La Comtesse d’Orgemont deux (01/10)

J’avais appelé Marc, le chauffeur de taxi, pour me conduire au domicile de mon directeur. L’un, comme l’autre, resta en admiration devant ma tenue. Durant le court trajet, j’avais eu le temps d’expliquer à Marc que j’avais beaucoup avancé avec son épouse. Je lui ai même dit que j’étais allée chez lui et que j’avais fait la connaissance de ses enfants.

Mais ce n’était ni l’heure ni le moment de lui en dire plus. Je lui promis de le tenir au courant très rapidement. Francis m’attendait impatiemment, craignant sans doute que je me dérobe. Quel mot bizarre, dans ce contexte un peu particulier ! Dérobe, je pensais bien que j’allais finir la soirée sans ma robe. Soit chez la Comtesse d’Orgemont, soit chez moi, avec Francis entre mes cuisses.

Je le savais, j’y étais préparée. Et même, je le souhaitais ardemment. Je l’avais déjà vu entièrement nu et il était encore bien conservé pour son âge. Je ne pense pas être une nymphomane, au sens propre du terme, mais j’aime le sexe, j’aime multiplier les expériences avec des hommes et avec des femmes depuis très peu de temps. Je suis accro à tout ce qui peut me donner du plaisir.

Francis m’offrit un verre d’apéritif, une spécialité de sa région d’origine, les Ardennes m’a-t-il dit. Je savais bien qu’il était marié et il prit les devants, vu qu’il n’y avait que deux verres, pour m’expliquer que son épouse était au chevet d’une amie malade. Une séparation douloureuse, semblait-il. Mais il n’avait d’yeux que pour moi, pour la robe que je portais. Assise légèrement de biais sur le canapé, la robe fendue très haut laissait apercevoir ma cuisse presque jusqu’à la culotte.

En tout cas, il avait la preuve devant les yeux que je portais des bas, et non des collants, comme au travail, très souvent. Il semblait inévitablement attiré par cette portion de ma cuisse, juste au-dessus des bas. Et juste en dessous de la culotte. D’ailleurs, il ne pouvait pas affirmer si j’en portais une, ou non. Ses mains se firent caressantes lorsqu’il m’aida à remettre mon manteau.

Il ouvrit la portière de sa voiture et m’aida à l’installer confortablement. Je suis presque sûre que son regard a plongé entre mes cuisses, mais il est resté sur sa faim, ne pouvant déterminer la couleur de mon sous-vêtement. Quand il passait les vitesses, sa main sur le pommeau du levier avait, semble-t-il, beaucoup de peine à regagner sa place sur le volant. Il avait envie de moi. Et il devait se douter que c’était réciproque. Tout dans mes gestes, mon attitude, lui prouvait qu’il avait raison.

Ce n’est qu’arrivés devant le perron, moteur éteint, qu’il osa enfin poser sa main droite sur mon genou. Comme je ne disais rien, elle remonta très haut sur ma cuisse, les doigts s’arrêtant à la lisière des bas. Il était prêt à continuer pour aller plus avant dans son exploration quand j’intervins.

« On nous attend » en lui désignant le majordome qui nous attendait sur le perron, parapluie à la main ».

Francis descendit et vint m’ouvrir la portière, côté passager. Il ne regardait pas vers moi quand je dus écarter les cuisses pour descendre, mais le majordome, bien placé, a, semble-t-il, vraiment apprécié. Il resta très près de moi, parapluie déployé au-dessus de ma tête, alors qu’il ne pleuvait pas. J’étais, pour ma part, accrochée au bras de mon cavalier du soir qui appréciait cette promiscuité.

Le majordome nous conduisit dans un petit salon où une table pour quatre convives était dressée. La Comtesse nous accueillit chaleureusement, nous prévenant aussitôt que son époux ne pourrait nous rejoindre.  Elle laissa sa main à Francis pour un baise-main traditionnel, elle se colla à moi pour me claquer deux bises très tendres, tout près de mes oreilles. Sa main s’était engouffrée dans la fente de la robe pour se placer immédiatement entre mes cuisses. La soirée était partie sur des chapeaux de roue.

« Francis. Vous êtes invité pour la première fois et vous ne connaissez sûrement pas les coutumes de ces soirées particulières. Les femmes présentes se doivent d’être sans culotte. Et c’est donc à vous que revient l’honneur de m’ôter mon sous-vêtement. Clément se chargera de notre nouvelle amie ».

Le majordome était déjà dans mon dos, accroupi semble-t-il, ses mains remontant lentement sur mes mollets, mes cuisses. Il prenait tout son temps et j’avais hâte qu’il s’approche de son but. Il attrapa délicatement mon string et le descendit sur mes chevilles. Je me tenais au dossier d’une chaise en levant un pied, puis l’autre.

Je ne portais désormais que ma jolie robe, et mes bas. Francis avait lui aussi retiré la culotte de la Comtesse qu’il porta immédiatement à son visage. Elle l’empêcha de se relever, lui donnant la suite du programme.

 » La seconde règle est que les hommes ne sont acceptés à manger que lorsqu’ils ont pu donner du plaisir aux femmes présentes. Vu que vous êtes le seul invité, ce soir, vous aurez donc deux femmes à satisfaire avant de pouvoir nous rejoindre à table « .

Le majordome m’invita à m’asseoir et la Comtesse lui désigna le chemin vers mes cuisses avant de prendre place elle aussi à table, face à moi. Je devais écarter les cuisses au maximum pour lui laisser la place et cette caresse fut délicieuse. Je jouis rapidement dans sa bouche avant qu’il ne se retourne vers la Comtesse.

Nous parlions de choses et d’autres mais je voyais que, parfois, elle résistait à l’envie de gémir, de se lâcher totalement. Puis, finalement, elle prit ma main qu’elle serra très fort au moment de jouir.

Francis se releva, le visage ravi encore humide de nos sécrétions. Il prit place près de moi et le repas se déroula normalement jusqu’au dessert. Il fut invité à retourner sous la table, entre les cuisses de la Comtesse. J’attendais patiemment mon tour quand une tête se présenta entre mes cuisses grandes ouvertes.

Je savais pertinemment que ce ne pouvait pas être Francis, et le majordome avait disparu. Je retrouvais de douces sensations et rien n’avait plus d’importance. Il avait une technique particulière qui m’emmena très vite au paradis. Mais il ne s’arrêta pas pour autant. J’étais à deux doigts de jouir une nouvelle fois lorsque j’entendis la Comtesse se lâcher encore une fois.

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