J’enfilais les bretelles dans ses bras ballants pour les remonter sur les épaules. Puis je me glissais derrière elle pour bien positionner sa poitrine. Je passais mes mains entre le tissu et la peau et je la sentis soupirer (de bonheur ?). Elle était face au miroir et se regardait, me souriait. Vu le prix du maillot et la somme que m’avait donnée Myriam, il restait de quoi compléter sa tenue. Je lui demandais de rester là, en maillot et que je revenais de suite. Il ne me fallut pas longtemps pour repérer une jupette bariolée et un top mauve qui lui iraient à merveille. En revenant vers sa cabine, je vis un ensemble culotte-soutif, ravissant, et j’eus envie de la voir le porter.
De retour dans la cabine, je lui passais la jupette et le top et elle se trouva très belle dans le miroir. Elle me fit une bise sur chaque joue pour me remercier de lui avoir choisi cette tenue. Je lui montrais alors l’ensemble que j’aimerais la voir porter. Elle baissa les yeux, redevenue timide, et accepta que je le lui mette. Top et jupette remis sur cintres, je glissais mes doigts sous les bretelles pour faire descendre son maillot, en prenant bien soin de la caresser là où j’avais envie, sa poitrine, son ventre, ses fesses.
Elle rigola quand je lui pinçais les fesses. De nouveau à genoux devant sa petite chatte, je finis d’ôter le maillot avant d’enfiler la petite culotte à volants. Je prenais tout mon temps, profitant de l’instant. Puis ce fut le tour du soutif que je lui présentais, elle tendit les bras en avant pour enfiler ses mains dans les bretelles et me laissa le mettre en place, ajuster ses seins dans les bonnets. Doux moment de plaisir.
Puis elle se rhabilla seule. Elle était beaucoup moins timide avec moi et parlait beaucoup. Je pense qu’elle était heureuse d’avoir une amie, une personne qui l’écoute tout simplement, et qui la respecte. A la caisse, il manquait 1 Euro pour l’ensemble de ses vêtements que j’ajoutais volontiers. Je payais de ma poche son ensemble soutif-culotte mais elle ne me vit pas l’acheter, elle regardait les étalages de bijoux fantaisie.
Rendez-vous fut pris pour le lendemain, 9 heures, dans le hall d’entrée de la piscine. Myriam serait là également pour lui prendre sa carte d’abonnement. Puis, nous nous sommes dirigées vers les cabines, Myriam en prit une et Sarah et moi, ensemble dans une autre. Elle eut moins de mal à se déshabiller devant moi cette fois, surtout qu’elle me vit nue aussi, avant que je n’enfile mon maillot, une pièce comme elle. Je l’aidais à ajuster son maillot en glissant ma main sur ses fesses, puis sur sa poitrine, et elle me laissa faire.
Puis je l’emmenais vers le bassin moyen. En la voyant entrer dans l’eau, je sentis une réticence, une peur peut-être. Elle avait dû vivre une mauvaise expérience, une mauvaise blague sans doute et cela l’avait marquée. Au milieu du bassin, je lui demandais si elle avait tout confiance en moi. Elle répondit « Oui, Stéffie ». Je lui demandais de fermer les yeux, et la bouche, et de s’allonger complètement, pour faire la planche. Je la maintenais au début, puis la lâchais doucement en lui expliquant que si elle restait bien droite, jamais elle ne coulerait. Puis je commençais à la promener vers le bord du bassin, là où l’eau est plus profonde.
– Là, tu n’as pas pied mais tu ne risques rien, tant que tu ne paniques pas.
Elle acquiesça.
-Maintenant, écarte les bras, et remets-toi debout, et surtout, bouge tes pieds pour rester à la surface.
Elle disparut 1 seconde sous l’eau au changement de position mais je la remontais à la surface et elle bougea ses pieds pour rester à la surface.
– Maintiens ta bouche fermée et laisse-toi couler tout au fond. Quand tu sentiras le fond, tu pousseras pour remonter.
– Tu dois avoir confiance en moi. Et en toi aussi.
Elle fit l’exercice une fois, puis deux, et recommença encore, en me souriant cette fois. Elle avait vaincu une partie de ses peurs. Il n’y avait que 20 centimètres d’eau avant d’atteindre le fond mais pour elle, c’était une grande victoire. Puis je la ramenais doucement vers le milieu, où elle avait pied, pour lui apprendre les mouvements des bras pour la brasse. Elle était très attentionnée et apprenait vite, et bien. Myriam passa nous voir pour demander si tout se passait bien. Sarah la remercie encore pour tout ce qu’elle faisait pour elle, et pour les vêtements. Je lui expliquais brièvement que, vu qu’il restait de l’argent, j’avais choisi pour elle une jolie tenue.
-Il faudra venir chez moi, me montrer tout ça, un de ces jours.
Sarah accepta avec grande joie, honorée qu’une grande personne, une adulte, s’occupe d’elle comme ça. Mis à part nous deux, personne jamais n’avais pris soin d’elle, de l’écouter, de la comprendre. Myriam retourna faire des longueurs dans le grand bassin et Sarah s’approcha du bord du bassin. Accrochée à la rigole, elle exécuta les mouvements des pieds comme je le lui indiquais. Je glissais ma main sous son ventre pour maintenir ses jambes à la surface le plus possible. Ma main glissa plus bas, sur son pubis, sur sa chatte et elle n’eut pas un mouvement pour m’en empêcher.
Elle acceptait la caresse, tout en continuant ses mouvements. Bien sûr, j’avais placé ma main ici, mais maintenant, elle se frottait littéralement contre ma main. Je la vis se mordre la lève inférieure au moment de jouir. L’eau se troubla un peu mais seule moi put m’en rendre compte.
Les deux heures s’étaient écoulées sans qu’on s’en rende vraiment compte. Elle devait rentrer pour aider sa mère pour le repas et le ménage. Nous prîmes notre douche ensemble et elle m’essuya ensuite, puis moi. Dans la cabine, je fus la première nue et je baissais son maillot. Je ne pus m’empêcher d’embrasser sa poitrine. Elle me sourit d’un air coquin mais me laissa faire, une minute de pur plaisir. Elle se pressa ensuite pour s’habiller et regagner l’abri bus le plus proche. Mais elle savait qu’on se reverrait, ici, le samedi suivant.
Pour la deuxième leçon, je l’équipais d’une ceinture de flottaison et d’une planche en liège et direction le grand bassin. Un peu craintive encore mais confiante, elle descendit l’échelle et se retrouva dans l’eau, là où elle n’avait pas pied, pas plus que moi. Je ne la quittais pas du regard et la laissais seule se maintenir à la surface avec ses mouvements de jambes.