Isabelle (05/16)

« Geneviève, je comprends parfaitement ton point de vue et repousser chaque mois ne fait qu’empirer les choses. Francine, je vois bien ton désarroi de ne pouvoir payer en temps et heure. Je te crois, sincèrement Je vois une solution qui vous satisferait toutes les deux. Francine, tu connais Geneviève. Tu sais qu’elle est veuve. C’est une femme de caractère, comme tu as pu le constater, mais qui cache aussi une certaine fragilité. La solitude lui pèse, plus qu’elle ne veut se l’avouer.  »

Je laissais un vide, Geneviève écoutait et avait compris où je voulais en venir. Je reprenais en interrogeant Francine.

« Francine, si j’ai bien compris, tu vis seule toi aussi depuis ton divorce. Un homme qui frappe sa femme devrait aller faire un séjour en prison, ou, pour le moins, en hôpital psychiatrique. Malgré tout, la solitude doit te peser à toi aussi. Je te propose, si Geneviève est d’accord, de passer une soirée par semaine chez elle, et même d’y dormir. Tu lui tiendras compagnie, l’aideras si elle a besoin. Tu lui serviras son petit déjeuner au lit, par exemple. Une jolie attention, non? »

Je la voyais réfléchir, sans vraiment savoir sur quel pied danser. Toujours dans ses doutes. J’attaquais plus franchement.

« Francine, j’ai une question pour toi. As-tu déjà eu des relations avec une fille, une femme ? »

Je la vis rougir aussitôt.

« Une. Une fois, il y a longtemps ».

 » Tu mens, je le sais. Je l’entends dans ta voix ».

« Oui, plus, c’est vrai. Six ou sept fois. Mais c’est mon mari qui me forçait. Sinon, il me frappait.  »

 » Et tu aimais ça ? Être forcée ?  »

 » Non. Mais oui, un peu.  »

« Francine, lève-toi face à Geneviève et relève ta robe. Doucement ».

Elle se leva doucement, hésitante, déstabilisée par cet ordre.

 » Non, je ne veux pas ».

« Tu n’es pas obligée, bien sûr, et tu peux partir si tu le souhaites. Mais sache que tu rates une occasion exceptionnelle de changer ta vie ».

Francine ramassa son sac à main, son manteau et s’approcha de la porte. Elle s’arrêta, comme pétrifiée, puis se mit à trembler imperceptiblement. Je la rejoignais pour lui murmurer à l’oreille.

 » Pose tes affaires et va te présenter devant Geneviève « .

Docile, elle fit demi-tour, posa son sac et son manteau sur une chaise et se plaça devant sa propriétaire.

« Lève ta robe, doucement. Fais lui admirer tes jambes. J’ai pu les contempler en te suivant dans l’escalier. Tu as des jambes splendides ».

Francine releva sa robe jusqu’à la lisière de sa culotte. Sans que je ne lui dise, elle écarta ses jambes, pour garder l’équilibre, je pense.

 » Continue maintenant « .

Prise au jeu, elle offrit au regard médusé de Geneviève, un magnifique boxer en dentelles, noir, puis son ventre plat. La peau encore légèrement bronzée, elle était vraiment magnifique. Arrivée à sa poitrine, menue, elle hésita une seconde puis continua d’ôter sa robe. Les yeux toujours baissés, elle jeta sa robe sur le bras du canapé.

 » Ta culotte, tu veux la baisser toi-même ou bien me laisser faire ?

Elle ne répondit pas mais sa main, pointée vers moi, m’offrait l’opportunité de la toucher enfin. Je me mis à genoux derrière elle pour faire glisser ce bout de tissu et découvrir de petites fesses merveilleuses. Geneviève put découvrir, quant à elle, son minou entièrement épilé, tout comme moi.

« Approche-toi de ta maîtresse et offre-lui ton corps. Laisse-la te caresser là où bon lui semble ».

Elle s’exécuta, s’approchant des mains avides de Geneviève. En me demandant de passer la voir, elle ne s’attendait pas à recevoir en cadeau cette soumise magnifique. Ce corps jeune, et ferme, et si chaud. Francine se laissait peloter mais je voyais bien, à certaines réactions, qu’elle y prenait du plaisir elle aussi. Je fis signe à Geneviève que l’on serait mieux dans la chambre d’amis, pièce qu’elle avait aménagée spécialement pour ses rencontres coquines. Je rappelle, pour qui l’aurait oublié, que ce n’est pas son adresse principale. Geneviève marchait devant, la main droite posée sur la chatte de sa soumise, un doigt inquisiteur qui la fouillait. Moi, juste derrière, caressant ses petites fesses adorables. Arrivée dans la chambre. Un grand lit, équipé à chaque montant d’une paire de menottes. Les tiroirs des chevets remplis de sex-toys en tout genre.

 » Francine, déshabille ta maîtresse  »

Elle se tourna vers moi pour m’ôter mon top.

« Ta maîtresse, c’est Geneviève, maintenant ».

À regret, elle se tourna vers sa proprio et la dévêtit complètement. Elle prenait un réel plaisir à caresser son corps, ses seins splendides. Elle se pencha pour prendre un téton en bouche. C’est Geneviève qui l’interrompit.

 » Tu vas t’occuper de Stéphanie, maintenant, et la remercier comme il se doit ».

J’aperçus un sourire sur son visage quand elle revint vers moi. Elle avait déjà ôté mon top, restait ma jupe, puis mon string. Tout comme elle, je ne portais pas de soutif. L’avantage des petites poitrines. Moi avec mon 85 B, elle était plus menue que moi, 80 B sans doute. Un corps de jeune fille. En la serrant dans mes bras, je me serais crue revenir au lycée et à mes premiers émois amoureux. Elle m’attire vers le lit où elle se couche en arrière, m’offrant sa chatte en écartant les cuisses en grand. En attente de mes caresses. Je commence à caresser son minou, à pincer son mignon petit clitoris, à parcourir sa fente, à lisser ses petites lèvres. Soumise et attentive au moindre de mes gestes, elle ne me quitte pas du regard, tout en mouillant abondamment. Je porte mes doigts gluants entre mes lèvres. Hummm, un vrai délice. Je replonge mes doigts dans sa fente pour y récolter du jus que je porte aux lèvres de Geneviève, toute proche, qui s’empresse de les lécher avidement.

« Tu peux aller plus profond. Son vagin est grand ouvert » remarqua Geneviève.

D’une main, j’écarte ses grandes lèvres, révélant sa vulve rose et moite. Je suis toujours très émue à la vision d’une nouvelle chatte offerte à mes caresses. Avec deux doigts, je parcoure l’embouchure de son puits d’amour. Puis, lentement, je la pénètre. Je vois de l’approbation dans son regard, m’invitant à aller plus loin. Je récolte encore un peu de cyprine que je porte à sa bouche. Elle lèche mes doigts amoureusement. Je replonge dans son puits, jusqu’à la garde cette fois. Elle gémit sourdement.

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