Elle n’avait pas anticipé l’attaque et se défendait mollement. Ce n’est que lorsque j’ai voulu passer la main sous sa jupe qu’elle a commencé à se rebeller un peu.
« Non, je t’en prie. Pas comme ça. Pas ici. »
« Il y a un endroit où l’on peut être tranquilles ? »
Elle jeta un coup d’œil affolé autour d’elle avant de m’entrainer vers les sanitaires publics. Nous avons croisé un vieil homme, qui n’avait sans doute pas ses lunettes puisqu’il ne nous a même pas regardées. Une femme pressée, tête baissée, qui devait rentrer chez elle et deux adolescents, le nez rivé sur leurs smartphones. Toilettes Dames. Cabine pour handicapés, plus spacieuse. Je refermais la porte derrière nous avant de plaquer Géraldine contre l’un des murs. J’approchais de nouveau mes lèvres des siennes, encore closes. Avant de coller définitivement ma bouche à la sienne, je plaquais ma main sur son pubis. Surprise, elle ouvrit enfin la bouche. Je l’embrassais tendrement mais elle restait de marbre. Si elle n’avait pas envie, il était inutile de continuer. C’est lorsqu’elle comprit que j’allais stopper qu’elle attrapa ma tête et c’est elle qui m’embrassa fougueusement. Une vraie furie. Je profitais de mon avantage pour passer la main sous sa jupe et pénétrer dans sa culotte. Je la trouvais trempée et donc très excitée. Avec mes deux mains, je baissais sa culotte et, en m’accroupissant devant elle, je passais sa jupe par-dessus ma tête. J’allais boire directement à la source de son plaisir et je sais qu’elle a mordu son poignet pour ne pas hurler son plaisir au moment de l’orgasme.
J’avais obtenu la réponse à ma question. Elle était ouverte à d’autres expériences, avec ou sans son fiancé. Je libérais ses pieds de leur entrave avant de me relever et je gardais sa culotte comme trophée. Une fois de nouveau face à elle, je l’embrassais encore une fois, tendrement. Elle a pu goûter ainsi pour la première fois à sa sève intime. Nous nous sommes quittées à la sortie du parc, elle rentrant chez elle avec la certitude qu’il y aurait bientôt une vraie rencontre entre nous trois, avec son futur mari. Je rejoignais précipitamment Marie-Rose avant l’arrivée prévue de Céline. J’embrassais mon amie en arrivant et elle a tout de suite senti ce qui venait de se passer, l’odeur de Géraldine encore présente sur mon visage. Je ne lui révélais pas encore de qui il s’agissait. En arrivant, j’avais aperçu Josiane devant son chalet. Je savais que ses parents étaient à l’intérieur. Comme prévu, nous l’avons appelée sur son portable. C’était le signal convenu. Elle s’est levée pour aller se détendre les jambes avant de revenir au chalet. Là, elle signifia à Céline que Marie-Rose voulait la voir, maintenant, et que cela semblait urgent et important.
Céline se leva aussitôt mais regretta immédiatement son empressement à quitter son mari. Comme elle ne semblait pas pressée, c’est lui-même qui l’envoya chez Marie-Rose, pour résoudre son problème. Devant lui, elle fit une moue de dépit, mais dès qu’elle se retourna, son visage s’illumina. Josiane avait parfaitement surpris ce changement d’attitude chez sa belle-mère. Elle la suivit du regard jusqu’à ce qu’elle pénètre dans le bungalow. Pour son père, elle prétexta devoir rejoindre ses amis et s’éclipsa à son tour. J’étais juste derrière la baie vitrée lorsqu’elle se présenta, silencieuse, devant le bungalow. Je la fis entrer pour qu’elle puisse de nouveau apercevoir sa belle-mère, à quatre pattes, la tête enfouie entre les cuisses de Marie-Rose. Je m’approchais de Céline pour relever sa jupe au-dessus de la taille. Son cul se dandinait de droite à gauche. Une bonne claque retentissante sur l’une de ses fesses la fit frémir. Je frappais de l’autre côté, avec le même effet. La salope aimait se faire fesser.
J’allais continuer lorsque je vis le regard exorbité de Josiane sur les fesses ainsi exposées. Je baissais la culotte jusqu’aux genoux et je positionnais la jeune fille à la place que j’occupais. Elle me regarda, anxieuse, mais quand je lui fis signe qu’elle devait à son tour donner la fessée à la femme en-dessous d’elle, son regard se transforma. Une première claque pas très appuyée, pour se mettre en confiance. La seconde fut beaucoup plus forte, et les suivantes encore plus puissantes. Elle semblait se libérer de toutes les tensions qui avaient pu exister entre elles deux. Elle se vengeait des punitions subies, des interdictions de sortir. Et, elle me l’avoua plus tard, elle voulait la punir d’avoir trahi son père. Le cul de Céline était devenu rouge pivoine et elle semblait en redemander. Je stoppais la main habile pour la poser entre les cuisses ouvertes. La salope était trempée. Je lâchais la main de Josiane qui continua à caresser la chatte gluante qu’il lui était offerte. Elle prenait, semble-t-il elle aussi, prendre un malin plaisir à faire dégorger cette fente odorante. J’étais à genou près d’elle et, sous sa jupe très courte, j’apercevais son string blanc. Avec déjà une petite tâche suspecte sur le devant. Cela l’excitait énormément de toucher la chatte gluante de sa belle-mère. Je posais gentiment ma main sur son mollet et je remontais doucement vers ses cuisses, que je caressais l’une après l’autre. Je remontais jusqu’à ses fesses que je caressais à leur tour. C’était sûrement la première fois que quelqu’un osait la caresser ainsi. Mais elle se laissa faire, docilement. Je sortais un gode de la petite valise de Marie-Rose et je lui mis entre les mains. Elle me regarda, un peu interloquée. Lentement, je guidais sa petite main en direction de la grotte béante qui n’attendait plus que l’on s’occupe d’elle. Céline eut un petit mouvement de recul lorsque le gland toucha son intimité, pénétrant légèrement. Mais Josiane aussi avait eu ce même mouvement de surprise et s’était retirée. Tout en grognant, et en dandinant son cul, Céline appelait le gode qu’elle savait tout proche. Josiane rapprocha le gode des lèvres intimes de sa belle-mère et l’introduit d’une seule traite, pour la plus grande satisfaction d’une Céline reconnaissante. La jeune fille continua à baiser sa belle-mère vigoureusement. Elle était comme en transe, et elle ne réagit presque pas lorsque je baissais son string.