Mon père, mon Maître (19/24)

Céliane se leva pour aller embrasser sa grand-mère en lui disant.

« Toi aussi, tu es trop belle, mamie.  »

J’ai bien vu qu’elle a osé promener sa petite main sur le sein offert aux caresses. Innocemment. Mais franchement tout de même. Mais ce qui intéressait les plus jeunes, c’était de retourner se baigner dans la piscine. Je me dirigeais avec eux vers la piscine quand le téléphone sonna à la maison. Maman répondit et dix minutes plus tard, Olivier, le camarade de Dylan, arriva chez nous. Il se mit immédiatement en maillot de bain après avoir salué tout le monde et vint nous rejoindre dans la piscine. Encore une fois, il avait les yeux fixés sur mes seins. Et quand je me levais, il pouvait voir que je portais un string, rendu presque transparent par l’eau. Ingrid vint nous rejoindre dans l’eau et son intérêt changea de personne. C’est vrai que la poitrine d’Ingrid était bien plus captivante que la mienne. Je dois préciser que maman avait depuis longtemps remonté son maillot de bain. Les hommes restèrent sur la terrasse, à l’ombre, préférant nous regarder batifoler dans l’eau. Jusqu’à ce que nous sortions ensemble. J’ai tendu le drap de bain vers Ingrid et elle m’a aussitôt séchée, comme maman l’avait fait avant le repas. Je me tournais face à elle et le séchage se transforma en pelotage à peine dissimulé. Puis, ce fut mon tour de l’essuyer et j’en profitais allègrement. Ingrid était face à son mari et à son beau-père et elle se laissait peloter très complaisamment. Je suis presque certaine qu’elle était prête à jouir lorsqu’elle s’est enfuie vers la cuisine. Je me suis installée entre les deux hommes et j’ai repris un peu de vin rosé. Les enfants restèrent à jouer dans la piscine sous la surveillance des adultes. Olivier regardait parfois vers moi mais il était aussi très attiré par Céliane, qui elle non plus ne semblait pas indifférente à ce jeune garçon.

Maman revint, uniquement avec son maillot de bain et demanda à ce qu’on l’aide pour entrer dans la piscine. Tel un ressort, Jérôme se leva et la porta tendrement dans ses bras pour la déposer délicatement dans l’eau. Il a fallu que sa femme le bouscule légèrement pour qu’il l’aide aussi de la même manière. Il revint s’asseoir sur la terrasse et resta les yeux bloqués sur ce qu’il voyait devant lui. Papa était lui aussi obnubilé par sa belle-fille et aucun des deux hommes ne me calculait. Je le sentais un peu isolée, comme invisible… Et j’ai bu plus de verres que je n’aurais dus. Une heure après, je me levais en titubant légèrement et j’allais rejoindre ma chambre. Quand je me suis réveillée, quelques heures plus tard, il faisait déjà nuit noire et le silence régnait dans la maison. Enfin, presque. Tout le monde semblait s’être couché mais de la chambre voisine montaient des gémissements caractéristiques. Jérôme et Ingrid faisaient l’amour, intensément, leurs soupirs étaient comme amplifiés dans mon cerveau embrouillé par les relents d’alcool. Je ne me sentais pas le droit de les retrouver, dans leur chambre. Je décidais donc de descendre à la cuisine pour boire un grand verre d’eau fraîche.

Je descendais telle que je m’étais couchée, juste avec mon string. Je sortis une bouteille d’eau du réfrigérateur, que je refermais aussitôt. La lumière était trop violente pour moi. C’est donc dans la pénombre que je buvais un verre, puis un deuxième. Je sentis soudain une présence derrière moi. Pas hostile. Je ne sursautais même pas lorsque deux mains se posèrent sur mes hanches. Deux mains d’homme. Deux mains fortes. Et pourtant délicates. Inutile de me retourner, je savais qui était en train de se coller à mes fesses. Son parfum, sa carrure, sa force tranquille. Son souffle dans mon cou. Papa avait-il senti ma présence ici ? Ou bien s’était-il levé pour venir boire, lui aussi. Il était nu, totalement. Je sentais parfaitement sa queue contre mes fesses, entre mes fesses. C’était chaud, et dur. Et long. Il se décolla juste un dixième de seconde pour glisser sa grosse queue entre mes cuisses, serrées. Il commença un lent mouvement de va-et-vient, entre mes cuisses. Sa main droite glissa par devant, écartant mon string, et il commença à me doigter magnifiquement. Il baissa violemment mon dernier vêtement qui glissa sur mes chevilles. Nous étions entièrement nus, absolument seuls au monde dans cette cuisine plongée dans une pénombre impénétrable. Il me força, doucement, à me pencher vers l’avant. J’avais désormais les avant-bras posés sur la table de la cuisine et papa, derrière moi, posa son gland à l’entrée de ma grotte bien préparée.

Il me pénétra alors très doucement, vraiment très lentement, prenant tout son temps. Du temps, nous en avions beaucoup avant le lever du soleil. C’était une évidence, vu la nuit noire, dehors. Il procédait par de petits à-coups, tendrement mais de façon continue. Quand il fut entièrement en moi, il fit une petite pause, bien méritée. Il m’a ensuite retournée, face à lui, m’a demandé de m’asseoir sur la table de la cuisine, puis il m’a allongée dessus. Les pieds dans le vide, les jambes écartées, j’étais entièrement à sa merci et je n’aurais pas voulu être ailleurs à ce moment-là. Je voyais le désir dans ses yeux, malgré l’obscurité. Je sentais son excitation qui montait, progressivement. Tout comme sa queue qui se redressait, pointant fièrement vers ma grotte humide et avide de sexe. Il allait me reprendre, encore une fois. Mais il prenait tout son temps, attendant je ne sais quel signe. Et c’est lorsque je m’y attendais le moins qu’il me pénétra d’une seule poussée. Force et violence. J’étais préparée, mais la surprise fut telle que je jouissais immédiatement, arrosant sa queue qui allait et venait en moi. Il ne s’arrêta pas pour autant, me pénétrant le plus loin possible. J’étais à lui, j’étais sa chose. J’étais sa salope, juste pour lui. Son réceptacle. La mouille abondante favorisait ses coups puissants et réguliers. À un moment, je vis un éclair dans ses yeux, je savais que l’éjaculation approchait.

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