Il saurait me réchauffer si besoin. Lui, ou d’autres. Je n’ai pas réalisé aussitôt la portée de cette phrase. Après avoir apprécié la plastique de mon corps, mes seins tout particulièrement, il m’a fait mettre à genoux poux lui sucer la queue. L’odeur, un peu forte au début, finit par disparaitre. Il m’a jetée sur le lit et il m’a baisée toute la nuit, en long, en travers. Je finissais par ne plus savoir où j’étais.
Mon tonton Roger est un gros pervers. (Il n’aime pas que je l’appelle comme ça). Mais par contre, c’est un formidable baiseur, infatigable, des idées plein la tête. Il m’a prise dans toutes les positions que je connaissais, et d’autres. J’ai même fini par m’endormir de fatigue pendant qu’il me baisait encore une fois. Enfin, je crois.
Au petit matin, j’étais seule dans le lit, ou plutôt sur le lit. La couette à mes pieds témoignait de la nuit passée. Il entra dans la pièce, je continuais à faire semblant de dormir, espérant un peu de repos, bien mérité. Mais là n’était pas son intention. Il commença à me doigter gentiment et, voyant que mon corps réagissait parfaitement aux caresses, il s’allongea sur moi, pantalon baissé.
Je ne comprenais pas vraiment pourquoi il était si tendre, ce matin, car je le savais brutal parfois. Mais j’appréciais sa façon de me prendre, tout en douceur. Le plaisir montait rapidement en moi, j’allais atteindre le point de non-retour quand j’entendis sa voix. À l’autre bout de la pièce. Ce n’était donc pas lui qui me baisait. J’étais horrifiée mais il était trop tard pour réagir. J’en voulais plus, encore. Je continuais à simuler le sommeil et Roger fit une remarque.
« Même endormie, elle a envie de sexe. Tu vois comme son corps réclame ta queue ! »
Il voyait bien et surtout, il en profitait. Moi aussi, je dois dire. J’étais à deux doigts de jouir quand il sortit sa queue pour arroser mon cul de sa semence. Déçue tout de même un peu, je restais pourtant sans bouger.
Il se rhabilla et discuta quelques minutes avec Roger.
« 300 €, c’est un peu cher. Mais elle les vaut largement. Préviens-moi quand elle reviendra te voir, j’aimerais la faire gueuler un peu ».
Roger m’avait donc vendu, enfin mon corps. Non content de me baiser, il en faisait profiter ses copains en se remplissant les poches. Un autre homme entra, plus bourru que le précédent. Il me retourna sans douceur et commença à sucer mes tétons. Je suis hypersensible des seins et mon corps réagit immédiatement.
Comme l’autre, il baissa simplement son pantalon et me prit en missionnaire. Sa queue était beaucoup plus grosse que celle d’avant. Je ne pus bientôt plus faire semblant de dormir. Mais je devais me révolter en voyant ce gros homme en train de me violer. Car c’était bel et bien un viol. Je tambourinais sur son torse mais cela sembla l’exciter encore plus.
Il redoubla de vigueur et je dus subir ses assauts jusqu’à l’explosion finale. Heureusement qu’il avait mis une capote car sinon, j’aurais été remplie de sa semence. Il se rajusta et paya pour la passe avant de sortir. Quand un troisième homme arriva, je me révoltais ouvertement mais Roger et lui eurent beaucoup de facilités à me faire taire, un bâillon-boule, et à m’attacher au lit.
J’étais devenu un morceau de viande que des hommes de passage venaient utiliser pour leur plaisir. Je dois avouer que j’ai également ressenti énormément de plaisir, mais je n’étais pas consentante. J’ignore pourquoi une cagoule a été mise sur ma tête avant l’arrivée d’un nouveau client.
Mais je l’ai gardée jusqu’au soir. Je serais incapable de vous dire combien de queues ont investi mon cul, ou ma chatte. Il était dix-huit heures quand mon dernier client est parti. Roger avait « gentiment » préparé une grande bassine avec de l’eau tiède pour que je puisse me laver.
Pour mon bien-être ? Non, juste pour le sien. Il voulait que je sois propre pour pouvoir me baiser encore toute la nuit. Après la journée passée, je me disais qu’un seul partenaire allait être plutôt reposant. Même si baiser avec mon tonton n’est pas de tout repos. Je pensais être un peu plus tranquille quand une voiture arriva, vers vingt heures. Romain, 23 ans, et Romuald, 17 ans, les deux fils de Roger avaient été conviés à la fête. Et c’était moi, le plat principal. Romuald fut le premier à entrer dans la danse, poussé par les deux autres. Il prit le temps de me caresser, de découvrir mon corps avec ses doigts agiles. Puis il me baisa tendrement, longuement. Il prenait tout son temps. Ce qui excitait les autres encore plus.
Romain surtout, avait depuis longtemps envie de me baiser et je lui avais toujours refusé. Il était marié depuis quelques mois mais cela ne l’empêchait pas de vouloir me baiser encore plus aujourd’hui que j’étais à sa disposition. Il finit par bousculer son jeune frère qui n’allait pas assez vite à son goût et prit sa place.
Il se déchaina en moi et me fit râler de plaisir. Comme son père, c’était un excellent baiseur, dommage qu’il soit un peu trop brutal. J’étais allongée sur lui quand Roger s’intéressa à mon cul. Il savait que j’appréciais l’anal et, après m’avoir préparée deux minutes, il me prit par le cul.
J’étais prise en sandwich entre les deux hommes et je râlais en continu, orgasme à répétition, sous les yeux de Romuald qui n’avait vu ça que dans les films pornos de son père. J’étais redevenue la petite chienne qui adorait se faire baiser, par qui que ce soit. Sauf que ce soir, je ne choisissais pas mes partenaires.
Ils m’ont baisée, enculée à tour de rôle. Je savais parfaitement qui me baisait, à sa façon de faire. En douceur pour Romuald, plus fort avec Roger et vraiment plus violent avec Romain. Chacun, à sa manière, a réussi à me faire jouir plusieurs fois dans la nuit. J’étais complètement ivre de plaisir. Et j’en voulais encore. La petite salope était réveillée et les trois hommes ne suffisaient pas pour la combler.
Au petit matin, ils étaient tellement exténués que j’ai pu récupérer mon téléphone portable sans qu’ils ne s’en aperçoivent. J’avais un plan en tête qui pourrait, s’il fonctionnait bien, m’éviter d’être de nouveau la proie de ces trois énergumènes. Enfin, deux surtout, Romuald était gentil et prévenant. Mais il était complice des deux autres, et tout autant coupable qu’eux. Il me fallait leurs aveux sur ce qui venait de se passer, un viol.