BIANCA (03/04)

Elle me fit parvenir, par mail, une photo de son amie Florette. La semaine se passa tranquillement et me confirma que j’avais bien jugé Fanny. Elle avait des compétences indéniables pour me seconder, et même me remplacer si je devais m’absenter. Sans parler de sa condition de soumise dont je profitais chaque jour.

Comme convenu, Fanny arriva chez moi vers 18 heures 30 ce samedi soir. Elle portait une jupe courte, légère, et un top fuchsia. Je l’embrassais et relevais sa jupe. Dans le miroir, je vis qu’elle portait une jolie culotte vert pomme.

« Enlève ta culotte ».

 » Désolée, Madame, je ne peux pas, je suis … Indisposée « .

 » OK pour ce soir. Mais ta jolie culotte, je veux que tout le monde la voie ».

Je la serrais encore plus fort dans mes bras pour sentir son cœur battre dans sa poitrine, tout contre la mienne. Nous avons rejoint ma voiture et je lui ai ouvert la porte côté passager avant de l’inviter à s’asseoir.

« Relève ta jupe au-dessus de tes fesses avant de t’asseoir. Toute la soirée ainsi, tu montreras ton cul avant de t’asseoir ».

 » Oui, Madame « .

En roulant vers le restaurant, je lui expliquais mon plan pour soumettre Florette, l’amie d’Annabelle. Elle m’écouta et approuva.

C’est Annabelle qui nous accueillit et elle nous emmena directement à la table du fond, celle qui faisait l’angle. Florette nous y attendait déjà. Elle se leva pour faire la bise à Fanny, puis à moi qui me serrais contre elle. Mes lèvres frôlèrent les siennes et aussitôt, je la sentis troublée. Comme convenu, Fanny releva sa jupe au-dessus de ses fesses, présentant sa jolie culotte à Annabelle, puis à Florette quand elle se tourna pour s’asseoir.

Je prenais place de l’autre côté de la jeune femme qui se trouva coincée entre nous deux. Coincée et bien serrée. Nous étions littéralement collées à elle. Je pouvais sentir la chaleur de sa cuisse contre la mienne, même au travers des vêtements. Sans doute un peu gênée, elle combla son trouble en parlant sans cesse. Un vrai moulin à paroles. Elle nous parla d’elle, de son travail peu passionnant, de ses études au cours desquelles elle avait rencontré Annabelle.

Elles étaient amies depuis très longtemps, malgré les horaires de la serveuse. Mais Florette s’était habituée et attendait la fin de son service pour sortir en boîte avec elle. Elles avaient beaucoup de succès sur la piste, et en dehors de la piste. Elles trouvaient toujours un homme serviable pour leur offrir à boire. Le plus souvent, cela finissait chez lui, pour l’une ou l’autre. Une fois, elles étaient sorties chacune au bras d’un mec et avaient fini chez l’un d’eux dans une partie à quatre.

De temps en temps je lui posais des questions afin de l’amener à me faire plus de confidences. Fanny, collée à elle, posa sa main sur sa cuisse, juste à la limite de sa robe, et Florette sembla l’ignorer. L’alcool aidant, elle en était à son second verre, elle se lâchait de plus en plus. Quand elle posa sa main sur la mienne, je posais ma main droite sur la sienne, l’emprisonnant ainsi.

Petit à petit, je voyais la main de Fanny qui remontait sur la cuisse, et Florette qui la laissait faire. Elle utilisait sa main libre pour parler. Comme beaucoup de méditerranéennes, parler sans les mains était impossible. Je guidais doucement ses confidences vers son jardin le plus secret. Baissant la voix, elle finit par avouer que, lors de cette soirée à quatre, Annabelle s’était mise à lui lécher la chatte tandis que elle, elle s’occupait des deux queues en même temps.

Sans en avoir jamais reparlé ensuite, elle avait vraiment adoré. Et regrettait presque qu’elle n’ait jamais recommencé. Jamais eu surtout l’occasion de recommencer. Florette me confiait cela tandis que la main de Fanny semblait avoir atteint son but.

« Florette, magnifique Florette. Regarde-moi. Voilà. Écarte tes cuisses et dis-moi ce qu’elle te fait. Décris-moi tout ».

 » Ses doigts se promènent sur ma culotte. Ils passent sous le tissu. Elle … »

Je pris sa bouche à ce moment et nos lèvres se soudèrent dans un tendre baiser tout en faisant signe à Fanny de s’agenouiller entre ses cuisses. Je lâchais ses lèvres pour lui murmurer à l’oreille.

« Et tu veux qu’elle continue avec sa bouche ? »

« Alors, soulèves tes fesses qu’elle puisse ôter ta culotte. Tout en me regardant. Voilà. Relève ta robe aussi et rassieds toi directement tes fesses sur la banquette. Laisse-la faire ensuite. Regarde-moi et laisse toi guider par le plaisir ».

 

Fanny m’avait donné la culotte de Florette, odorante à souhait. Mes mains prirent enfin possession de sa poitrine qui m’attirait depuis que j’étais assise près d’elle. Une magnifique poitrine de rousse, laiteuse et couverte de taches de rousseur du plus bel effet. Ses grands yeux bleus ne lâchaient pas les miens. Elle semblait hypnotisée, incapable de réagir.

Annabelle passa prendre notre commande et nous trouva ainsi, moi les yeux dans les yeux avec son amie que je pelotais allègrement, et Fanny, à genoux entre ses cuisses qui la faisait vibrer. Je lui tendis la culotte de son amie qu’elle s’empressa de respirer, afin d’y retrouver les effluves de la femelle en chaleur.

Fanny était très douée avec sa langue, je vous l’avais déjà dit, et je vis dans les yeux de Florette le moment où plus rien ne pouvait arrêter son plaisir. Je repris ses lèvres avec délice pour cacher le cri de sa jouissance qui montait de plus en plus. Quand elle posa sa main sur ma poitrine surexcitée, cela me fit l’effet d’un éclair et déclencha mon plaisir en même temps que le sien.

Quand Fanny se releva, la bouche dégoulinante de mouille, c’est Annabelle qui se jeta dessus pour goûter à son amie. Y goûter à nouveau, je dirais. Elle retourna servir les clients qui ne se doutaient de rien, heureusement. Juste un sourire de femme comblée trahissait sa joie.

Jusqu’à la fin du repas, nous avons continué à la caresser afin de maintenir son niveau d’excitation. Puis, Annabelle vint nous rejoindre à la fin de son service. Elle nous offrit le digestif, cognac aux amandes pour toutes. Sauf moi qui devait conduire. Je lui avais laissé ma place auprès de son amie et elle l’embrassa avec passion, tout en lui caressant les seins que Fanny avait dégagés de la robe.

Annabelle se pencha un peu pour en téter un, écartant de ce fait ses jambes. J’en profitais pour glisser ma main entre ses cuisses jusqu’à son string trempé. Je levais sa jambe gauche pour accéder à sa grotte et y entrer deux doigts. Je la baisais ainsi jusqu’à ce qu’elle jouisse enfin, son cri étouffé entre les seins de son amie. Fanny repassa sous la table afin de la lécher partout. Florette reçut le même traitement, la langue de Fanny était très efficace.

On resta dans ce restaurant encore une heure au moins à picoler, enfin, les filles, avant de partir vers la boite de nuit. Fanny assise devant, près de moi, et Annabelle et Florette derrière. Je les entendais se bécoter tout le temps que dura le trajet. Installées sur une banquette en forme de demi-cercle, Annabelle se proposa d’aller chercher les consos gratuites, comprises dans le prix de l’entrée.

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