Je présumais que tous les temps de formation débuteraient ainsi. Et que je serais toujours seins nus et visibles durant tout le cours. Il déboutonna la robe, dégagea mes épaules, baissa les bretelles avant de défaire le soutif.
Je me connectais à la session tandis qu’il jouait avec mes seins, mes tétons. C’était très agréable, soit-dit en passant. Comme la fois précédente, il attendit la fin du cours pour s’intéresser à mon entre jambes. Il fut extrêmement surpris quand il se rendit compte que j’étais nue sous ma robe.
Il tomba littéralement à mes genoux, me fit écarter les cuisses et souleva
lui-même le bas de mon vêtement, jusqu’à découvrir mon intimité. Je ne lui cachais plus rien. Il était évidemment fortement intéressé à toucher, caresser et inspecter cette nouveauté. Il avait sans doute quelques notions car très vite, il décalotta mon petit bouton d’amour.
À ma réaction, il sut immédiatement qu’il avait tapé dans le mille et qu’il pourrait facilement me faire jouir en jouant avec ce petit bouton. Je dus encore une fois mordre ma main pour éviter d’ameuter tout l’étage. J’imaginais mes collègues me trouvant robe relevée et Léandre à mes pieds, ça aurait fait jaser dans la
basse-cour.
Le lendemain, changement de technique. Il était arrivé avant moi et avait éloigné le fauteuil sur lequel je prenais place habituellement. Je compris très vite l’astuce et me penchais en avant me connecter sur l’ordi portable. Il remonta immédiatement ma robe au-dessus de mes fesses. La surprise du jour, je portais une jolie culotte en dentelle.
J’avais remarqué, la veille, qu’il avait été surpris par ma nudité, mais aussi déçu de ne pas pouvoir me découvrir lui-même. Je lui offrais donc mon cul, et tout le reste, car j’avais déjà écarté les cuisses. Il baissa religieusement ma culotte, l’ôta entièrement de mes chevilles. Il s’était accroupi pour cela. Sa bouche était désormais à la hauteur de mes fesses qu’il prit entre ses mains. Il m’embrassa tendrement un côté puis l’autre.
Avant de se déchaîner sur le bas de mon corps. Il voulait tout voir, tout toucher, manipuler, caresser, investir mon cul et ma chatte de ses doigts. Telle une sangsue affamée, sa bouche se colla contre mon intimité et ne la lâcha qu’après un orgasme tonitruant. Jamais avant lui je n’avais ressenti une telle sensation. C’était délicieusement diabolique. Mais c’est pourtant bien au paradis qu’il m’avait emmenée. Son appétit féroce avait eu raison de mes dernières défenses.
Il rapprocha le fauteuil et, robe relevée, je pus enfin m’asseoir, les fesses directement au contact de l’assise. Avec mes cuisses largement écartées, il gardait un accès privilégié à mon intimité. C’est plutôt de ma poitrine qu’il s’occupa ensuite. Mais malgré les caresses qu’il me prodiguait, il restait pourtant un très bon professeur, formateur plutôt.
Je progressais énormément en écoutant ses consignes, ses conseils, ses recommandations. Il avait merveilleusement su me prendre en mains. Dans tous les sens du terme. Christiane savait ce qui se passait, ou se passerait, dans ce bureau. Quand j’étais plus jeune, plus salope, je n’aimais pas du tout les jeunes puceaux, inexpérimentés, fébriles.
Je préférais les mecs plus sûrs d’eux, qui sauraient me faire grimper aux rideaux. C’était un critère pour mes choix de partenaires, à l’époque. Je dois dire que j’ai bien changé et que, pour moi, c’était un honneur de déniaiser le fils de ma responsable. Un honneur et un véritable plaisir. Plaisir partagé entre les trois parties car, comme convenu, tous les matins, je racontais à Christiane ce que son fils m’avait fait la veille.
Deux jours sans le voir, jusqu’au vendredi. Même scénario sauf qu’il ne me laissa pas me rasseoir tout de suite. Il se colla à mes fesses et simula l’acte sexuel. Il lui aurait suffi de demander pour que je le laisse me baiser. J’étais certaine que cela finirait ainsi et j’attendais ce moment avec impatience.
Mais il se contenta de se frotter à moi et, je suppose, d’éjaculer dans son slip. Bien calmé après cela, la leçon put reprendre son cours, exactement comme la dernière fois, cuisses écartées et seins entièrement dénudés.
J’aurais voulu, j’aurais aimé qu’il aille plus loin mais je me contentais de ses besoins, de ses envies. Il aurait pu demander n’importe quoi, j’étais prête à tout. Jusqu’à me donner à lui. Mais il n’osa rien, il n’était pas encore prêt. Par contre, il me demanda de lui rendre un service, l’accompagner à la pharmacie, place Lafayette.
J’acceptais, sans véritablement comprendre pourquoi. Il entra, me laissant près de la porte et se dirigea franchement vers une préparatrice. Jolie, plus jeune que moi. Je n’entendis pas sa demande mais je pus m’apercevoir qu’il rougissait, quand il se tourna vers moi. La jeune femme, comprenant son désarroi, n’insista pas et alla lui chercher sa boîte de préservatifs.
Deux symboles forts dans ceci. Léandre s’émancipait de plus en plus et prenait confiance en lui. La seconde chose, c’est qu’il voulait me baiser à son tour. J’étais désolée pour lui, par rapport au timing mais, comme je le pressentais, j’étais indisposée dès le dimanche matin. J’étais réglée comme du papier à musique.
Je me présentais donc le lundi matin en pantalon. Ma responsable a immédiatement compris la raison de ce choix, elle savait qu’elle ne pouvait pas me toucher. Elle tourna simplement son fauteuil face à moi en écartant les jambes. Le message était clair et je préférais m’agenouiller entre ses cuisses que subir sa mauvaise humeur.
Léandre aussi sera certainement déçu en début d’après-midi. Je le vis immédiatement à son visage fermé. La seule chose que je pouvais faire pour calmer sa frustration était de caresser son entrejambe. J’avais déjà vu la bosse formée sous le tissu. J’avais également pu sentir sa queue se frotter contre mes fesses.
Mais c’était bien la première fois que je pouvais enfin le toucher, le caresser, le faire bander. Car le coquin réagissait très favorablement à mes caresses. Mieux, il dégrafa son pantalon pour que je prenne sa queue.
C’était doux, et chaud, et ça vibrait délicieusement sous mes doigts. Je débutais une branlette mais très vite, j’eus envie de plus. Il restait avachi sur son fauteuil, me laissant prendre les choses en main. Et en bouche. Car c’est finalement à ses genoux que je me retrouvais pour emboucher cette queue jeune et frémissante.
Je le pompais jusqu’à éjaculation et j’avalais bien sa semence. Je jouais ensuite le rôle de la grosse salope pour bien nettoyer son vit. Léandre était aux anges et pourtant sa queue ne dégonflait toujours pas. Je continuais le cours en le branlant gentiment. Après la maman, le fils avait profité de ma bouche accueillante.
Deux jours plus tard, le cours commença de la même manière sauf que, à un moment, Léandre me présenta une pochette de préservatif. Je le regardais droit dans les yeux en prenant la pochette, la déchirais avant de l’enfiler sur cette queue excessivement bien tendue. Le jeune homme était prêt à devenir un homme.
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