À ce moment précis, je glissais deux doigts en elle pour la doigter un peu sauvagement. Cela déclencha son premier orgasme, j’en étais certaine.
« Tourne gentiment ta tête vers moi et embrasse-moi tendrement. Et garde toujours les yeux fermés ».
Elle m’embrassa amoureusement, se donnant entièrement à moi. J’avais une grosse poupée entre mes mains et je pouvais en faire ce que je voulais. C’était excessivement jouissif.
» Tu préfères ma bouche, ou bien veux tu prendre sa queue à lui ? »
Sans réfléchir une seconde, elle se jeta littéralement sur ma bouche et m’embrassa tendrement. Je quittais ses lèvres avec difficulté et, prenant sa tête entre mes mains, je la retournais vers le garçon imaginaire. Elle résista un instant avant de céder. Elle parut très déçue par la disparition de ce beau jeune homme. Je n’osais pas lui avouer qu’il n’y avait jamais eu d’autres personnes que nous. Nous sommes retournées vers le bâtiment des douches et j’ai cru apercevoir un jeune homme qui s’éloignait rapidement. Était-ce mon imagination débordante qui me faisait des tours ? Tout naturellement, nous avons repris les mêmes cabines que l’après-midi, celles sans portes. Myriam et moi, nous nous sommes rincées abondamment et, tout de suite après, j’ai et envie de reprendre en bouche ses tétons devenus très durs sous l’excitation. Je caressais ses fesses en même temps et, très lentement, je me suis accroupie devant elle pour enfin goûter à sa chatte. Elle s’abandonna totalement à mes désirs et j’aurais pu la faire jouir très intensément si une petite main ne s’était posée sur mon épaule. Les deux filles nous avaient rejointes et Céliane voulait, elle aussi, goûter à cette chatte offerte.
Je lui laissais donc la place et je regardais Rena qui observait la scène avec grand intérêt. Elle se rapprocha de moi, un peu gênée. Je me relevais doucement et je la pris contre moi. Sa bouche trouva tout naturellement ma poitrine et elle commença à me téter langoureusement. Elle semblait en transe, comme si elle retrouvait une chose qui lui avait manqué depuis tant d’années. Je supposais donc qu’elle avait déjà goûté aux seins de sa maman, quand elle était bébé. Céliane avait entré trois doigts dans le sexe grand ouvert et s’apprêtait à ajouter un quatrième lorsque l’orgasme plongea Myriam dans une transe hyper sensuelle. Je m’accrochais à elle pour ne pas qu’elle tombe. Une fois remises de nos émotions, nous sommes toutes retournées vers la tente. Il était très tard et, malheureusement, il était temps pour nous de repartir. Nous avons bien sûr échangé nos numéros de téléphone, les filles aussi. Céliane s’est écroulée de sommeil, à peine installée dans la voiture. J’ai même dû la porter jusqu’à mon lit pour la coucher, elle ne s’est rendue compte de rien du tout. Je suis retournée à la voiture pour décharger le reste avant de, moi aussi, rejoindre les bras de Morphée. Il était tard et nous avons dormi très longtemps. Enfin, quand je dis dormi …
Elle s’est réveillée au cours de la nuit et s’est mise à me téter, comme souvent. Sa petite main est partie à la découverte de mon intimité, qu’elle connaissait pourtant par cœur, mais elle ne pouvait s’empêcher de jouer avec moi, avec mon corps que je lui abandonnais complaisamment. Elle a fini par se rendormir … Pour recommencer quelques heures plus tard. J’étais son jouet, et j’adorais ça. C’est la sonnerie de la porte d’entrée qui m’a réveillée vers 10 heures 30. Je me levais pour aller ouvrir à Jean-Jacques. Il passait me voir de temps en temps, nous avions une relation très spéciale, lui et moi. Il était mon amant régulier, mais il savait qu’il n’avait pas l’exclusivité. Ce qui lui importait surtout, c’était que je sois disponible pour lui, de temps en temps. Nous avons bu un café dans la cuisine, bientôt rejoints par Céliane qui se levait à son tour. Elle prit son bol de céréales et s’installa devant la télévision. Jean-Jacques me poussa délicatement vers ma chambre et entreprit de me déshabiller complètement. C’était facile, je ne portais qu’un maxi-teeshirt, et rien dessous. Il se déshabilla à son tour et, sa queue déjà bien raide, il s’approcha de moi, prêt à m’embrocher. Il était doux, et très compréhensif, comme toujours, mais j’aurais voulu un peu plus de sauvagerie de sa part.
C’était ce qui me manquait avec lui, et que donc je trouvais ailleurs. Allongée sur le lit, les fesses sur le bord du matelas, j’avais attrapé mes chevilles pour bien écarter mes cuisses au maximum. Il n’a eu qu’à avancer lentement pour investir la place. J’étais à lui, de nouveau. De l’autre côté de la porte, j’entendais la télévision où passaient une série de clips musicaux. Je vis soudain la porte de la chambre s’ouvrir et la petite tête de ma nièce qui nous observait. J’espérais vraiment qu’elle n’intervienne pas avant que je ne jouisse véritablement. Elle semblait intéressée par ce qu’elle voyait. Je changeais de position, sur la demande de Jean-Jacques. À genoux sur le lit, jambes écartées, je lui laissais le loisir de choisir son entrée. J’avais gardé la tête tournée vers la porte et je vis qu’elle entrait doucement. Jean-Jacques avait choisi mon petit trou et s’enfonçait délicatement en moi. Il arriva facilement au fond et ressortit presque aussitôt. Pour recommencer encore une fois. Céliane avait compris qu’il avait passé le point de non-retour et décida de s’avancer jusqu’à son sac de voyage pour y chercher son MP3. Jean-Jacques s’arrêta en la voyant si proche. Elle lui sourit, montrant son appareil et se dirigea vers la porte. Avant de sortir, elle lui dit.
« Vous avez une belle queue, Monsieur. »
Puis, elle disparut. Je dus bouger légèrement pour qu’il reprenne ses esprits et sa progression en moi. Il reprit un bon rythme et sembla encore plus enthousiaste que précédemment. C’était la première fois qu’il me baisait de façon un peu plus énergique et je lui fis comprendre que j’adorais ça. Il me prit avec encore plus de vigueur et se répandit dans mon cul abondamment.