Aujourd’hui, Samedi 17 Mai 2014, mes parents et moi étions invités pour l’anniversaire de ma tante, Angélique, la sœur de ma mère. 39 ans. Une femme toujours superbe après deux grossesses et qui a su garder un corps de rêve. Toujours souriante, c’est la gaité incarnée. Dès que je la vois, j’oublie tous mes soucis auprès d’elle. Bien sûr, comme toute ma famille, elle connait mon penchant pour les femmes mais ne s’est jamais doutée à quel point je pouvais rêver de la serrer dans mes bras, l’embrasser et découvrir son corps qui doit être divin.
Le repas se déroula comme toujours, très bien. Elle savait recevoir sa famille comme ses amis. Je ne la quittais des yeux que très rarement, et je remarquais comme une tristesse dans son regard, quand elle pensait qu’on ne la regardait pas. Je finis par m’apercevoir que ses enfants ne lui parlaient jamais, tout juste s’ils répondaient quand elle leur posait une question. Pareil pour son mari, le regard toujours dans le vague, ailleurs.
La fin du repas arriva enfin et l’heure des cadeaux. Son mari et son fils s’étaient mis ensemble pour lui offrir un aspirateur, sans sac, sa fille lui offrit un parfum. Mes parents lui ont offert l’intégrale de Debussy, en coffret CD, un compositeur qu’elle adore. Moi, je me suis levée pour lui apporter l’enveloppe contenant mon cadeau, deux places pour un concert philharmonique, à Nantes, dix jours plus tard.
Je tenais à être tout près d’elle quand elle ouvrirait l’enveloppe, d’abord pour profiter de son décolleté généreux, et ensuite pour voir la joie dans son regard. Je savais qu’elle souhaitait y assister et qu’elle s’y était prise trop tard pour acheter sa place. Je fus comblée par son bonheur et, quand elle me posa la question : « Pourquoi deux places », je lui répondis que je voulais bien l’accompagner, si elle voulait bien de moi. Elle me dit oui, bien sûr et se leva aussitôt pour me serrer dans ses bras, très fort.
Je sentais son cœur battre très fort, tout contre ma poitrine. Elle me serra longtemps et je ne fis rien pour m’écarter, trop heureuse de sentir son corps contre le mien. Son parfum m’enivrait. Elle s’écarta finalement, les larmes aux yeux, et fit le tour de la table pour remercier chacun pour leurs présents.
Le repas se finit enfin par un café, ses enfants se levèrent avant la fin et sortirent. Ma tante avait changé, quelque chose en elle était différent. Tout le long du repas, elle avait surtout parlé avec mes parents, ne m’adressant que quelques mots et ne me regardant presque jamais. Mais là, son regard revenait toujours vers moi et essayait de m’intéresser à la conversation entre elle et ma mère.
Il faisait très beau, ce samedi à Nantes, et ma tante proposa que l’on aille se promener dans le parc voisin. Tout le monde se leva et nous nous sommes retrouvés très vite dans ce grand parc. Là, mon oncle retrouva la parole, on était sur son terrain. Il adorait parler des arbres et raconter des anecdotes sur telle ou telle espèce. Intéressant, …, mais barbant à la longue.
Mes parents l’écoutaient, poliment, et parfois mon père posait une question pour affiner le sujet, et mon oncle était ravi, bien sûr. Moi, je marchais derrière eux, aux côtés de ma tante, silencieuses l’une comme l’autre. J’étais heureuse de sa présence et j’en profitais pour jeter des regards indiscrets sur son décolleté.
Il me fallait absolument trouver une excuse pour m’éviter ce verbiage.
À un moment, une pancarte indiqua les toilettes publiques et j’en profitais pour m’éclipser en prétextant une envie pressante, précisant qu’il était inutile de m’attendre car je retrouverais le chemin très facilement. Angélique, ma tante adorée, que ces discours ennuyaient également, en profita et proposa de m’accompagner pour elle aussi, satisfaire une envie.
Surprise, mais ravie de sa présence, nous sommes entrées dans ce bâtiment en bois. Certaines portes avaient disparu, d’autres tenaient à peine. Angélique entra dans une cabine, sans un mot, je la suivis et fermais la porte derrière moi avant de m’y appuyer. Elle pensa que c’était une sécurité supplémentaire au verrou et s’assit sur les toilettes après avoir baisser sa culotte. Pas un mot, pas un regard vers moi, moi qui ne la quittais pas des yeux.
Juste un pas et j’étais près d’elle.
« Tu as une poitrine magnifique, vraiment » lui dis-je et joignant le geste à la parole, je commençais à la caresser, à travers son chemisier d’abord, puis après avoir défait quelques boutons, directement sur sa peau, lisse et douce comme de la soie. Elle se laissait faire, alanguie. Je baissais les bretelles pour sortir ses deux merveilles de leur cocon et j’approchais ma bouche gourmande. Elle frissonna de bonheur quand mes lèvres effleurèrent son téton, se pencha en arrière, les bras ballants le long du corps et les jambes écartées. À genoux entre ses cuisses, je profitais de sa poitrine à pleine bouche, je suçais, léchais et tétais ce don du ciel. J’étais aux anges, et elle aussi. Elle m’avoua plus tard que son époux ne la touchait plus depuis longtemps déjà.
Elle avait fini de pisser depuis un moment et, bien sûr, pas de papier. Sans dire un mot, ma langue fit office de papier toilette. Surprise au début, et horrifiée de mon geste, elle essaya de me repousser mais s’arrêta très vite quand ma langue commença à la lécher partout, dans ses moindres recoins. Quand ma langue experte remonta vers son clitoris, elle ouvrit très grand les cuisses et là, c’est moi qui fus surprise quand elle posa enfin ses mains sur ma tête, me forçant à continuer la caresse jusqu’au bout, jusqu’à l’orgasme. Je pris ses tétons entre deux doigts et les pinçaient, gentiment mais fermement.
Elle finit par jouir, en silence, dans un long murmure et je continuais mon nettoyage en profondeur, mais en douceur. Je l’aidais à se relever et je remis sa culotte. Elle resta appuyée, le dos à la paroi, pendant que je pissais à mon tour.