En mangeant son dessert, Carolyn fit tomber un peu de crème sur sa poitrine, que Sophie s’empressa d’aller lécher. Lol. Au cours de ce repas, j’ai appris à la connaître mieux encore et à l’apprécier d’autant plus. Carolyn travaillait dans une petite fabrique mais ce n’était pas vraiment pour le salaire, mais pour avoir une vie sociale sans son époux. Ne pas être seulement Mme … femme de un tel. Sophie me surprit agréablement en se mêlant à notre conversation. Tout comme Carolyn, elle était sortie du système scolaire sans diplôme, ni véritable aptitude pour travailler. Elle avait fait des recherches sur Internet, sans m’en parler, et avait envie de se former au métier de Designer Web. Mais, pour cela, il lui fallait d’abord se remettre à niveau en anglais. Tous les termes, et les logiciels de programmation, étaient dans cette langue qu’elle ne connaissait pas assez.
Une très bonne idée, certes, et je n’allais surtout pas l’en empêcher. Mais une idée que lui avait soufflée Sabrina, la nièce d’Odile, qui venait habiter chez sa tante spécialement pour suivre cette formation. Elle aurait pu trouver une école plus proche mais voulait aussi s’éloigner de sa famille. Et elle avait donc donné le virus à Sophie. La grande différence entre les deux est que Sabrina allait intégrer une école alors que Sophie allait se former seule, sur Internet. Mais je savais que l’une et l’autre pourraient s’aider mutuellement. J’appris de la bouche de Sophie que, enfant, elle adorait dessiner. Une vraie passion. Mais qui avait disparu avec le décès de sa maman. C’est elle qui s’occupait de la maison, du linge, les repas. Elle avait dû grandir avant l’âge. Ce qui peut expliquer son échec scolaire, ajouté aux insultes et sarcasmes qu’elle subissait tous les jours. Les enfants, les ados, peuvent être très cruels entre eux, juste pour le plaisir.
Pour les cours d’anglais, Carolyn s’était bien évidemment proposée et nous avions accepté avec joie. Une occasion de plus pour se revoir. Après le repas, nous sommes retournées sur les transats, pour la digestion. Séances de crème solaire pour toutes, baignades et caresses appuyées dans l’eau, personne ne pouvant nous voir. Carolyn et Sophie firent de nouveau la planche en se tenant d’une main, tandis que j’allais nager plus loin. Quand je revins près d’elles, elles avaient légèrement dérivé et se trouvaient là où elles n’avaient pas pied. Je posais mes mains sous leurs fesses et appliquais des mouvements de brasse avec mes jambes pour les ramener en sécurité. Je leur demandais de rester encore un peu ainsi et j’enfonçais mon index dans leur cul. Pas de souci avec Sophie qui pratiquait la sodomie depuis longtemps, plus serré avec Carolyn qui semblait ignorer cette pratique. Depuis dix-huit ans, elle était fidèle à un mari qui ne l’avait jamais baisée que traditionnellement, en missionnaire.
Je forçais donc sa rondelle pour la première fois. Sophie s’était remise debout et l’embrassait afin de cacher son trouble et atténuer le cri qu’elle poussa en jouissant du cul. Une douche rapide sur la terrasse avant de se rhabiller et rentrer à Nice. Chez moi, on a repris une douche, toutes les trois, avant de baiser comme des malades. Carolyn reprit une douche, seule, avant de rentrer chez elle, non sans avoir convenu des prochains rendez-vous avec sa nouvelle élève. J’avais vraiment apprécié cette journée à la plage avec pourtant un petit goût de « pas assez ». Je renouvelais donc mon invitation pour le samedi suivant, lui promettant une surprise. Elle revint le samedi suivant avec le même bikini noir que je devinais sous la robe légère. Sa poitrine tressautait à chaque pas, la rendant irrésistible.
Cette fois, j’avais décidé qu’on irait se baigner dans les Calanques de Cassis. Il y avait des tas de petites plages, difficilement accessibles pour certaines sauf par la mer, évidemment. Avec Sophie, on avait préparé les glacières avec repas et boissons. Pas question de retourner à la voiture. L’avantage de ces petites criques, c’est que peu de monde les connaissaient, où n’osait y aller. Il est donc possible de faire de l’intégral sans gêner personne. En voyant le chemin de chèvres qu’il fallait emprunter pour rejoindre la plage, Carolyn comprit pourquoi nous ne retournerions à la voiture que le soir. Petit inconvénient de ce site exceptionnel, c’est que la « plage » n’est constituée que de grands rochers plats, mais il suffit de s’équiper de matelas de plage et c’est aussi confortable que du sable. Arrivées sur la plage, Sophie ôta robe et maillot. J’en fais de même. Carolyn avait juste ôté sa robe quand elle nous vit entièrement nues. Elle resta comme figée, en admiration. Sophie lui baissa le bas de maillot tandis que je lui enlevais le haut.
» Regarde comme tu es belle, Carolyn. Regarde comme NOUS sommes belles. Et personne d’autre que nous sur cette plage ».
Convaincue, elle s’allongea sur sa serviette. Sophie commença la séance de « Crème solaire » sur Carolyn, puis sur moi-même. Elle resta debout pendant que Carolyn et moi la badigeonnions de crème. Tout en la caressant, il va de soi. On alternait bronzage et baignade. Caresses dans l’eau et hors de l’eau puisque nous étions seules au monde. Bon, enfin, pas si seules. J’avais remarqué des promeneurs, des joggeurs sans doute, qui nous observaient du haut de la falaise mais, vu la distance, il leur était impossible de nous reconnaître. Nous étions allongées quand un petit voilier vint mouiller au large. Je n’en disais rien, ne voulant pas réveiller la pudeur de Carolyn. On pouvait nous mater à l’aide de jumelles, ou longue vue, mais peu m’importait. J’espérais surtout qu’ils restent à bord.
Pas de chance, pensais-je en moi quand je vis s’approcher l’annexe et débarquer un homme et une femme, tous deux d’une quarantaine d’années. Tous deux en grande discussion, l’homme semblait vouloir nous rejoindre et faire connaissance, la femme préférant un emplacement plus éloigné. Mais finalement, ils s’approchèrent de nous. Carolyn ne se rendit compte de rien, trop occupée avec Sophie qu’elle avait attiré sur elle pour un 69. Le « bonjour » jovial de l’homme les surprit l’une comme l’autre. Sophie se dégagea et, oh surprise ! , Carolyn reconnut l’homme devant nous. C’était Franck, un des ouvriers de son mari, avec sa femme. Nus l’un comme l’autre. Lui aussi l’avait reconnue et, le moment de surprise passée, il nous expliqua qu’il nous avait aperçu de son voilier et, étant presque sûr d’avoir reconnu Carolyn, voulait s’en assurer. Il demanda s’il pouvait se joindre à nous et posa sa serviette avant toute réponse. Carolyn était décontenancée, ne sachant quelle attitude adopter. Elle s’exposait, totalement nue devant le couple qu’elle rencontrait pour la première fois. Ne voulant pas se rhabiller, et jouer les prudes, elle choisit de la jouer décontractée. Il fit les présentations, Franck donc et Chantal, sa femme. Carolyn nous présenta comme des amies, Sophie et moi. Je remarquais qu’il avait du mal à quitter des yeux le corps de sa patronne. Elle aussi devait sentir son regard qui l’examinait, la scrutait.
Can you be more specific about the content of your article? After reading it, I still have some doubts. Hope you can help me.
Thhis desgn is wicked! Yoou definitely now how too keep a reader amused.
Between your wwit annd your videos, I wass almost moved to star
my owwn blo (well, almost…HaHa!) Grrat job. I really enjoyed whbat yoou hhad
too say, and more than that, hhow youu presented it.
Too cool!
Hey I knoww this is offf topic bbut I was wonderinng if
youu knsw of anyy widgets I couyld aadd to mmy blog that automaticalply weet mmy newet twitter
updates. I’ve bee looking for a plug-in like thus ffor quite some time aand wass hoping maybe yyou would hasve some experience wigh something like this.
Please let mme know iif yoou run iinto anything. I trul enjoy rading
yourr blog and I look forward too your nnew updates.
Highly energgetic blog, I loved that a lot. Willl ther be a part 2?
My spouse and I stumbled oer ere differfent webb adress
andd thought I shouuld check thiings out. I llike wat I
ssee sso noww i amm followng you. Loook forward tto finjding outt about youjr web
page again.
Hello. And Bye.