Céline soumise (09/18)

Ses amants, dont le dernier en date, ne pensaient qu’à la baiser et cela lui convenait parfaitement. Enfin, jusqu’à hier soir où elle a découvert d’autres sensations. La petite ne pouvait ignorer désormais à quel point elle était excitée. Elle ne pouvait manquer de voir la cyprine coulant doucement hors de son vagin. Elle put sentir une petite main se glisser entre ses cuisses. Sa jeune Maîtresse avait-elle récolté un peu de cette cyprine qui coulait à flots ? Avait-elle ensuite porté ses doigts à sa bouche pour goûter cette intimité étrangère ?

Toutes ces questions, sans réponse, ne faisaient qu’attiser l’excitation extrême dans laquelle elle se trouvait déjà. Comme hier, elle aurait pu fuir, encore une fois, mais elle savait que ses jambes ne la porteraient pas au-delà de cette chambre. Elle était prisonnière, déjà de son propre désir. Elle avait déjà joui entre les bras d’un homme, du moins, le croyait-elle. Mais elle sentait que, cette fois-ci, le plaisir serait multiplié par 100, voire même par 1 000. Elle sentait de nouveau ce souffle chaud entre ses cuisses, qui faisait trembloter les quelques poils intimes qu’elle savait avoir.

Linda est portugaise, je me répète, tout comme Océane. Mais c’est aussi une femme Nature. Elle garde son corps tel que la Nature l’a créé. Cela ne lui a jamais posé de problème dans son pays, mais, à son arrivée en France, les quelques hommes, français, qu’elle a pu connaître intimement, lui ont fait remarquer cette pilosité un peu au-dessus de la norme. Française, la norme donc. C’est pourquoi elle s’est contentée de trouver des amants d’origine portugaise. Océane, également, a vécu un traumatisme dû à ses origines. Dans son ancien lycée parisien. Elle a toujours été une bonne élève mais là, elle n’était plus la meilleure.

Elle était acceptée, mais beaucoup la voyaient comme une arriviste, une parvenue. Lors d’un travail de groupe, son professeur l’a mise en duo avec un jeune garçon, Kevin. Ils ont donc commencé à travailler ensemble, en cours, puis en dehors des cours. Une fois chez lui, une fois chez elle. Elle habitait alors un bel appartement dans un immeuble haussmannien. Le garçon a tout de suite été subjugué par la beauté du lieu, avant de tomber, presque, amoureux de la jolie Océane.

C’est justement cette complicité, ce début de relation amoureuse qui a déplu à la reine du Lycée. Elle se croyait des droits sur ses « sujets », et elle ne pouvait supporter cette promiscuité avec cette petite arriviste. Elle ne l’a pas montré immédiatement mais elle a laissé entendre qu’elle était contre. D’autres « sujets de Sa Majesté » ont continué dans son sens et ont commencé des attaques contre la jeune fille, personnellement. Des jeux de mots bâtards, jusqu’au surnom qui lui avait été attribué, Océane a vécu un enfer pendant quelques semaines avant Pâques.

Au retour des vacances, elle a refusé de réintégrer son lycée, expliquant alors seulement à sa mère, ce qu’elle avait subi. Professeur particulier et cours en distanciel pour finir l’année scolaire, avant le déménagement familial dans cette nouvelle ville. Elle se sentait de nouveau en sécurité, loin de la folie parisienne. Cela avait été plus compliqué pour Linda qui a perdu le contact particulier avec d’autres portugaises, vivant à Paris même. Celles qu’elle croyait être ses amies avaient totalement disparues, depuis qu’elle n’habitait plus la capitale. Ou bien était-ce ce bel appartement chic qu’elles regrettaient ? Seul son amant, Diego, l’avait suivie jusqu’ici et venait lui rendre visite très régulièrement.

Perdue dans ses pensées, c’est tout juste si elle avait remarqué que la jeune fille s’était éloignée d’elle. Elle ne sentait plus son souffle chaud entre ses cuisses, entre ses fesses. Le silence pesant fut rompu de nouveau par un ordre de sa Maîtresse.

« Sans te redresser, tu vas doucement te tourner vers moi ».

Exécution immédiate. Elle trouva sa nièce allongée sur son lit. Sa position, jambes légèrement écartées, laissant clairement deviner ce qu’elle attendait d’elle maintenant. Linda hésitait encore, vieux réflexe pudibond. Mais elle plongea entre les cuisses ouvertes avant qu’un nouvel ordre ne tombe. Elle n’avait pas le choix et, même si elle y était un peu forcée, elle avait très envie de goûter aux délices défendus. Elle avait commis une faute très grave, celle de promettre le corps de sa jeune nièce à son amant.

Elle n’imaginait pas que la petite aurait pu cacher une caméra pour filmer ses aveux. Maintenant, elle était piégée. Obligée d’obéir à cette jeune perverse. Elle n’avait jamais eu, Dieu lui en est témoin, de pensées malsaines avec une autre femme, ou jeune fille. Mais là, puisqu’elle était obligée, forcée presque, ce n’était plus un péché. Plus vraiment. Ce qui la surprit le plus, c’est l’odeur de la jeune fille, au réveil. Elle avait de toute façon fermé les yeux pour ne pas voir ce qu’elle faisait, ultime protection pour se dédouaner de ce qu’elle allait faire. Sa bouche était maintenant toute proche de la culotte.

Elle tenta un petit coup de langue sur le tissu, puis un autre. De sa langue, elle écarta la fine bande de tissu qui la séparait encore de l’intimité tant désirée. La pointe de sa langue goûta enfin au fruit défendu. Impossible de revenir en arrière, elle avait aimé, elle en voulait plus. Elle embrassa à pleine bouche, cette fois-ci, le sexe juvénile de sa jeune nièce. Océane avait déjà goûté aux plaisirs de la bouche inexpérimentée de Céline. Là, c’était sa tante, une femme, adulte, qui lui était totalement soumise.

Tout comme Linda l’avait fait la veille, quand elle avait commencé à téter sa poitrine, Océane posa ses deux mains sur la tête de sa tante, caressant doucement le cuir chevelu. Moment de tendresse ultime entre deux êtres. Entre une femme et … Une jeune fille. Presque femme. Mais Maîtresse, ça, c’était certain. C’était la première fois pour Linda, évidemment, mais elle parvint très rapidement à trouver comment faire jouir sa jeune Maîtresse. Et elle se régala du jus d’amour produit par la jeune fille.

Elle retrouvait là, un goût familier, lorsqu’il lui arrivait parfois, presque toujours avec Diego, de sucer la queue de ses amants après l’acte. Elle avait toujours trouvé cela abject, mais tous les hommes qu’elle a connus lui ont demandé, je dirais même imposé, cette caresse un peu contre nature.

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