Les mains nerveuses de Nicole parcouraient le corps gracile de Selma. Partout, son ventre, ses cuisses, ses fesses. Sa poitrine. Encore une fois, j’intervenais pour, cette fois, prendre les choses en main.
« Selma. Ce que tu ignores encore dans la relation entre Murielle et Nicole, c’est qu’elle adorait être soumise. À moi surtout. N’est-ce-pas, Nicole ? »
« Oui, Madame. »
« Donc, à ton tour de te lever. Face à Selma. Et laisse-la te déshabiller. Totalement. »
« Oui, Madame. »
« Selma. C’est à toi. »
Hésitante, elle commença par les boutons du corsage. Dévoilant le soutif pigeonnant. Elle le sortit de la jupe et le lui ôta. Elle l’aida à se tourner pour dégrafer le soutif. Il rejoignit le corsage sur le fauteuil. Ensuite, la jupe glissa au sol. Nicole l’enjamba. Selma glissa ses mains dans les collants pour les faire glisser vers le bas, caressant les cuisses au passage. Selma, accroupie derrière Nicole, la bouche au niveau de ses fesses, hésita. Le désir plus fort que tout, elle baissa le dernier rempart. Lentement, Nicole se retourna face à elle, exposant sa chatte.
« Selma, tu veux la faire jouir maintenant ? Plus tard ? OK. Relève-toi. Nicole va finir de te dévêtir et c’est elle qui te fera jouir. »
Selma, les yeux dans les yeux avec Nicole, la laissa dégrafer son soutif puis baisser sa jolie culotte. Sans se poser de questions, ses lèvres se posèrent sur son petit bouton. Selma posa ses deux mains sur la tête de Nicole pour garder l’équilibre et écarta légèrement les jambes, offrant toute son intimité. Accrochée aux fesses de la jeune fille, Nicole s’en donnait à cœur joie. Je me mettais nue à mon tour et m’agenouillais près d’elle pour m’occuper de ses seins avides de caresses. Les bouts turgescents étaient durs et très rouges. Les mamelons étaient gonflés. Sa chatte coulait comme un ruisseau. Je me glissais allongée entre ses cuisses, la bouche collée à sa vulve en feu. Obligée de m’accrocher à ses fesses pendant les convulsions que lui procura son orgasme. Le premier. Selma n’en pouvait plus, et prit place sur le fauteuil avant de s’écrouler. Nicole continua son broutage, à quatre pattes désormais.
Je m’équipais de mon gode ceinture et la pénétrais direct. À fond. Quel délice de posséder une femme offerte comme elle, tous ses sens tournés vers le plaisir. Elle sentait bon la femelle en chaleur, brillante de sueur, gémissante de bonheur, sa peau si douce, et sucrée. Elle a joui deux fois encore avant que je ne vienne à mon tour. Selma, je n’ai pas compté combien de fois elle a joui. J’ôtais mon gode ceinture et me posais sur le canapé, Nicole, toujours à genoux, s’approcha et me nettoya. Je fermais les yeux pour apprécier ce moment. Un sursaut. J’ouvrais les yeux pour voir Selma allongée entre les cuisses de Nicole pour la nettoyer également. Nicole reprit sa place près de moi sur le canapé et on a bu de nouveau une tasse de thé. Nues. L’heure avançant, on se rhabilla. Nicole aida Selma et mutuellement, elles se vêtirent. Moi, seule. Lol.
Le contact était établi entre Nicole et sa future colocataire. Nicole ajouta que si elle devait revenir à Rennes pour l’inscription ou pour des tests de compétences, elle serait la bienvenue. Gratuitement. Direction la gare et, problème, grève surprise des cheminots suite à une agression sur un contrôleur. Selma appela sa mère pour lui dire qu’elle restait dormir chez moi et qu’on rentrerait demain. Elle lui parla également de sa visite chez Nicole. Que tout était parfait. Tram et bus pour regagner mon appart. Un tour rapide de l’appart et déjà, elle se sentait comme chez elle. Elle me posa alors une question étrange.
« Puis-je me mettre à l’aise ? »
« Bien sûr, ma puce, tu es ici chez toi. »
Elle se dirigea vers la chambre pour en ressortir, deux minutes plus tard, juste en sous-vêtements, et bas noirs. J’étais abasourdie de son audace, mais tellement heureuse. Pour rester dans l’ambiance, J’ôtais également ma robe pour le retrouver juste en string. C’est justement ce moment que choisit Julie, ma voisine, pour sonner à la porte.
« Entre, Julie. C’est ouvert. »
J’allais la saluer et je me retournais pour lui présenter mon amie.
« Julie. Je te présente Selma. Elle va venir poursuivre ses études à Rennes. Dans le même établissement qu’Enzo, je crois. »
« Selma. Je te présente Julie. Ma voisine et ma meilleure amie. »
Je tendais la main vers Selma pour qu’elle se rapproche et vienne faire la bise à Julie. Elle vint, tentant de cacher ses formes.
« Ne t’inquiètes pas, Selma. Julie est hétéro, et ne te fera aucun mal. »
« Aucun mal, non. Mais je sais apprécier les jolies choses. Et tu es vraiment magnifique, sel… Selma, c’est ça ? »
« Oui. C’est ça. Merci Julie. »
Et elles s’embrassèrent. Sur la joue. Selma retourna vers le sofa, les yeux de Julie rivés sur ses jolies fesses. Serait-elle prête à essayer les femmes ? Les jeunes filles pour le moins ? Assises côte à côte sur le sofa, elles discutaient comme des amies de longue date. Enzo serait bien dans le même lycée hôtelier. Mais avec un an d’avance. Julie resta à dîner avec nous, sa fille n’étant pas là. Ambiance conviviale et très gaie. Elle rentra chez elle vers 22 heures, il était temps d’aller au lit pour Selma qui n’avait pas l’habitude des journées à rallonge. Je passais sous la douche avant de me coucher. Selma vint me rejoindre, totalement nue. C’était vraiment une beauté pure. Elle entra sous la douche avec moi, m’aspergea de gel douche et commença à me frotter le dos, et partout ensuite. Quand je pouvais, j’en faisais autant avec elle. J’étais aux anges quand mes doigts englobèrent ses seins magnifiques. Ils faisaient déjà le double des miens, pour son jeune âge, ça promettait. On se sécha mutuellement avant d’aller au lit, nues comme au premier jour.
Dans le lit, elle prit son téléphone et appela sa mère pour la rassurer. Tout allait bien et elle venait de se coucher. Mais pendant ce temps, elle avait pris ma main pour se caresser la poitrine. Elle la descendit entre ses cuisses au moment où elle envoyait des bisous à ma maman. On a passé une nuit magique, entres tendres caresses et extases buccales. Retour en train le lendemain. Pas de places assises dans ce train comblé à ras bord. Selma me promit que nous aurions d’autres nuits. Les deux semaines qui suivirent furent encore consacrées aux stages. Rien de particulier ne se passa.