Juste après notre première expérience, c’est encore moi qui prit l’initiative de descendre son maillot une pièce, et de lui ôter. Je lui demandais de m’enlever le mien. Enfin nues toutes les deux, pour la première fois, j’embrassais son front, ses joues, ses lèvres. Elle les ouvrit pour jouer avec ma langue. Je continuais la découverte avec son cou, la naissance de ses seins, ses tétons, où je m’attardais un peu. Mes mains restèrent à les caresser tandis que ma bouche poursuivait vers son ventre, son nombril, son pubis enfin. Je m’accroupis devant elle et, accrochée à ses fesses, je lui bouffais la chatte avec délices. Je l’emmenais rapidement au paradis. D’autres fois, je la forçais à me rendre la pareille, ce qu’elle faisait bien volontiers. Ensuite, on devait se presser pour s’habiller et rejoindre les autres. Seule ombre au tableau, les jours où on était indisposées, l’une ou l’autre. On se contentait alors de baisers et de caresses au-dessus de la ceinture. Je voyais bien, parfois, avec quel regard elle matait mon frère, et j’avais cru lui faire un beau cadeau en l’offrant à Roger. Je lui avais demandé si elle lui convenait. Il m’avait répondu que oui, évidemment. D’ailleurs, un jour que j’en parlais innocemment à Amélie, elle me confirma qu’il était un des seuls garçons de l’école qui la regardait normalement. Pas avec dédain comme presque tous les autres. J’avais passé un accord avec lui qu’il n’essaierait plus de me baiser si je lui offrais mon amie.
On prépara un plan que l’on mit en œuvre. Le mercredi après-midi, il allait à son football régulièrement. Quand Amélie arrivait chez moi, elle le cherchait du regard, à la fois soulagée et déçue qu’il soit absent. Ce jour-là, je l’entrainais dans ma chambre et fermais la porte à clé pour être tranquille. Seulement, je la rouvrais sans bruit. Je poussais Amélie vers mon lit et entreprit de la déshabiller entièrement. Les yeux dans les yeux, je lui demandais de baisser ma culotte, sans me quitter du regard. Puis, je commençais à la caresser, son visage, sa poitrine, son petit joyau que je savais vierge. Mais aucun garçon ne l’approchait pour sortir avec elle et la faire devenir femme. Et elle était trop timide pour se proposer. Je pensais vraiment lui rendre un grand service ce mercredi-là. Je lui écartais ses cuisses au maximum pour la brouter, puis je remontais sur ses seins que j’adorais malaxer. Je l’embrassais à pleine bouche tout en frottant mon clito contre le sien. Finalement, je me posais sur son visage, face à la porte de ma chambre. Et la laissais me lécher. Vu que j’avais toujours ma jupe, elle ne vit pas la porte s’ouvrir et Roger entrer. Il referma doucement derrière lui. Il voyait directement les cuisses écartées d’Amélie, et sa fente luisante de mouille.
Je plongeais entre ses cuisses pour offrir à mon petit frère pour la première un 69 entre filles. Il s’approcha tout près pour bien l’observer, et voir les réactions d’Amélie. Je l’emmenais jusqu’à l’extase finale. Elle leva les jambes très hautes, par réflexe, les laissa un moment avant de les ramener. Comme je n’avais pas joui encore, je la laissais continuer ses caresses. Pendant que je caressais ses seins. J’inondais enfin son visage et me dégageais. Elle aperçut enfin Roger qui la mangeait du regard. Elle comprit enfin le piège dans lequel elle était tombée. Elle commença à dire « Non, Non, Non » mais je ne l’écoutais pas. Du regard, elle implora Roger de renoncer à son projet mais elle lut dans ses yeux que rien ne le ferait changer d’avis. Puis, il commença à se déshabiller, entièrement. Elle comprit de suite ce qu’il voulait. Après deux orgasmes consécutifs, elle n’avait plus la force de se rebeller. Seule sa tête disait non, non, non. Elle l’implora encore du regard mais elle ne vit que sa détermination. Il s’approcha pour lui dire :
» Ne t’inquiète pas. Je vais être très doux ». Dit Roger.
En partant de son visage, Roger entreprend la découverte de son corps avec ses lèvres. Après son cou, il fait étape sur sa poitrine. Ses mamelons gonflés deviennent un instant son centre d’intérêt. Sa langue titille ses tétons, les suce avec gourmandise. Il palpe ces globes fermes et appétissants, vole de l’un à l’autre. Avec gourmandise, il tète ces seins juvéniles. Amélie laisse échapper de petits gémissements. Sa seconde main entre en action. Il lui caresse la hanche, descend sur la cuisse, jusqu’au genou. Puis remonte pour venir saisir une de ses fesses. Quel que soit l’endroit où il pose sa main ou sa bouche, il ne trouve que douceur et chaleur. Doucement, il ramène sa main baladeuse sur le ventre d’Amélie. Il fait glisser sa main en direction de son pubis. Puis vers son entrejambe. Dans un geste réflexe, elle referme ses jambes. Mais très peu de temps. Elle n’a pas la force de résister plus longtemps. Pas envie non plus de résister. De nouveau, elle s’ouvre à ses caresses. Il délaisse ses seins pour replacer ses lèvres sur les siennes.
– Je t’aime, ma belle, lui dit-il.
À l’instant où il prononce ces mots, sa main vient se poser sur son sexe. Celui-ci ruisselle de cyprine. Son index trouve son clitoris. Amélie gémit à ce contact. Tout doucement, il fait glisser son doigt sur son bouton. Puis, progressivement, il imprime un mouvement plus rapide. Le visage d’Amélie trahit son plaisir. Il devine rapidement quel rythme lui procure le plus de plaisir. Parfois, il fait descendre un doigt dans sa fente. Les premières fois, seuls quelques millimètres de son doigt entrent dans son vagin. Puis la première phalange. Enfin, il introduit le doigt jusqu’à l’hymen. Amélie semble apprécier car ses petits gémissements se poursuivent. Après être retourné sucer sa magnifique poitrine, il vient placer son visage entre les jambes de son amante. Il dépose des baisers sur l’intérieur de ses cuisses, là où la peau est la plus fine. Descendant, à chaque bisou, plus près de son intimité. Le premier contact de sa bouche sur son sexe humide est un véritable bonheur. Sa langue passe sur ses lèvres intimes, recueille le liquide parfumé qui s’écoule de sa fente virginale.