Vacances en famille, la suite (03/18)

Joël l’aperçut enfin et il lâcha immédiatement le sein qu’il pelotait. Mais sa main resta posée sur mes fesses. Jérôme aussi se rendit compte que l’on n’était plus seul et, au lieu de cacher ma poitrine, il plaça volontairement le tablier entre mes seins, pour qu’ils soient parfaitement visibles pour ce jeune homme. J’avais les mains pleines de pâte, et de farine, et je ne pouvais rien faire d’autre que de laisser ce jeune apprenti m’admirer. C’est Jérôme qui se rapprocha de lui pour le pousser tout près de moi.

« Approche, Gaëtan. Viens voir de plus près. Ne t’inquiète pas, elle ne dira rien. Regarde, elle te sourit. Allez, viens. Tu as déjà vu une femme aussi belle ? »

Gaëtan secoua la tête négativement. Ses yeux exorbités fixaient ma poitrine pour se repaître de cette image divine. C’était surement la première fois qu’il voyait une poitrine d’aussi près. Presqu’à la toucher. Jérôme avait envie de jouer avec moi, et les deux hommes présents. Il passa l’attache du tablier par-dessus ma tête et il tomba devant moi, sur mes genoux. Gaëtan pouvait admirer ma poitrine librement sortie de mon vêtement. Il avait certainement dû en voir d’autres sur la plage mais pas d’aussi près. Jérôme continua.

« Tu veux toucher ? Rassure toi, elle ne dira rien ».

Il prit alors une main du garçon et la posa sur mon sein gauche. Gaëtan commença à me peloter nerveusement. Je le calmais en lui affirmant qu’il avait tout le temps, et qu’il devait être doux avec une femme. Il se calma, rassuré, et son autre main prit possession de mon autre sein. Joël s’était légèrement déplacé pour se retrouver juste derrière moi. Je sentais sa queue qui se frottait contre mes fesses. L’horloge d’un clocher voisin sonna et il émergea de sa léthargie. Il avait une fournée à mettre au four. Jérôme l’aida, puisque l’apprenti était occupé avec moi. Mais les deux hommes gardaient un œil sur ce qui se passait tout près d’eux. J’avais posé mes mains sur la tête du jeune apprenti et je l’attirais plus bas. Il se mit à embrasser mon téton, à me téter amoureusement. Il changea de sein sans que je ne le lui demande. Je savais que les deux autres nous observaient et j’eus envie de les exciter encore plus.

 » Tu as déjà vu une femme toute nue ?  »

C’était une question qui ne demandait aucune réponse. Tout était évident en le voyant devant moi. Je regardais autour de moi et j’aperçus une table, dans un coin de la pièce. Je lui tournais le dos, sachant pertinemment qu’il allait pouvoir admirer mon petit cul, je prenais sa main et l’attirais avec moi. Je défis le nœud qui tenait encore le tablier qui glissa au sol. Mon tee-shirt en profita pour reprendre sa place initiale. Je me retournais, face à lui. Ma seconde question l’émoustilla beaucoup plus.

« Tu veux voir une femme nue? Alors approche-toi ».

 » Tu vas soulever mon tee-shirt. Doucement !!!  »

Il s’était précipité sur moi, trop pressé de revoir ma poitrine. Il recommença, plus lentement et il releva entièrement mon maillot. Il resta là, en admiration devant ce corps de femme que je lui offrais. Il semblait complètement tétanisé. Je dus encore intervenir pour qu’il continue ce qu’il avait commencé.

« Il reste encore le bas à enlever, si tu veux me voir entièrement nue. Là, c’est bien. Doucement ».

Il était beaucoup plus calme maintenant que j’étais toute nue devant lui. Il avança timidement ses deux mains vers ma poitrine qu’il convoitait de nouveau. Un regard suppliant vers moi avant d’oser poser une nouvelle fois ses mains sur mes seins. Il les caressa tendrement, s’attardant sur les tétons qui réagissaient favorablement à ses caresses. Je voyais bien qu’il n’osait pas plus, surtout pas plus bas. Je devais le guider, lui apprendre. Je pris sa main pour la poser sur mon ventre, avant de descendre plus bas.

 » Tu peux aussi me caresser ici. Les filles adorent ça, tu sais ? Mais tu dois être doux, attentif aux réactions de ta partenaire. Là, c’est bien. Tu apprends vite. Tu sens cette petite boule, sous ton doigt ? C’est le centre du plaisir de la femme, le déclencheur de son orgasme. Tu verras que tu peux faire jouir une femme uniquement avec tes doigts, ou ta bouche, à cet endroit précis. Tu te débrouilles très bien pour une première fois ».

C’était vrai qu’il se débrouillait très très bien avec ses doigts, et sa bouche sur mes seins. Je glissais ma main dans son pantalon pour trouver son sexe qui se mit à grossir encore au contact de ma main. Je n’eus pas à le branler très longtemps avant qu’il n’éjacule. Pour une première fois, c’était normal. Et je savais, par expérience, qu’il tiendrait beaucoup plus longtemps maintenant. Habilement, je défis son pantalon et je m’accroupis devant lui. Sa queue n’avait pas vraiment débandé et je la prenais tendrement en bouche. Il poussa un premier râle de plaisir en sentant mes lèvres se refermer sur son organe frémissant. Je le suçais avec un plaisir non feint. J’adorais ce sentiment de puissance qui m’envahissait quand je sentais la queue grossir encore plus grâce à ma bouche.

Il était prêt, moi aussi. Je me redressais, sans lâcher son sexe et je l’attirais avec moi, vers la table. Je posais mes fesses et son sexe se trouva juste à hauteur de ma grotte. Je le positionnais et je le laissais progresser tout seul. Il avait compris qu’il devait faire doucement, pour moi d’abord, mais aussi pour lui, pour profiter pleinement de ce moment unique. Quand il était bloqué, il reculait un peu pour reprendre sa progression en moi. C’était divin. Il avait bien évidemment posé ses mains sur mes hanches pour m’attirer à lui, pour s’enfoncer en moi. Ça y est. Il était enfin en moi. Il prit le temps d’une longue respiration avant de ressortir légèrement et de me reprendre plus profondément. Je suppose qu’il avait déjà vu des films pornos et qu’il essayait de se remémorer comment il fallait faire.

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