua que les mecs n’avaient que ce qu’ils méritaient. Indisciplinés, ils faisaient la fête presque chaque soir. Ils redoubleraient leur année, en espérant que cela leur serve de leçon. La jeune fille, par contre, était une bosseuse, et une amie de Max. Il la connaissait bien et savait qu’elle perdait facilement ses moyens quand le stress était trop fort. Devant le jury d’examinateurs, c’est exactement ce qui avait dû lui arrivé. Max me parla d’elle en termes élogieux. Elle s’appelle Rahela, est roumaine mais parle parfaitement le Français. Elle est issue d’une famille modeste de sept enfants.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *