J’attrapais ses deux seins pour me maintenir en position et c’est elle-même qui commença à s’empaler sur les deux membres qui l’envahissaient. Elle montait et descendait en rythme. Elle accéléra pour finir sur une cavalcade. On aurait dit un cheval au galop. Elle hurla sa jouissance quand elle sentit le sperme qui inondait ses parois vaginales. Je me retirais de son cul et la laissais récupérer, assise sur son homme. Toujours empalée. Toujours accrochée à son mari, il se leva pour la porter dans leur chambre. Elle attrapa ma main pour que je les suive. La nuit fut longue et très active. Roland et moi ne nous occupions que de donner du plaisir à Katia. De la faire jouir encore et encore. À un moment, Roland la prenait en missionnaire. Son petit nul frétillait devant moi. Je m’accrochais à ses hanches pour présenter le gode sur son anus. Il s’arrêta tout net, mais me laissa continuer la caresse. Le gland se promenait dans la raie culière, frôlant son petit trou. À chaque fois, il frémissait, attendant de voir si j’allais oser l’enculer.
Au moment où je me préparais à prendre son pucelage, il fit volte-face, me présentant à nouveau le joli cul de Katia. Il écarta lui-même les deux globes charnus pour me laisser envahir à nouveau ce cul si accueillant. Quel plaisir de l’entendre hurler de bonheur à nouveau. Elle finit par s’endormir, exténuée de bonheur. Roland, entre nous deux, me remercia encore une fois. Depuis qu’il était venu renégocier les contrats chez nous, sa vie avait changé en tout point. Son grand patron, réellement satisfait de ses résultats, lui avait confié la responsabilité de tous les commerciaux, pour les superviser. Avec une belle augmentation de salaire. Et ce soir, sa femme qui le comblait enfin sexuellement. Il hésita à me poser une question qui, semble-t-il, lui tenait à cœur. Il s’endormit, heureux comme un jeune marié à sa nuit de noces. Comme à mon habitude, je me réveillais très tôt le lendemain matin. Roland dormait encore profondément. Je me relevais sur un coude pour regarder Katia. Elle avait les yeux ouverts et elle me souriait. Elle me fit signe de la suivre. Je me levais, l’aidais à sortir du lit. Nues toutes les deux, nous sommes allées prendre notre douche. Ensemble, évidemment.
Cortège de caresses et de baisers, c’est toujours nues que nous sommes allées déjeuner. Katia était véritablement transformée, plus rien à voir avec la jeune femme passive et réservée qui m’avait accueillie la veille. Elle était souriante, comblée. Heureuse, tout simplement. Elle me parla de sa fille qui était en week-end chez sa marraine, la sœur de Roland. Ces deux -là étaient vraiment très complices. Elles se disaient tout et Katia en était un peu déçue, elle aurait tellement voulu avoir cette même complicité avec sa fille. Je tentais de lui expliquer que c’était sans doute un moment à passer, la puberté ne dure jamais très longtemps. Roland ne se leva pas avant dix heures. Lavé et déjà habillé, il me prit à part dans son bureau. Je savais depuis hier soir qu’il souhaitait me demander autre chose. Il avait du mal à trouver ses mots. Je le rassurais.
« J’ai bien compris que tu as autre chose à demander. Alors, je t’écoute. »
« Bon, d’accord. En discutant entre commerciaux, l’un d’eux nous a expliqué qu’il se rendait parfois dans un club libertin, ici à Lyon. J’ai très envie d’y aller moi aussi, avec Katia et toi, bien évidemment. Tu seras la Maîtresse et nous tes esclaves. Si tu veux bien … »
« Je ne suis pas contre l’idée que tu proposes. Mais il faudrait des équipements, des accessoires. Tu vois ce que je veux dire. »
« Oui, bien sûr, j’y ai pensé. J’ai noté une bonne adresse que m’a donnée mon collègue. Dans le premier arrondissement. On peut y aller après avoir mangé. Je suis certain de trouver tout ce que nous avons besoin. Et, depuis mon augmentation de salaire, le prix que ça coûtera n’a aucune importance. »
« Puisque tu as tout prévu, on va le faire. Katia n’est pas au courant, bien évidemment ? »
Un coup d’œil complice pour seule réponse. On rejoignit Katia dans le salon, elle nous attendait patiemment, sachant pertinemment que l’on complotait dans son dos, mais elle avait entièrement confiance en son mari, et en moi. Elle savait bien que jamais nous ne pourrions lui faire du mal, même involontairement. Elle était complètement soumise et elle était prête à tout accepter, puisqu’elle avait confiance en nous. Je l’entrainais dans sa chambre pour lui choisir moi-même les vêtements qu’elle porterait. Je lui choisis une longue robe noire, mais sans rien dessous. Contrairement à moi, elle n’avait pas l’habitude de se promener en ville sans sous-vêtements, c’est pourquoi j’avais choisi une robe longue. Elle ignorait où nous allions la conduire, ni pour quelle raison. Dans un flou total, elle se laissait guider. Se laissait porter par les événements. On prit une légère collation, Roland était vraiment pressé de nous emmener dans ce monde qu’il ne connaissait pas encore.
Je montais à l’arrière dans le S.U.V. de Roland, Katia et moi papotions tout le long du chemin. Une fois garés, Roland nous guida jusqu’à l’adresse, rue de Constantine, je crois. Une façade qui ne laissait rien supposer de ce qui se cachait derrière. Katia entra en premier, je la suivais et Roland aussi. Elle marqua un temps d’arrêt en comprenant qu’elle venait d’entrer dans un sex-shop pour la première fois de sa vie. Elle se serra contre moi, pour se rassurer, et agrippa ma main, qu’elle ne lâcha que très rarement. On fit tout d’abord le tour du magasin, histoire de voir tout ce qu’ils proposaient. Roland avait pris un grand panier, à l’entrée, pour y déposer ses achats. Un rayon bandes dessinées et vidéos, peu intéressant pour moi, quoique Roland s’arrêta devant plusieurs films. Libre à lui de revenir plus tard pour les choisir. Très peu de clients à cette heure-là, ce qui nous arrangeait tous. Arrivés au rayon sex-toys, Roland choisir d’emblée un lot de trois plugs, de différentes tailles. J’attrapais un gode vibrant et je le montrais à Katia.