Romuald (11/18)

Romuald était encore couché lorsque je suis rentrée et, quand je lui ai demandé de se lever, il m’a de nouveau attirée entre ses griffes et nous avons encore fait l’amour tendrement pendant presqu’une heure. Puis, nous avons déjeuné avant que je le raccompagne chez lui. Nous étions presqu’arrivés lorsqu’il a demandé que je m’arrête sur une petite aire de repos. Je pensais qu’il avait une envie pressante et je n’ai compris que lorsqu’il m’a fait sortir de la voiture. Penchée sur le capot moteur encore chaud, il m’a prise par derrière, comme ce matin quand j’étais prête à partir. Il voulait profiter de mon corps une dernière fois. Et il en a bien profité.

Ce n’est que sur la fin du parcours que je lui ai dit qu’il pouvait revenir chez moi quand il le voulait, puisqu’il était désormais en vacances. Il lui suffisait de me prévenir, pour être sûr que je sois entièrement disponible pour lui. J’insistais sur le fait qu’il devait venir seul, sans son frère, ou son père. Il me promit qu’il reviendrait bientôt, surtout s’il était accepté dans cette école spécialisée. Il aura certainement un dossier à remplir, des documents à fournir et d’autres à signer. Tout ça pourrait se faire par mail, mais il préférait se déplacer personnellement. Nous arrivions chez lui et Armelle était sur le perron, qui nous attendait. Elle m’a conviée à entrer pour prendre un rafraîchissement. Romuald a regagné sa chambre, pour ne pas se trahir devant sa mère. Il ne tenait pas à ce qu’elle devine ce que nous avions fait. Même s’il avait voulu tout ça, je me disais qu’il était encore mineur. Enfin, pour quelques mois.

Nous étions assises sur le canapé, buvant notre limonade bien fraîche et Armelle se plaignait du fait qu’elle allait bientôt se retrouver toute seule, quand Romuald partirait la semaine entière dans sa nouvelle école. Déjà, le départ de sa fille, Rosalie, lui avait causé un vide immense et le départ prochain de son dernier enfant l’affligeait au plus haut point. J’essayais de la rassurer, il reviendrait la voir chaque week-end. Pour Rosalie, c’était beaucoup plus compliqué de revenir deux fois par an. Voyage en train interminable, changements de gare à Paris, et le prix du voyage qui n’était pas donné. Je m’étais renseignée personnellement pour aller lui rendre une petite visite. Armelle enchaina aussitôt.

« Oh, Lauryn, si tu savais à quel point elle me manque, ma petite fille chérie ».

Je prenais la balle au bond pour lui répondre.

« Oui, elle m’a tout raconté. Et je comprends à quel point elle te manque ».

Tout en disant cela, j’avais posé ma main sur son genou, juste en dessous du bas de sa jupe ample. Elle me regarda d’un air embêté, puis étonné. Sans faire le moindre geste pour ôter ma main. Je caressais doucement son genou, l’intérieur de ses cuisses pour remonter lentement vers le haut. Elle aurait pu tout arrêter d’un seul geste, ou d’un seul mot. Mais elle me regardait toujours, surprise de mon aplomb. Jamais aucune femme avant moi n’avait osé faire ce que je lui faisais. D’ailleurs, elle l’en aurait empêché immédiatement. Seul un homme, son homme, celui qui était devenu son mari, lui seul avait osé poser ses mains sur elle et elle l’avait laissé faire, comme elle faisait maintenant avec moi.

Elle aurait dû resserrer ses cuisses pour m’empêcher de progresser mais, au contraire, elle ouvrait le compas de ses cuisses pour me donner libre accès à son intimité. Pensait-elle que je n’oserais pas aller au bout ? Mes doigts arrivaient maintenant au cœur de sa fournaise et je sentais la chaleur que dégageait son trésor caché. D’après ce que je savais, un seul homme avait eu cet honneur, et une seule femme, une jeune fille. Je serais donc la troisième personne qui toucherait son bouton d’amour, qui la ferait vibrer sous mes caresses. Elle avait désormais le regard perdu dans le vide de ses pensées. Et elle s’abandonnait totalement à ce que j’aurais envie de lui faire. Puisque c’était pour son plaisir.

Totalement inerte, elle avait même légèrement glissé vers le bord du canapé. Je me suis agenouillée entre ses jambes et j’ai écarté le tissu de sa culotte, trempée évidemment. Comme son intimité désormais dévoilée. Je plongeais boire à la source de son plaisir, pour mon plus grand bonheur à moi aussi. Elle murmurait des mots incompréhensibles, tout en maintenant ses mains sur ma tête, comme si elle avait peur que j’arrête avant la jouissance qu’elle attendait tant. Ses murmures se transformèrent en un cri de délivrance au moment suprême. Elle cria : « Lily ». C’est le surnom qu’elle donnait à sa fille.

Je la laissais doucement se remettre de ses émotions, tout en caressant sa poitrine par-dessus son tee-shirt. Elle revenait tranquillement à elle et les caresses sur sa poitrine portaient leurs effets. Elle me fixa longuement avant d’ôter entièrement son haut. Le soutif suivit juste après et je pouvais enfin admirer sa voluptueuse poitrine. Et je ne me privais pas de la peloter à ma guise. Elle appréciait énormément quand j’excitais ses tétons devenus durs sous les effets du plaisir. J’allais les prendre en bouche lorsqu’un bruit m’alerta. On nous observait. Ce « On », c’était évidemment Romuald qui avait entendu sa mère crier le surnom de sa sœur. Il s’était approché presque sans bruit et pouvait parfaitement voir ce que je faisais avec sa chère maman. Cela semblait l’exciter au plus haut point, si je me fiais à son regard et à la bosse qui déformait le devant de son short. Je décidais de jouer avec lui, avec eux.

« Tu es très belle, Armelle. Très excitante aussi. Je suis certaine que tu as énormément de succès à ton travail, ou en dehors. Les hommes doivent te regarder avec envie. Et pas un n’a osé te toucher ? »

Elle a frémi à ma question. L’un d’eux avait-il osé ? Je continuais sur la lancée.

« Plus d’un homme serait ravi de caresser tes seins merveilleux comme je le fait actuellement. Ferme les yeux. Voilà. Garde-les bien fermés et imagine que c’est un homme qui caresse maintenant ces seins volumineux ».

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