Immersion totale (02/11)

Je revenais sans cesse dans celui qui m’intéressait principalement. Mais impossible de revoir mon « beau brun ténébreux ». Je rentrais chez moi, un peu déçue. Le lendemain, j’arrivais tôt, comme à mon habitude mais, au lieu de monter les escaliers, je patientais un peu sur le parvis devant l’immeuble, espérant l’apercevoir. Il commençait à se faire tard et je devais entrer et prendre l’ascenseur de nouveau. Ma journée se passa tout comme la veille, à écouter les confidences de Vanessa, et à me promener dans les couloirs, sans plus de succès que la veille. Le lendemain, je recommençais à l’attendre devant l’immeuble, mais toujours pas la chance de le revoir. Je pris l’ascenseur et c’est un cadre au ventre rebondi qui se trouvait près de moi. Il me jeta un sourire, auquel je répondis gentiment, avant de me replonger dans l’attente de voir arriver mon « prince charmant ». Une main me frôla les fesses. Je n’étais pas du tout d’humeur à laisser passer. Je m’écartais de ce bonhomme. Mais j’étais un peu coincée, dans un coin de l’ascenseur. Il revint à la charge une seconde fois, sa main carrément plaquée sur ma fesse. Je l’écartais et je lui jetais un regard noir. Il comprit et n’insista pas plus que ça. Je n’allais tout de même pas faire un scandale pour une main aux fesses, mais je me dis plus tard que, s’il avait essayé sur moi, il le faisait sûrement sur d’autres qui, si elles étaient sous ses ordres, n’oseraient sans doute rien dire et se laisseraient faire. Le lendemain, dernier jour de la semaine et dernière chance de revoir mon « prince ». Je désespérais de le revoir et montait de nouveau dans l’ascenseur. Derrière moi, une femme, je n’avais donc aucune crainte d’être agressée à nouveau. La porte se refermait définitivement sur mes espoirs quand soudain, il apparut, un peu essoufflé d’avoir dû courir.

Je le fixais intensément, je ne l’avais pas vraiment vu la première fois mais je savais que c’était « Lui ». Son parfum enivrant emplissait déjà la cabine, et mes narines. Il me fixa lui aussi, me sourit. Il m’avait reconnue. Il me fit un petit signe, d’un air de dire qu’il était désolé de se retrouver si loin de moi. Pour moi, ce n’était pas grave, il était là, à deux pas de moi et c’était déjà merveilleux. Je restais bouche bée, à l’observer. Toute à mes émotions, je sentis soudain une main sur mes fesses. Ce ne pouvait être que la femme derrière moi. J’ai 15 ans, bientôt 16, et jamais une femme, ou une fille, ne m’avait caressée. Je n’y avais même jamais pensé auparavant. Comme avec mon « beau brun ténébreux », il y a quelques jours, je ne me sentais pas vraiment agressée. J’avais envie. Des mains de ce beau brun sur mes fesses. Cette femme me caressait divinement mais je regardais mon prince et j’imaginais que c’était ses mains à lui sur mes fesses. Vu que je la laissais faire, elle se permit de passer la main sous ma jupe. Surprise de cette initiative, je tournais mon visage vers elle. Elle ne me regardait pas fixement, les yeux ailleurs, mais elle souriait, heureuse sans doute de caresser le petit cul bien ferme d’une jeune fille sportive. Je fixais de nouveau mon beau prince. Il semblait avoir compris ce qui se passait derrière moi. Il en fut un peu désolé, ne pouvant rien faire. D’étage en étage, la cabine se vidait, nous n’étions plus que quatre personnes, arrivés au cinquième étage. C’est là que la femme nous abandonna, sans un regard sur moi. Il était désormais tout proche de moi et, lorsque la cabine s’arrêta brusquement à notre étage, je basculais en avant, tête la première contre son torse. Je bafouillais des excuses incompréhensibles en m’enfuyant, rougissante. Je courrais me réfugier dans le bureau où m’attendait Vanessa et les autres collègues. Presqu’une heure plus tard, elle me demanda de la suivre pour porter du courrier à l’étage inférieur.

Vanessa était une très jolie femme qui savait s’habiller pour mettre son corps en valeur. Décolleté affriolant, jupes courtes le plus souvent. Celle qu’elle portait ce jour-là était même presque transparente, on devinait facilement le string qu’elle portait dessous. Nous avons distribué les enveloppes dans divers bureaux. Elle me demanda de livrer les dernières dans le bureau 530, le temps qu’elle aille aux toilettes, un besoin pressant. Comme elle avait fait précédemment, je frappais à la porte du bureau et j’entrais presqu’aussitôt. Pour me retrouver en face de la femme qui m’avait si divinement caressée ce matin. Je rougis en la reconnaissant mais elle, sans se démonter, me pria d’approcher pour que je dépose le courrier sur son bureau. J’étais à moins d’un mètre d’elle et elle me demanda encore d’approcher. Dès que je fus à sa portée, elle glissa aussitôt sa main sur mes mollets, derrière mes genoux, remontant inexorablement vers mes fesses. J’étais incapable de réagir, tellement je voulais qu’elle recommence, qu’elle continue ce qu’elle avait si bien commencé dans l’ascenseur. Je posais les lettres devant elle, me penchant légèrement en avant, et sa main se retrouva tout naturellement sur mes fesses. Elle me pelotait délicieusement. Je m’étais redressée, naturellement, mais j’avais dû écarter mes pieds. Si bien que sa main, fureteuse, s’insinua facilement entre mes cuisses. J’attendais le retour de Vanessa, espérant qu’elle en aurait pour très longtemps. Bérénice, son nom était inscrit sur son bureau, me posa des questions sur mon âge, mon stage avec ses collègues de l’étage supérieur. Elle connaissait bien Vanessa, puisque c’était elle qui habituellement, lui apportait le courrier. Cela faisait plus de quinze minutes que j’étais seule avec Bérénice. Vanessa exagérait tout de même un peu. Je fus à la fois soulagée de la voir revenir, … et toujours embêtée. Bérénice n’avait toujours pas ôté sa main sous ma jupe. J’étais à deux doigts de jouir sous ses caresses subtiles. Je dus me tenir à son fauteuil au moment où un jet surpuissant s’expulsa de moi. Elle ressortit ses doigts trempés et les porta à sa bouche. Elle me dit alors.

« La prochaine fois, j’irais m’abreuver directement à la source. « 

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